Amor mio - Fabio Quartararo

By dinoutouttt

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« Lise c'est toi ? » Au moment même où nos regards ce sont croisés, j'ai compris que je ne pouvais plus vivre... More

Préface.
Lise.
Souvenirs.
Losail.
Fabio.
Retour.
Tu va me manquer.
Reprise.
Ce retrouver.
Le passé.
Always.
Suavemente.
Perdre la tête.
Emmy.
Départ.
Cœur brisé.
Au nom du diable.
L'ombre d'elle-même.
Le néant.
Deux amants.
Sachsenring - Part. 1
Sachsenring Part. 2
Thibaud.
Le début.
Ne plus jamais ce quitter.
Unis pour la vie.
Épilogue.

Problème.

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By dinoutouttt

- Mademoiselle Filipaldi, dans mon bureau dans cinq minutes.

Lundi, qu'est ce que je détestais cette journée. Enfaite je détestais chaque jours de la semaine. Le week-end avait beau être à rallonge cette fois-ci, il avait été très court.
De plus, je n'ai rien fait de très intéressant à part aller me promener sur la rive et aider ma mère a la boutique et Eddy au restaurant.
Niveau fatigue, je suis au plus bas. J'ai beau enchaîné les cafés au goût répugnant de la machine du travail rien n'y changeait.
La matinée ne faisant que commencer et j'avais déjà envie de rentrer chez moi d'autant plus lorsque je suis convoqué dans le bureau du directeur que je déteste. C'est un quinquagénaire au goût de luxe et change de chemise seulement une fois par semaine. Il est sur de lui et assez hautain. Sa femme ne l'aime plus vraiment et d'ailleurs elle adore ce tapé Léo le mec de l'informatique mais son mari ne s'en doute pas une seconde. Mon directeur a toujours été le stéréotype des films et il ne me lâche jamais vraiment la grappe.

Après avoir terminé ma dernière gorgée de ce café hideux. Je jette mon gobelet pour sortir de mon bureau pour emprunter l'allée menant à celui de mon patron sur le passage je salue mes collègues avant de toquer à la porte du présumé.

- Entrez, dit-il.

J'entre et arbore mon sourire le plus narquois qu'il existe, il me déteste. Je m'assoit sans attendre son avale ce qui me vaut un resserrement de cravate en adéquation avec son costume. Il prend une légère inspiration avant de finir la gorge de son café.

- Bon, si je vous ai fait venir ici c'est pour vous parler d'un nouveau projet.

Je soupire d'avance sachant pertinemment que cette entrevue allait être longue et ennuyeuse.

- Et comme par hasard vous avez pensé à moi ? Demandais-je.
- Filipaldi..entre nous..je pense que vous avez besoin d'un coup de pouce dans votre carrière pas vrai ?

J'hausse mon sourcil ne comprenant pas vraiment où voulait il en venir. Il est vrai que je tiens à mon boulot malgré que mes journées sont toutes plus ennuyantes les unes des autres mais je n'ai jamais sauté le pat de changé.
J'ai toujours aimé la communication dès mon plus jeune âge. D'ailleurs, je me souviens de mon premier exposé au lycée ou j'avais mis des jours à le réaliser et qui était l'héroïne de cette mascarade ? Fabio. Évidemment, n'ayant aucune idée j'avais décider de faire un exposé sur la moto sa passion. A cette époque la jamais j'aurais pensé être là où j'en suis aujourd'hui et me comporter comme une parfaite inconnu avec le pilote.

La prof avait été ébahit de mon PowerPoint pourtant affreux. Mais j'avais donner du coeur a l'ouvrage alors à la fin de mes années lycée je me suis lancée dans une école de communication et je me suis enfermée dans cette filière comme par automatisme.

Je sort de mes pensées voyant Klein, mon directeur. Me dévisager du regard. Je racle ma gorge afin de reprendre mes esprits et je me claque encore mentalement d'avoir encore eu une pensée pour lui. C'était devenu une routine depuis que je l'avais revu comme si chaque jour j'avais le droit à un flash back de mon époque.

- Bon je ne vais pas faire traîner le suspens.., dit-il en ce levant pour faire face à sa fenêtre.
- Je vous écoute.
- Notre boîte de communication a été repérée par le championnat du Monde de MotoGP...

Oh merde.

Tout mais pas ça.

Alors inconsciemment j'étais déjà entrain de me préparer à ses prochaines paroles.
Sauf que je m'obstine directement à devoir travailler pour cette chose ignoble.
De plus, pourquoi la MotoGP ? On aurais pu trouver un autre super plan de communication comme le foot par exemple. Décidément, mon destin ce liais contre moi. Je refuse immédiatement ce job je ne vais pas être câble de gérer la chose et en plus je ne m'y connais pas plus que ça. Enfin j'suis rouillé sur la chose depuis toutes ses années.

- Vous allez participer à quelques courses du championnat au sein du team Yamaha.

Euh attendez ? Yamaha ? Ce n'est pas l'écurie de Fabio ? Je me fait le film dans ma tête essayant de me souvenir de son Instagram avec des images de la moto et ça ne fait qu'un doute. Ils ont tous décidés de ce liés contre moi ou quoi ? Mon patron ne comprenait pas vraiment pourquoi j'étais silencieuse. Il était vrai que depuis son annonce je n'avais pas bronché. Je restait là assise les yeux rivés sur le gros dossier avec écrit « MOTOGP » en grand dessus. M'imaginant déjà le cauchemar que je vais subir. Comme par hasard notre simple petite boîte de communication Niçoise avais été repérer. C'est le comble.

- J'ai vraiment besoin de quelqu'un de polyvalent et compétent sur ce job.
- Je ne m'y connais en rien dans ce sport et en plus j'aime pas la vitesse tout ça..mentais-je.
- Vous rigolez ou quoi ? Vous arrivez toujours en trombe avec votre Audi noir dans le parking et vous adorer faire des freins à mains et vous allez me faire croire que vous aimez pas la vitesse ? Vous n'avez pas le choix de toute façon. Si vous refusez je serais dans l'obligation de vous virer.

Je me lève outrée de ses propos. Je n'avais même pas le choix de mon propre job. Rien qu'à son regard je savais que Klein ne rigolait pas et qu'il était très sérieux.

Mais qu'est ce que j'ai foutu au bon dieu pour mériter ça ?

- Lise.., dit-il. J'ai confiance en vous. De plus, vous n'allez pas faire toute les courses. L'équipe a juste besoin d'un petit coup de pouce.
- Ils ont pas de community manager dans leurs jolie bazar ?
- Filipaldi.. la MotoGP et Yamaha nous fait confiance. C'est une occasion en or de parler de notre savoir faire et de nous faire connaître.
- J'y gagne quoi moi dans tout ça ?
- Je vous promets une belle promotion. Mais s'il vous plaît.. j'ai besoin de ce contrat.

Je souffle les bras croisés avant de finir par accepter. J'étais pendue. Je n'avais pas le choix que d'accepter. A l'heure actuelle, j'étais aucunement capable de retrouver un job et j'en avais pas envie. Cette journée était décidément cauchemardesque.

Après notre entrevue avec Klein, j'avais fini ma journée assez tôt. Je suis passer voir Eddy comme chaque soir pour voir si tout ce passais pour le mieux et je suis rentrée.

Le seul job inintéressant c'était pour bibi. Et en plus, dans l'écurie de mon cher ex. On doit m'en vouloir pour m'infliger tout sa depuis quelques jours. J'avais appeler Eloïse pour lui expliquer tout ça et elle était autant choquée que moi. J'avoue que je ne sait pas comment les choses vont ce passé surtout que je m'efforce d'oublier l'autre idiot.

Et dans le comble de la journée de merde, Léon a vomis dans le salon. J'ai donc après avoir téléphonée une heure à Eloïse nettoyer de fond en comble mon appartement.

Je le déteste.

Et le pire ? C'est que je me déteste.

On peut s'endormir et oublier ces quelques jours ignobles que je viens de vivre ? Non car on peut oublier et puis recommencer à zéro.

Je m'écroule vers vingt trois heures dans mon lit après avoir passer une bonne demi heure sous la douche à hurler tout ce que je savais.

Le répit était de courte durée quand mon téléphone ce mets à vibrer.

- Réunion avec Yamaha demain à Paris. Je t'envoie les billets par mail. Ton avion est à dix heures je t'attendrais à l'arrivée à l'aéroport.

                                                      Klein

J'hurle une nouvelle fois. Je ne pouvait donc vraiment pas avoir de répit ? De plus, j'ai aucunement prévu de partir à Paris comme ça.
Je détestais tout mon entourage a l'heure actuelle et encore plus Klein.

La valise sa attendra.

Et puis comme une bonne journée de merde il fallait bien que la personne que je déteste depuis quelques temps daigne à me biper alors que j'avais été formel.

- Filipaldi chez Yamaha.. c'est une dinguerie 🤣

Manquais plus que lui. Qu'il ne rêve pas trop. Je compte bien faire une course leurs faire un truc bien et niquel et merci au revoir.
Klein n'aura pas le choix. Je patiente un long moment avant de râler et de répondre.

- Rêve pas trop. Je n'ai pas eu le choix.

- Ah ouais ? Dit plutôt que tu rêvais de me revoir 😎

- Ne prend pas tes rêves pour des réalités. Et en plus il me semble avoir été assez clair l'autre soir Quarta.

- Tu aurais été si formel que ça.. tu ne m'aurais pas répondu 🤣

Fabio 1 - Lise 0

- Je peut toujours te bloquer. T'es pas invincible 😊

- Tu serais à la réunion de Yamaha alors demain ?

- Non.

Enfaite si mais j'avais pas envie de plus discuter avec lui après cette journée merdique.
Mais bon.. j'étais très nulle en mensonge.

- Menteuse 😜

- Tu va me lâcher la grappe quand ?

- Jamais. C'est que le début.

J'ignore ce qu'il voulait entendre par là mais j'avais décider de mettre fin à la conversation.
Je sens que ça va être un supplice la journée de demain. Mon dieu. Je m'endors aussitôt après afin d'être de bonne composition pour la pénible journée de demain.

***

Après de longues heures de trajet à me poser des dizaines de question sur ma présence dans cet avion. J'arrive à paris sous la pluie et la pression de la capitale. A peine sortie de l'aéroport CDG, je croise Klein avec un panneau dans les mains le levant tout aussi gênant.

- Filipaldi vous êtes venu !
- Je n'avais pas vraiment le choix, murmurais-je.
- Bien. Montons avec Antoine. Il va nous emmener dans l'hôtel ou ce déroule notre réunion.
- Super..ralais-je en montant dans la voiture.

Après une bonne demi heure de route et une bonne demi heure de blablatages de Klein nous arrivons à l'hôtel pour le rendez-vous. Nous sommes accueillis dès notre arrivée par le manager de l'écurie et leur attachée de presse avec qui je serais en binôme.

Klein était fou fou et moi j'avais qu'une envie m'enfuir en courant et reprendre rapidement un avion oubliant toutes ses subtilités.

- Enchantée je m'appelle Mader. Mais appelle-moi May.
- Enchantée, je m'appelle Lise.
- Mesdames, suivez-nous tout les membres de la réunion sont installés.

Nous prenons l'ascenseur et nous dévalons les étages jusqu'à la salle prévu pour la réunion. Je remarque qu'elle était pleine de personne inconnu, sûrement du staff Yamaha.
Je n'avais jamais été très à l'aise en publique surtout quand je n'y connais rien. Klein me lance un clin d'œil lorsqu'on s'engouffre dans la salle.

Sans plus attendre et sans surprise Fabio était déjà présent avec Tom. Le manager de Yamaha fait les présentations ce qui me vaut un regard de sa part me genant totalement.

Qu'est ce que je fou là ?

Je m'assoit péniblement à côté de Klein au beau milieu de tout ce petits monde lorsque le manager lance la réunion. Évidement, Tom et Fabio ne me quittait pas du regard échangeant quelques banalités en me visant.

- Bienvenu dans notre première réunion. Merci à tous d'être présent. Cette nouvelle année va être très importante pour nous. Tout d'abord, je souhaitais vous présentés Klein Afonso et Lise Filipaldi qui font partit de l'organisme de communication qui va nous suivre cette année.

L'assemblée applaudis. Je voulais m'échapper à toute vitesse de cette endroit gênant.
Pour encore plus m'achever, après quelques échanges de bon procédés le manager décide de me demander de me présenter devant les autres.

- Klein.. je déteste faire ça, chuchotais-je.
- Allez Lise, ça va être rapide, dit-il.

Stressée mais n'ayant pas vraiment le choix, je me lève de ma chaise tout en jouant avec ma bague et me place en face de tout le monde. A ma gauche, Fabio étais assis avec Tom ne me lâchant pas du regard. Faites que ce moment ne ce reproduise jamais.

- Enchantée.., balbutiais-je. Je m'appelle Lise et je suis niçoise.
- Oh comme par hasard comme toi Fabio, lança Tom en rigolant ce qui vos un fou rire général.

Et merde. Il fallait qu'il l'ouvre celui là. Je lui lance mon regard noir ce qui fait rire Fabio.
Ce même rire dont j'étais éperdument amoureuse à l'époque.

Lise ressaisi toi.

- Ouais bref. J'ai bientôt vingt trois ans et ça fait deux ans que je suis chez Amazing Communication.., dit-je en allant me rasseoir.

Finalement, cela avait été beaucoup plus facile que je le pensais. Ensuite, la réunion ce suivit sans réel débordement. Je n'avais pas arrêter de fixer mon cahier et de jouer avec mon crayon tout en étant sans arrêt fixer par Fabio.

Lors de la pause, je m'empresse de sortir sans attendre Klein afin de prendre l'air. Après tout je l'avais bien mériter. J'allume ma cigarette lorsque je sens une main me la retirée.

- Tu fume maintenant ? Demande-t'il.
- Rends moi ça, grognais-je.

Têtu comme il était, il l'écrase fièrement devant moi affichant un sourire béa.

Il faisait chier.

- T'es content de toi ?
- Lise..,dit-il. C'est pas bon pour ce que tu as.
- Laisse mon coeur en dehors de ça.
- Je m'inquiète pour toi..
- Laisse-moi rire, en quelques années tu ne t'es pas beaucoup inquiété de ma santé alors laisse-moi finir cette clope j'en ai besoin.
- Bon..et bien je te laisse finir de te droguer.
- Ouais ouais c'est ça retourne avec ton toutou arrogant.

Alors qu'il s'apprêtait à tourner les talons et a enfin me laisser tranquille, il ce retourne vers moi.

- Tu sais.. même si je suis parti il y'a quelques années je ne t'ai jamais oublié. Mais maintenant que tu le veuille ou non on va devoir bosser ensemble alors sa serais dommage d'être en mauvaise entente.

Je ne réponds pas et il remonte dans la salle de réunion.

Il m'en demandait beaucoup trop. Les choses ne pouvait pas ce passé de cette manière.
De plus, je ne suis pas prêter à revivre tout ça et puis.. je l'ai oublier enfin je crois.
Même si c'est devenu comme un inconnu je n'oublie pas ce que j'ai vécu avec lui et je suis totalement incapable d'être ami ou en bon therme avec lui car je lui en veut tellement de m'avoir laisser partir et de m'avoir abandonnée au moment où j'avais le plus besoin de lui.

***

Il était déjà vingt heure quand nous arrivons au restaurant avec Klein. Nous passons la nuit sur Paris avant de rentrer demain à Nice.
Évidement, nous devons passer le dîner aux côtés de l'équipe Yamaha à mon plus grand plaisir.

Après un rapide passage dans ma chambre d'hôtel, j'avais vêtu une robe noir avec une veste légèrement posée sur mes épaules accompagnés d'un sac que j'avais eu pour mon anniversaire que je sortait que lors des grandes occasions.

Nous rentrons dans le restaurant et nous essayons au côtés de l'équipe. Je devais faire bonne impression même si je détestais être ici et encore plus les personnes présente.

Fabio était en face de moi et je n'avais pas le choix de cette place. J'étais gênée et j'ignore comment allait ce dérouler le repas.

Tout le long, il ne m'avais pas quitté du regard me lançant quelques petits piques de temps en temps comme il avait toujours aimé faire.
Mais comme par magie, je rigolais trouvant sa plutôt drôle. J'ignore si c'était l'effet de l'alcool bu ou de l'atmosphère plutôt bonne enfant qui régnais ce soir à ma plus grand surprise.

Il était tard et j'avais assez bu pour ce soir, Klein aussi. Il n'avais rien de trouvé mieux à faire que de rentrer avec une des assistantes de l'écurie me laissant complètement en plan.

J'étais incapable d'aligner trois pats et encore plus de retrouver l'hôtel en plein Paris.
Il restait plus que Fabio, Tom et moi dans le restaurant. Par un élan de courage, je me lève avant de me rétamer au sol. Les garçons accourent aussitôt et j'étais mort de rire.

Vive le vin blanc.

- Désoler, j'ai trébucher, rigolais-je.
- J'vais te ramener à ta chambre, dit Fabio.
- Je vais appeler un taxi pour nous ramener, annonce Tom téléphone à la main.

Quand à moi, j'étais toujours par terre mort de rire tenu par Fabio qui essayait tant bien que mal de me lever. Mes yeux s'arrête net sur sa manche légèrement retroussée laissant s'échapper son tatouage. Nos regards ce fixent lorsque je remarque ce qui était gravés à même sa peau. Une légère larme d'amertume me gagne mais je restait stoïque ne comprenant pas vraiment. Merci l'alcool de cet océan d'émotion. Mais pourquoi avait t-il graver cette date sur son bras. Notre première rencontre.

- Fabio.., murmurais-je.

Il me regarde un long moment. Son regard ce plante dans le mien et mon coeur battait à la chamade. Je manque de m'étouffer à tout moment ne contrôlant désormais plus mes émotions. J'ignore ce qu'il ce passait à cet instant précis mais un nouveau film ce déroule dans ma tête avec des dizaines de souvenir de nous deux sûrement dû à ce fameux tatouage.

M'aimais t-il encore ?

Non mais pourquoi je pensais à ça sérieux.
Je me relève silencieusement lorsque Tom nous rejoint.

- Le taxi nous attends, allons-y, dit Tom.

On monte tout les trois dans le taxi et je m'endort quasiment aussitôt. J'ignore comment je suis rentrée par la suite mais une chose est sûr c'est que j'ai des tonnes de question qui fuse dans ma tête désormais.

Comment les choses vont elles ce passés ?

Vais-je réussir à faire comme si de rien était ?

___________________

Nouveau chapitre ! ☀️

Bonne semaine à vous tous.

J'essayerais de posté dans la semaine !

Bisous 😽

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