Amor mio - Fabio Quartararo

De dinoutouttt

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« Lise c'est toi ? » Au moment même où nos regards ce sont croisés, j'ai compris que je ne pouvais plus vivre... Mai multe

Préface.
Lise.
Problème.
Souvenirs.
Losail.
Retour.
Tu va me manquer.
Reprise.
Ce retrouver.
Le passé.
Always.
Suavemente.
Perdre la tête.
Emmy.
Départ.
Cœur brisé.
Au nom du diable.
L'ombre d'elle-même.
Le néant.
Deux amants.
Sachsenring - Part. 1
Sachsenring Part. 2
Thibaud.
Le début.
Ne plus jamais ce quitter.
Unis pour la vie.
Épilogue.

Fabio.

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De dinoutouttt

J'arrive à peine réveiller dans l'enceinte du circuit. Aujourd'hui étant le Grand-Prix la tension était à son comble. J'avais eu un mal de chien à m'endormir étant encore peinée de m'être engueuler avec Fabio pour un malentendu.

C'est triste et avec aucune motivation que j'arrive devant le box Yamaha. Les moteurs des motos était déjà allumé et les ingénieurs s'affairait autour des machines. May, arrive souriante comme à son habitude et m'enlace avant de discuter rapidement avec moi. Je remarque que Fabio n'était pas encore arrivé sûrement encore dans son camion et Tom n'était pas là non plus à mon plus grand soulagement. Je n'était pas prête à supporter les questions de Tom sur mon absence au dîner d'hier. Fabio avait déjà dû lui faire un résumé.

Je sourit lorsque je reconnaît un visage familier au loin dans l'arrière du garage, Klein.
Il avait l'air assez préoccupée et venais de terminé une conversation téléphonique.
Néanmoins, en me voyant il arbore un grand sourire ce qui me fait ricaner.

- Bonjour Filipaldi, dit-il.
- Bonjour Klein mais par pitié, appelez-moi Lise s'il vous plaît.
- Entendu Lise, avez-vous bien dormi ?
- Pas trop mais on fait avec et vous ?
- Sa été. Désoler de ne pas vous avoir attendu ce matin mais j'ai eu le droit à un tour de circuit privilégié avec Franco, me dit-il.
- Ce n'est pas bien grave. Je n'ai pas déjeuner. Et c'était comment ?
- Génialissime ! Je suis encore sur mon nuage.
- Redescendez vite de votre nuage alors, demain on retourne au bureau.

Klein affiche une mine triste après ma remarque ce qui me fait rigoler. Plus sa allait plus je le trouvais vraiment chouette. Sous ses air de boss ce cachait vraiment quelqu'un de bien. Il disparaît de ma vision pour rejoindre May et le reste du team. Me laissant seul en plan dans l'allée. Je regarde attentivement les ingénieurs s'affairer sur la moto du numéro vingt, curieuse de voir ce qu'ils peuvent faire avant chaque course. Je sent deux mains ce poser sur mes épaules alors que je regardais les mécaniciens ce qui me fait sursauter de stupeur.

- Bouh.
- Tom, bordel, râlais-je.
- Et super l'accueil.. bien dormi ?
- Non. J'ai hâte de retrouver mon lit. J'en peut plus. Et le café ici est autant affreux que celui du travail.
- Oula, sa sent la dépression par ici.
- Même pas, j'en ai juste marre.

Il ricane avant de reprendre son sérieux.

- Au faite, pourquoi t'es pas venu hier soir ?

Bingo. En plein dans le mile. Je m'en doutais qu'il allait me questionné sur ça. Alors, j'étais déjà entrain de réfléchir à l'excuse que j'allais lui apporter. Mais je ment tellement mal que j'allais être cramé directement. Mais je risque quand même.

- J'étais fatiguée.

Simple mais efficace. Tom grimace mais ne rétorque pas et je le remercie.
J'aperçois Fabio entrer dans le box et Tom le rejoint aussitôt. Il avait l'air ailleurs. Je détourne rapidement le regard pour qu'il ne remarque pas que je le regardait.
J'espère que les choses vont s'apaiser entre nous. Je m'en veut d'avoir accepter de dormir dans son camion l'autre soir. Je lui est sûrement fait de faux espoir et il ne mérite pas ça. Je sort rapidement de mes pensées lorsqu'il viens me saluer alors que j'étais complètement dans la lune fixant sa moto.

- Salut, dit-il.
- Salut.

Le climat était froid et forte heureusement Tom ce joint à nous pour détendre l'atmosphère.

- Klein a l'air de bonne humeur aujourd'hui. Il est toujours aussi relou par-contre.

Je ricane légèrement et Fabio décroche malgré tout un petit sourire suite à ce que venait de dire Tom. Ce dernier me lance un clin d'œil content d'avoir réussi à faire sourire son ami.
J'ai toujours détester être en conflit avec les personnes arrivant facilement à faire la part des choses surtout lorsqu'il s'agit du boulot.
Mais aujourd'hui je n'avait pas envie de me battre surtout le jour d'une course importante. Si la veille il était déjà tendu par un simple refus d'être venue dormir alors aujourd'hui il doit l'être encore plus après notre petite engueulade.

J'allais quitter le box pour aller rejoindre Mathilde et découvrir son écurie bien de trop fatiguée par l'atmosphère lourd dingue de Yamaha. Lorsque Fabio me rattrape en me courant après. Je me retourne face à lui et je remarque qu'il avait le regard toujours aussi vide.

Je ne le comprendrais décidément jamais.

- Tu va où ?

Je manque de m'étouffer surprise de sa demande. Je suis encore en droit d'aller où bon me semble. La seule personne qui peut à la limite me surveiller c'est Klein et il est bien de trop occupé à baver devant les motos que de savoir ce que je fait.

- Pardon ? Demandais-je.
- Tu allais où ?

Je regarde autour de moi avant de rire nerveusement. Il me regarde confus à son tour.

- Ça te regarde ?
- Lise... recommence pas.
- Mais recommencez quoi ? J'allais rejoindre Mathilde si sa t'intéresse tant que ça. Alors maintenant soit gentil et lâche-moi.
- Je suis désoler pour hier. Je me suis comporter comme un con, je sais pas ce qui m'a pris de te parler comme ça.
- Ça va, c'est oublier.

Non c'est pas oublier. Ces paroles te hante. Il y'a tellement de non dit que j'aimerais savoir ce qu'il pense de nous. Encore faut t'il qu'il y est encore un nous. Foutu pensée.

- Super, si tu a besoin d'aide n'hésite pas.
- Ouais. Concentre-toi sur ta course plutôt que sur moi.

Il ricane avant de rebrousser chemin et de me laisser rejoindre le box Tech3. Je le remercie silencieusement contente de ne pas avoir eu à l'affronter aujourd'hui. Peut-être qu'hier il a eu un moment d'égarement sûrement pas habitué à un refus. Je n'en sais rien.

**

Fabio,

Je regarde Lise s'éloigner petit à petit. J'ai le coeur qui bat à une vitesse énorme et je ne peut le contrôler. Je respire un grand coup avant de rentrer dans le box afin de me concentrer sur ma course. Mais comment réussir à ce concentrer lorsqu'elle hante mes pensées depuis son retour ? Sa petite chevelure blonde, son rire et son sourire me font craquer depuis le début. J'aurais aimé qu'elle ressente la même chose et qu'elle aussi elle ne m'a jamais oublier. Hélas, ce n'est pas le cas. Mais qu'est ce qui me prend de penser à elle alors que ce n'est pas le moment ?

Je suis assis sur ma chaise écouteurs dans les oreilles lorsque Tom me rejoint quelques minutes après. Il me regarde attentivement avant de parler sauf que je l'arrête en route.

- Ne commence pas.

Mon ami me regarde sans comprendre mais ne rétorque pas. Je savait pertinemment qu'il allait me parler de Lise et ce n'était pas le moment d'aborder le sujet. En parlant d'elle, elle revient dans le box tout sourire. Tom part la rejoindre me laissant en plan. Elle avait l'air d'avoir pas mal de chose à raconter et j'essayais tant bien que mal d'écouter ce qu'elle disait à mon pote. Le t-shirt Yamaha lui allait à ravir et elle avait soigneusement attacher ses cheveux pour dégager son visage, elle était si belle.

Tom était venu me rejoindre après avoir rapidement discuter avec elle et Klein.
La course allait bientôt commencer et j'allais devoir me rendre sur la grille.
Tradition oblige, je salut chaque membre de mon équipe avant de monter sur ma moto.
En arrivant à hauteur de Lise, j'avais une folle envie de l'embrasser à ce moment même mais je me fait violence en la saluant simplement. Son regard bleu azur croisa le mien me rendant complètement fou, bordel. Je sourit à travers le casque légèrement afin qu'elle ne remarque pas. Même après des années mon coeur battait toujours autant pour elle et elle me faisait toujours le même effet.

***

Lise,

C'est dans un silence morbide que le GP de Losail ce termine. Personne n'osait dire quoi que ce soit dans les locaux de Yamaha. Fabio avait terminé neuvième et Franco n'avait faire guère mieux. Néanmoins, la pression était redescendu et on pouvait déjà ce concentrer sur la prochaine course. J'avais été surprise de m'y prendre au jeux moi qui en début de week-end n'était guère contente d'être ici.

Klein avait l'air triste puisqu'il avança vers le reste de l'équipe tête baissée. Tom n'avait rien dit lui non plus attendant fermement son ami.
Fabio arrive quelques minutes après, le regard vide et sans un mots il quitte sa moto pour ce rendre à son camion nous laissant une nouvelle fois en plan.

- Tu devrais aller le rejoindre, dit Tom.
- Comment ça ?

Il hausse les épaules et je ne comprenait pas vraiment pourquoi il me disait ça. Klein me fait un clin d'œil comme pour approuver ce qu'il venait de dire. Décidément, je ne comprenais vraiment rien et j'étais largué. J'ignore pourquoi ma présence allait changer grand chose à la situation du pilote. Voyant l'engouement des deux hommes, je prend mon courage à deux mains et part vers le camion du pilote qu'il avait refermé derrière lui.

- Ouais ? Me demande à travers la porte.

Je racle ma gorge quelques peu stresser par sa réponse mais je me fou un coup de pieds mental pour me donner du courage.

- C'est lise, dit-je.

Ça réponse ne ce fait pas attendre.

- Qu'est ce que tu fiche ici ?

Aie, je n'arrange peut-être finalement pas les choses de me pointer ici. Et puis j'aurais changer quoi moi ? Alors que je m'apprête à rebrousser chemin, la porte du camion grince légèrement signe qu'elle s'ouvre. Je suis stopper dans mon action par la voix légèrement enrouée du pilote signe qu'il venait de pleurer.

- Tu peut venir, dit-il.

Je me retourne pas sûr que sa change grand chose mais je voyait dans ces yeux la peine effroyable qu'il traversais. Alors, je tourne les talons pour rentrer silencieusement dans son camion. Évidement, je ne savait pas comment aborder la chose redoutant d'encore plus le rendre mal.

- Tu peut t'asseoir si tu veut.

Je me place à ces côtés sur le canapé pendant qu'il avait les yeux rivés sur son téléphone. Super. Qu'est ce que je foutais là sérieux.
J'étais hyper stressée et ça faisait longtemps que je n'avais pas ressenti sa tiens donc.
Je ricane entièrement m'imaginant déjà la tête que je doit tirer. Fabio me sort de ma rêvasserie en reposant son téléphone sur la table basse assez violemment.

- Je vais peut-être te laisser, dit-je. D'ailleurs, je sais même pas ce que je fou là.
- C'est Tom qui t'a dit de venir ?
- Ouais. Mais c'est pas une bonne idée.
- C'est moi qui lui est demandé.

Mon coeur rate une nouvelle fois un battement surprise pas ce qu'il venait de me dire.
Mais qu'est ce qu'il ce passe sérieusement ?
Malgré tout, au fond de moi j'éclate de joie. J'ai beau me mentir à moi même il me fait toujours autant de l'effet et je n'arrive pas de m'empêcher de repenser a tout ce qu'ont a vécu. J'ai pas de mots pour fixé ce que je ressens mais je suis certaine de ne pas l'avoir réellement oublier même avec le temps.

- Je ne sait pas ce que ça va changer.
- Bref, il ce lève. J'ai pas envie de me prendre la tête aujourd'hui. J'ai déjà eu mon quota. Si tu a décider d'être de mauvaise composition tu peut t'en aller effectivement.

Super. Il était vraiment lunatique ce mec. Je peste avant de me lever. J'allais partir lorsqu'il me plaque contre la porte. J'ai un hoquet d'étonnement ne comprenant pas vraiment notre posture et Fabio ricane en voyant ma tête décomposer.

- À quoi tu joue ? Demandais-je.

Il me regarde intensément. J'avais envie de me vider sur place tellement j'étais ébahie. Mais qu'est ce qu'il m'arrivais ? Je le suit du regard et je remarque qu'il fixe mes lèvres. J'écarquille les yeux ne comprenant réellement pas son changement soudain de comportement.

- Lise.., dit-il.

Je le regarde fixement à mon tour attendant déjà ces prochaines paroles. Son parfum était légèrement doser et il avait toujours eu le même.

- Quoi ? Demandais-je.
- Tu ne peut pas t'imaginer à quel point..
- Lise, Fabio vous êtes là ? Demande venant de rentrer essoufflé. Merde, je dérange ?
- Non non, j'allais partir. Dis-je.

J'ignore ce que Fabio allait me dire et je m'imagine déjà des centaines de probabilité mais je remercie Tom d'être venu inconsciemment à mon secours par peur de devoir me confronté à la vrai vérité.

- Qu'est ce qu'il ce passe ? Demande Fabio.
- Klein à fait un malaise.

Sans un mots nous courons hors du camion pour retourner dans le box. Toute l'équipe était autour de Klein visiblement encore dans les vapes. Je me précipite vers lui essayant de l'aider à revenir à nous.

- Mais qu'est ce qui l'a eu ? Demandais-je en pestant.
- C'est Franco, il lui a serrer la main et ils ont rapidement échangés et il est tombé dans les pommes.
- Décidément, il est ravagé.
- Tom, va chercher une infirmière, dit Fabio.

Tom court pour chercher une infirmière partout mais au même moment une équipe de soignant sûrement du circuit arrive en trombe pour prendre en charge Klein.

***

Nous venons de rentrer de l'hôpital avec Klein. Plus de peur que de mal pour mon patron qui avait décidément une petite forme. Cependant, on avait loupé notre vol le retardant alors que à demain matin. Il était exténuer par toutes ces émotions et moi aussi. Je n'avais pas arrêter de m'imaginer ce que Fabio voulait me dire tout à l'heure dans le camion.

Après avoir pris ma douche et rassemblée mes affaires. Je me pose dans mon lit fatiguée de cette journée. Klein était partit dans sa chambre de son côté essayant de ce remettre difficilement de ses émotions.

Je sursaute lorsqu'on frappe à la porte. Qui cela pouvait bien être ? Je n'avais pas fait de demande au room service et j'entendais Klein ronfler depuis sa chambre. Timidement j'en trouve la porte pour tomber nez à nez avec Fabio ce grattant la nuque étant sûrement gêner d'être ici.

Comment savait-il où je dormais ? Tom avait dû sûrement cafté. Bizarrement, il était seul. Pas de Tom à l'horizon ni de Mathilde ou Tony.

- Je.. qu'est-ce que tu fait ici ? Demandais-je.
- Je voulais savoir si sa allait. On a pas eu de vos nouvelles avec Klein alors on s'est un peu inquiéter.

Je lui sourit surprise de sa réponse.

- Viens, entre reste pas planté la.

Je me décale pour le laisser entrer et il rentre silencieusement dans la chambre que j'avais pour le week-end.

- Il va bien ?
- Ouais, ouais. Fatigué mais ça va. En revanche, il est toujours aussi chiant.

Il rigole toujours avec son rire mélodieux. C'était pour me tuer. Il s'assoit sur le petit fauteuil qu'il y avait dans la chambre. Et j'en profite pour m'asseoir à mon tour sur le lit.
Je galère un peu et il glousse en voyant tout ça.

- Et donc tu va me faire croire que tu a fait tout ce chemin sûrement à pieds car il ne doit plus avoir de taxi à cette heure-ci seulement pour savoir si Klein va bien, lui demandais-je.
- Peut-être que oui, il rigole.
- D'ailleurs, tu voulait me dire quoi au camion tout à l'heure avant que ton abruti de meilleur-ami débarque ? Risquais-je.
- Rien, rien.
- Fabio.. dit-moi.

Il prend une grande inspiration et il ricane sûrement de nervosité. Je le regarde sans réellement comprendre ne sachant pas ce qu'il m'allait dire.

- Je vais la faire court, il commence. J'ai jamais réussi à t'oublier.

Sa réponse me provoque un électrochoc comme si mon coeur avait fusionné avec le sien pensant exactement la même chose que lui. Je n'arrivais juste pas à me l'avouer. Je reste silencieuse le regardant attentivement terminer son discours.

- J'ai pris conscience des choses que lorsque je t'es revue. J'ai mis du temps à réaliser. J'en ai eu des filles après toi.

Je lui lance un regard noir et il rigole une nouvelle fois. Moi, j'avais jamais réussi à retrouver quelqu'un d'autre après lui.

- Chaque chose que je faisait, je pensais à toi. Chaque fille que je rencontrais je cherchait ce qui me ramenais à toi. J'ai essayer de laisser tomber mais tu est revenue dans ma vie.
- Je.., dit-je.
- Je sais que pour toi c'est différent. Qu'avec le temps tu m'a oublier et que tu est passé à autre chose. J'ai essayer un bon nombre de fois de revenir à la raison mais au fond de moi j'ai toujours eu l'espoir de te retrouver.
- Fabio..
- Laisse moi terminer s'il te plaît. Et puis, quand on m'a annoncer que tu allait venir bosser ici j'ai soudainement pris conscience de mes sentiments et de l'important que tu avais dans ma vie. Lise, depuis le début sa toujours été toi et peu importe ce que la vie nous réserve tu sera toujours mon premier amour.

Je le regarde comme ensorcelée. Buvant chacune de ses paroles si douce. Fabio ne m'avait jamais ouvert son cœur auparavant et j'étais comme éblouie par tout ça.

Je réalise à mon tour que sa toujours été lui. Et au moment même où je l'ai revu, j'ai su que je n'arriverais plus à faire sans lui.

Un léger sanglot s'échappe et il le remarque. Il ce lève de son fauteuil pour s'asseoir à mes côtés. Il balaie d'un geste doux le petit larme qui tombait et en profite pour replacer une de mes mèches de cheveux. Ce geste paraît peut-être anodin mais il était remplis de douceur.

- Sa toujours été toi, murmurais-je.

Je ne pouvait pas le voir là mais je sentait ces muscles ce contracter signe qu'il souriait. Sans un mots, il m'enlace. Me rappelant comme ces bras était si chaleureux. J'aurais pu rester des heureux collés à lui comme pour rattraper toutes celles que j'ai laisser passer. Je reste encore abasourdie par ces révélations.

J'ignore comment les choses vont ce profilés désormais qu'ont a mis des paroles sur nos sentiments. Et surtout comment notre relation allait-elle évoluer désormais.

Il ce relève regardant attentivement son téléphone. Il hausse le sourcil, remarquant l'heure tardive.

- Merde, il est déjà tard.

Effectivement, il était minuit passé. Plus aucun taxi ne circulait et avec la journée et les efforts qu'il avait dû faire aujourd'hui je ne pense pas qu'il allait être capable de rentrer à pieds.

- Tu peut rester, je dormirais sur le petit fauteuil.

Il me regarde avant de rigoler sûrement voyant la petite taille du fauteuil qui doit être très inconfortable pour dormir. Je m'avoue vaincue et rigole à mon tour.

- Je vais rentrer ne tant fait pas.

Inconsciemment, j'avais envie qu'il reste. Enfaite, après tout ça j'avais besoin de le sentir prêt de moi. J'étais complément amadouée.
Alors qu'il allait partir vers la porte, je suis surprise de me voir le stopper dans son action. Ce qui me vos un regard interrogateur de sa part.

- Reste ici ce soir, il y'a assez de place dans mon lit.
- Tu est sûr ? Et pour Klein ?
- Il ne ce doutera de rien. Demain matin tu sera sûrement déjà parti à son réveil.
- Pas faux, il rigole.

Il retourne dans la chambre et part ce déshabiller dans la salle de bain. Je me suis faufiler dans le lit m'imaginant déjà la connerie que j'étais entrain de faire en partageant le même lit que mon ex. Ont m'avais drogué ou quoi ? Je ne me reconnaissait plus. La petite Lise avait baisser les armes ce laissant complètement aller par les sentiments.

Eloïse me tuerais en me voyant dans ce lit avec Fabio. Ou bien, elle me pousserais à me rapprocher de lui.

Fabio arrive quelques secondes après simplement en boxeur. Instinctivement mes yeux ce pose sur ses abdos bien dessiné ce qu'il remarque aussitôt puisqu'il m'envoi un coussin en pleine face pendant qu'il s'allonge.

- Ça va ? La belle vie ?
- Quoi ? Râlais-je.
- T'étais clairement entrain de maté.
- Roh ça va. J'ai rien fait d'abord. Je voit pas pourquoi je te materais ?
- Peut-être parce que tu me kiff.

Sa réponse lui vaut une frappe sur l'épaule de ma part.

- Allez dort avant de me faire regretter d'avoir accepter que tu dorme ici, murmurais-je.

Il ricane avant d'éteindre la lumière et de me souhaiter bonne nuit. Nous ne faisons pas long feu puis qu'ont s'endort instantanément.

___________________

Alors qu'en pensez-vous ? Vont t'il retourner ensemble c'est deux là ?

Le prochain chapitre arrive très vite ✨

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