๐‹๐„๐’ ๐‹๐€๐‘๐Œ๐„๐’ [๐ˆ๐ˆ]

Door jadsackerman

34.8K 2.1K 4.2K

"๐™ด๐š ๐šœ๐š’ ๐š๐šž ๐š๐š˜๐šž๐š๐šŽ๐šœ ๐š‚๐š’ ๐š๐šž ๐š๐š˜๐šž๐š๐šŽ๐šœ, ๐š—'๐š˜๐šž๐š‹๐š•๐š’๐šŽ ๐š™๐šŠ๐šœ ๐šš๐šž'๐š๐šž ๐šŽ๐šœ ๐š–๐š’๐šŽ๐š—๐š—๐šŽ ๐™ฒ๐šŠ๏ฟฝ... Meer

-๐Ÿ
-๐Ÿ
-๐Ÿ‘
-๐Ÿ’
-๐Ÿ“
-๐Ÿ”
-๐Ÿ•
-๐Ÿ–
-๐Ÿ—
-๐Ÿ๐ŸŽ
-๐Ÿ๐Ÿ
-๐Ÿ๐Ÿ
-๐Ÿ๐Ÿ‘
-๐Ÿ๐Ÿ’
-๐Ÿ๐Ÿ“
-๐Ÿ๐Ÿ”
-๐Ÿ๐Ÿ•
-๐Ÿ๐Ÿ–
-๐Ÿ๐Ÿ—
-๐Ÿ๐ŸŽ
-๐Ÿ๐Ÿ
-๐Ÿ๐Ÿ
-๐Ÿ๐Ÿ‘
-๐Ÿ๐Ÿ’
-๐Ÿ๐Ÿ“
-๐Ÿ๐Ÿ”
-๐Ÿ๐Ÿ•
-๐Ÿ๐Ÿ–
-๐Ÿ๐Ÿ—
-๐Ÿ‘๐ŸŽ
-๐Ÿ‘๐Ÿ
-๐Ÿ‘๐Ÿ
-๐Ÿ‘๐Ÿ‘
-๐Ÿ‘๐Ÿ’
-๐Ÿ‘๐Ÿ“
-๐Ÿ‘๐Ÿ”
-๐Ÿ‘๐Ÿ•
-๐Ÿ‘๐Ÿ–
-๐Ÿ‘๐Ÿ—
-๐Ÿ’๐ŸŽ
-๐Ÿ’๐Ÿ
-๐Ÿ’๐Ÿ
-๐Ÿ’๐Ÿ‘
-๐Ÿ’๐Ÿ’
-๐Ÿ’๐Ÿ“
-๐Ÿ’๐Ÿ”
-๐Ÿ’๐Ÿ•
-๐Ÿ’๐Ÿ–
-๐Ÿ’๐Ÿ—
-๐Ÿ“๐ŸŽ
-๐Ÿ“๐Ÿ
-๐Ÿ“๐Ÿ
-๐Ÿ“๐Ÿ‘
-๐Ÿ“๐Ÿ’
-๐Ÿ“๐Ÿ“
-๐Ÿ“๐Ÿ”
-๐Ÿ“๐Ÿ•
-๐Ÿ“๐Ÿ–
-๐Ÿ“๐Ÿ—
-๐Ÿ”๐ŸŽ
-๐Ÿ”๐Ÿ
-๐Ÿ”๐Ÿ
-๐Ÿ”๐Ÿ‘
-๐Ÿ”๐Ÿ’
-๐Ÿ”๐Ÿ“
-๐Ÿ”๐Ÿ”
-๐Ÿ”๐Ÿ•
-๐Ÿ”๐Ÿ–
-๐Ÿ”๐Ÿ—
-๐Ÿ•๐ŸŽ
-๐Ÿ•๐Ÿ
-๐Ÿ•๐Ÿ
-๐Ÿ•๐Ÿ‘
-๐Ÿ•๐Ÿ’
-๐Ÿ•๐Ÿ“
-๐Ÿ•๐Ÿ”
-๐Ÿ•๐Ÿ•
-๐Ÿ•๐Ÿ–
-๐Ÿ•๐Ÿ—
-๐Ÿ–๐ŸŽ
-๐Ÿ–๐Ÿ
-๐Ÿ–๐Ÿ
-๐Ÿ–๐Ÿ‘
-๐Ÿ–๐Ÿ’
-๐Ÿ–๐Ÿ“
-๐Ÿ–๐Ÿ”
-๐Ÿ–๐Ÿ•
-๐Ÿ–๐Ÿ–
-๐Ÿ–๐Ÿ—
-๐Ÿ—๐ŸŽ
-๐Ÿ—๐Ÿ
-๐Ÿ—๐Ÿ
-๐Ÿ—๐Ÿ‘
-๐Ÿ—๐Ÿ’
-๐Ÿ—๐Ÿ“
-๐Ÿ—๐Ÿ”
-๐Ÿ—๐Ÿ•
-๐Ÿ—๐Ÿ–
-๐Ÿ—๐Ÿ—
-๐Ÿ๐ŸŽ๐ŸŽ
-๐Ÿ๐ŸŽ๐Ÿ
-๐Ÿ๐ŸŽ๐Ÿ
-๐Ÿ๐ŸŽ๐Ÿ‘
-๐Ÿ๐ŸŽ๐Ÿ’
-๐Ÿ๐ŸŽ๐Ÿ”
-๐Ÿ๐ŸŽ๐Ÿ•
-๐Ÿ๐ŸŽ๐Ÿ–
-๐Ÿ๐ŸŽ๐Ÿ—
-๐Ÿ๐Ÿ๐ŸŽ
-๐Ÿ๐Ÿ๐Ÿ
-๐Ÿ๐Ÿ๐Ÿ
-๐Ÿ๐Ÿ๐Ÿ‘
-๐Ÿ๐Ÿ๐Ÿ’
-๐Ÿ๐Ÿ๐Ÿ“
-๐Ÿ๐Ÿ๐Ÿ”
-๐Ÿ๐Ÿ๐Ÿ•
-๐Ÿ๐Ÿ๐Ÿ–
-๐Ÿ๐Ÿ๐Ÿ—
-๐Ÿ๐Ÿ๐ŸŽ

-๐Ÿ๐ŸŽ๐Ÿ“

496 20 44
Door jadsackerman

Alors, si vous pensez que le chapitre d'hier était long, celui-là est bien plus long, dix milles mots.

J'suis désolée les filles.

J'espère que c'est pas étouffant.

Rien à voir, mais je ne parlerais pas du coup de tonnerre qui ressemblait à un putain de coup de feu.

Bref, bonne lecture.

"𝙰𝚕𝚘𝚛𝚜 𝚘𝚗 𝚜𝚘𝚛𝚝, 𝚏𝚞𝚕𝚕 𝚋𝚕𝚊𝚌𝚔, 𝙳𝚒𝚘𝚛"

𝐈𝐫𝐞𝐧𝐚🤱🏾.

- Andry, dégage !

J'ai voulue fuir mais il m'a attrapé la bouche pour m'embrasser.

Andry - J'peux embrasser ma femme ou pas ?

L'océan Atlantique...

- T'es chiant, tu m'as enlevé du gloss.

Andry - Qu'est-ce que j'm'en fou, c'est moi qui l'ai payé.

Mais c'est un ouf lui.

Andry - Bref, montre ton maillot de bain.

J'ai enlevé mon peignoir pour lui montrer mon maillot.

J'peux lui montrer les deux... pardon.

Un petit bikini avec un kimono transparent, j'vais faire des dégâts.

- J'suis pas trop belle genre ?

J'ai bougé ma perruque dans tous les sens.

- Ta femme elle est pas trop belle là ?

J'ai bougé mes fesses sur lui.

Il m'a mise une fessée du tur-fu, j'ai très bien sentis.

Mais ça fait un peu les vidéos de Pinterest en deux mille seize.

- On appelle nos bébés ?

Andry - Encore celles qui remplissent leur couche ?

- Oui.

Il a appelé son père.

Jared - Ouais ?

Andry - Passe-moi mes gosses s'te plaît.

Jared - Hein ? Tu crois qu'elles sont chez-moi ou quoi ?

Andry - Bah ouais.

Jared - Mdr toi, j'ai une petite pisseuse blonde qui me casse les couilles là, d'ailleurs, touche pas !

Adiyna - Dada !

Jared - Pose les ciseaux sur la table, j'vais arracher ta tête.

Elle s'est mise à crier.

Jared - Mais toi, depuis que ta mère a repris le travail, tu crois que j'suis ton pote, tu vas te prendre un coup dans ta bouche.

Adiyna - Dada...

Elle a pris son père dans ses bras.

Oh...

Andry - Mais on s'en fout de ta kabyle, elles sont où les autres là ?

Jared - Chez la daronne d'Irena, et évite, qui est kabyle ici ? Tu veux que j'te baise ou quoi ?

Andry - Azi toi. Maman elle est où ?

Jared - Elle est au taff, elle fait sa garde de nuit, elle va appeler dans trois minutes pour pleurer parce que ses spermatozoïdes lui manquent. "Liam, mon bébé" "Naomi, ma mini moi", "Adiyna, ma choupette", elle croit qu'elle a encore dix-huit ans, n'importe quoi.

Andry - Laisse-la, elle est fière de ses ovaires.

Jared - D'ailleurs, la mère porteuse m'appelle.

Andry - Azi.

Il a raccroché.

Andry a finalement appelé ma mère.

Maman - Allo ?

- Oui, ça va ?

Maman - Non, l'autre est en train d'appuyer sur ma vessie en me mettant des coups, elle fait des pirouettes dans mon ventre, elle croit que c'est un gymnase, j'mets un coup dans mon ventre, elle est plus là.

- Maman.

Andry - Kiana.

Maman - Andry, si t'es d'accord avec ses idéologies, j'vais dire à ta mère de t'frapper.

Andry - Ouh, on est à sept mille kilomètres, j'suis bien avec ma femme, elle va rien faire à part être fière de moi.

Il m'a embrassé.

Maman - Tchip, vous voulez quoi ?

- On veut voir Abi et Esma.

Maman - Cataleya !

J'ai vue mes deux petits bébés débarquer.

- Coucou mon amour, ça va ?

Abi - Non...

- Oh, pourquoi ?

Abi - Parce que t'es pas là.

Chouchou...

Maman - Elle a criée toute la nuit "maman" "je veux ma maman" "reviens maman".

C'est la fille de sa maman, elle veut rien savoir.

- Bébou... ça va aller, maman rentre bientôt, sois forte.

Abi - Je veux mes parents, maman viens me chercher.

Elle s'est mise à pleurer.

Andry - Eh, papa il t'a dit quoi hier ?

Abi - De pas pleurer...

Andry - Donc tu sèches tout ça, ma fille c'est une p'tite conne crari ?

Abi - Non...

Andry - Voilà, donc t'arrêtes de pleurer, fais un bisou à travers la caméra.

J'ai vue ses petites lèvres roses se poser sur la caméra.

- Bisou mon amour.

En regardant ses petits yeux, j'ai vue un truc bizarre.

Elle a une tâche dans l'œil.

Maman - Y'a un problème ?

- Maman, regarde son œil gauche s'il te plaît.

Elle a regardée.

Maman - Il y a une petite tâche dans son œil, bébé, tu t'es blessé ?

Abi - Non Abuela.

Maman - C'est bizarre alors, bébé, tourne un peu tes yeux.

Elle les a un peu gigoter.

Maman - Trop bizarre, faut qu'elle aille voir Evie dès qu'elle rentre demain de sa garde.

- Okay.

Abi - Maman, j'suis malade ?

- Non mon cœur, t'inquiète pas, tout va bien.

Abi - J'ai peur de voir mamie, elle va m'tuer ?

- Mais non mon amour, elle va juste t'ausculter.

Abi - Au... ausculter ? C'est quoi ça maman ?

- Tu vois ta pédiatre que tu vois tous les mois pour tes vaccins et pour te peser ? Bah elle t'ausculte.

Abi - Han ? Mamie elle va me piquer ?

Elle s'est mise à paniquer.

- Non mon amour, elle va juste regarder tes yeux, elle ne va rien te faire, tu sais qu'elle est pas comme ça, ausculter c'est observer le corps, les sens mais sans piqûre ni rien, d'accord ?

Abi - D'accord mamá.

Mon bébé parle espagnol.

- T'as bien mangé ?

Abi - Oui mamá.

- Aujourd'hui tu manges quoi ?

Maman - Des cuisses de poulet avec...

Abi - Des frites !

Elle était trop contente.

Maman - Toujours avec un petit biberon de lait maternel bien chaud pour que tu dormes bien.

Abi - Oui !

Esma - Ah !

Elle s'est réveillée d'un coup.

Abi a posée sa sœur devant la caméra.

Esma - Oh... ah !

Elle a hurlée tellement elle était contente.

Esma - Pama !

C'est comme ça qu'elle nous appelle "pama" un mix de mama et papa.

Andry - Ça va la plus belle ?

Esma - Ah !

__

Après une bonne discussion en famille, on s'est dirigé vers la plage.

Le bon sable blanc, on va faire des dégâts.

On s'est mis un peu loin pour profiter à deux.

Le soleil était bien haut et il tapait fort, alors la libido augmente.

- J'te mets de la crème solaire en premier ?

Andry - Les dames d'abord.

- Alors tourne toi.

Il s'est mis dos à moi.

J'ai étalé la crème sur son dos, je voyais ses quelques grains de beauté et les griffures que je lui avais fait, incroyable.

J'en mettais bien partout, c'était satisfaisant de toucher son dos bien muscler.

J'avoue qu'aux niveaux des griffures j'ai fait des dégâts, ouais... j'ai fait des dégâts sur le terrain.

Je vous demande pardon, pardonnez population.

- Allez, tourne-toi, j'vais bien masser tout ça.

Il s'est mis face à moi.

- Ouh... mon mari.

J'ai posé mes lèvres sur les siennes.

Andry - Tu ressembles aux meufs de snap qui racontent toute leur vie en disant "mon mari".

- Bientôt, nous aussi on va être sur snap.

Andry - Dégage, mets ma tête sur tes réseaux sociaux pour faire la commère j'vais exploser ton cul, t'es une ouf.

Eh ?

- J'rigole, orh.

J'ai commencée à mettre la crème sur son torse, encore des griffures, beaucoup moins, mais y'en a.

C'était ses bras qui m'intéressaient surtout, parce que là, y'a des griffures bien longues.

- Ce matin, t'as fait ton sport ?

Andry - Ouais, d'ailleurs, y'a une machine à escaliers pour un peu muscler tes fesses graisseuses.

- Mais ? T'es méchant...

Andry - J'rigole, t'as un gros cul, c'est ce qui compte, j'aime bien ta graisse.

Il a pris mes seins dans ses mains.

Andry - C'est ma femme ça.

J'ai mordu ma lèvre du bas.

Andry - Bon, j'prends le relais.

Il m'a couché sur la serviette.

Il a enlevé mon haut, mon dos lui était exposé.

J'ai sentis ses mains masser mon dos, purée... il fait ça bien.

Andry - J'ai grave appuyé sur ton dos, ça va ?

- Ça va, les tâches rajoutent un charme.

Andry - Ah j'avoue, j'ai bien envie de te pencher.

- N'importe quoi.

Il m'a tourné face à lui et il a retiré le haut de mon bikini.

- j'deviens nudiste ?

Andry - Un peu, mais que pour moi.

Il a étalé de la crème sur mes seins.

Un vrai pervers.

Il a serré l'un de mes seins.

J'ai sentis du lait sortir.

- Andry !

J'ai frappé sa main.

Andry - Tranquille, j'ai pas encore bu.

N'importe quoi.

__

On a passé un bon moment, on est finalement reparti à la maison pour se changer.

On allait faire de la trottinette, ça allait être archi bien.

J'ai mis une petite robe un peu courte.

Votre baby mama est chic.

J'vais bien profiter de mon petit break, c'est très important de se reposer, laisser ses enfants chez ses parents, et être rien qu'à deux.

Bon... on veut accueillir deux autres, mais on va bien profiter des neuf mois qui arrivent.

Mais vraiment, se retrouver en amoureux ça fait du bien.

Andry - T'es bonne en vrai.

- Tu peux pas juste dire que j'suis belle ? Andry, j'vais finir par croire mon père.

Andry - Orh... j'rigole, t'es magnifique, la plus belle femme que j'ai vu.

Il m'a embrassé en agrippant mon fessier.

J'ai sentis ses mains caresser mon visage comme sa princesse.

Andry - Bon... la femme de ma vie est prête, tout est parfait.

- Tu pars en jogging ?

Andry - Ouais.

Alors lui.

__

- Mais pourquoi j'dois être devant ?

Andry - Parce que, c'est comme ça.

Je suis montée et il s'est mis derrière moi.

Il s'est collé à moi, j'ai finalement mis les gaz, vamos !

C'était incroyable.

Andry - Oh putain, Irena, tu vas me donner le tournis.

- Alors j'accélère !

J'ai mis la troisième vitesse, on va tout casser sur cette île !

__

On venait de finir, Andry m'a tellement insulté, miskine, je roulais comme une folle.

- C'est bon, t'as kiffé en vrai ?

Andry - Non, j'ai failli perdre la vie avant d'avoir mes jumeaux, t'as failli les tuer, tu t'en rends compte ou pas ?

- Orh, ça y est, fais bisou.

Il m'a embrassé mais il était yomb.

- D'ailleurs, ça fait la combientième douche froide que tu prends ?

Andry - La troisième, une après le sport, une après la plage et une après la trottinette, j'évite de transpirer comme un schlague.

- Tu vas tomber malade, et très bêtement.

Andry - Corps dur, tu m'as jamais vu malade, donc non.

Tchip, j'attends seulement.

__

Là, on était sur la route pour aller au McDo, on avait la musique à fond.

"Pour toi, j'irai jusqu'à Palerme"

Franchement, quelle douceur mélodique, on criait comme des zouaves.

Une fois au McDo, on a commandé la même chose qu'hier, les choses simples.

__

Une fois à la maison, on s'est installé au salon pour manger.

- Tu veux des frites ?

Andry - J'veux bien ton lait.

Tchip.

- D'ailleurs, faut que je prenne du lait.

J'ai ramassé une brique de lait pour boire.

Andry - C'est bon ?

- Pas forcément, mais faut bien que les spermatozoïdes rentrent et restent bloqués.

Andry - J'avoue.

Il a reniflé.

Je n'ai pas calculé.

Andry - Faut qu'on commence à utiliser les courses qu'on a pris.

Il a encore reniflé.

- J'avoue...

Vous sentez la douille ?

__

Après deux bonnes doses de viagra, on a fait l'amour jusqu'au bout de la nuit, on a saccagé la maison, miskine la femme de ménage.

Le lit, la douche, le sauna, le lavabo, le plan de travail, la table basse, le canapé, contre le mur, la fenêtre et la piscine.

On a tout cassé, là, on sentait que le viagra redescendait, donc on a fini dans notre lit, on le faisait une dernière fois.

- Andry...

Il cassait mes reins d'une manière, j'en perdais mes sens.

J'ai planté mes ongles dans son dos, qu'est-ce que ça faisait du bien.

- Ah...

Je me suis mise à pleurer.

Je crois que j'ai jamais autant pleurée de plaisir que ce soir.

Il a séché mes larmes avant de m'embrasser en continuant de me faire la misère.

J'avais chaud, je transpirais, l'odeur du sexe se répandait de partout, en plus du parfum que chacun avait mis.

Il est venu me faire un suçon dans le cou.

- Andry...

Je l'ai entendu pousser un gémissement dans le creux de mon oreille.

Les choses qui m'excitent.

J'ai criée plus fort.

Il a mis plus de puissance dans ses coups de reins, il veut me briser en mille morceaux ce soir, on le sent.

J'ai sentis le dessous du lit grincer très fortement et de manière suspicieuse et d'un coup, on a entendu une latte de lit se casser.

J'ai poussé un gémissement de plaisir et de surprise.

- Andry...

Il ne s'est pas arrêté, j'étais sa proie ce soir, il n'allait jamais me laisser.

Il a légèrement attrapé mon cou pour y aller plus profondément.

Mes mouvements de hanches suivaient mais vu la puissance qu'il mettait, j'allais perdre le rythme.

La guerre sexuelle est tellement bonne, j'en perdais même mon latin, je ne comprenais plus rien.

Je lui ai dit d'aller plus vite.

Sa longue main a saisi ma jambe pour me mettre sur le côté et on reprend les bonnes habitudes.

Mes bayas dansaient la samba depuis tout à l'heure.

Eh, Andry...

C'est ça qu'on appelle "faire l'amour", que des choses qui font du bien à chacun.

- Han...

J'ai attrapé l'un de ses bras bien tatoué, les choses qui me font jouir.

"Clap, clap, clap" coups de reins sur coups de reins et on a enfin joui.

On a gémi à deux.

Il est venu m'embrasser.

Andry - Wow, j'ai amoché tes yeux, ça va aller.

Il a séché mes larmes et il s'est allongé en me serrant contre lui.

- On a fini pour ce soir ?

Andry - On a passé des heures à se vider, je pense que Tyson mérite de se reposer.

- Ah j'avoue.

Il m'a embrassé.

Andry - Passe une bonne nuit.

- Toi aussi mon amour.

On s'est collé à chacun pour finalement s'endormir en écoutant le bruit de la mer.

Bon... lui là, le couche tard s'est amusé à me faire pleins de bisous dans mon sommeil.

__

Je me suis réveillée seule dans le lit, les rideaux grands ouverts pour laisser place à la mer et le Soleil.

Le décalage horaire va nous tuer quand on va rentrer.

Même la différence de température.

Je me suis levée en mettant mon kimono sur moi et je suis allée dans la salle de bain pour regarder les dégâts qu'Andry avait fait.

Juste avec les traces sur le cou, ça m'a rappelé la latte cassée.

Andry me fatigue.

Même le canapé on l'a un peu amoché, j'espère qu'il a laissé du sperme nul part, la femme de ménage va tellement nous insulter.

J'ai vue des traces dans mon dos, il sait pas se contrôler lui là.

Je me suis vite lavée.

__

Quand j'ai fini, j'ai remis mon kimono transparent et je suis partie au salon, Andry dormait là-bas.

Ça, je sais ce que ça veut dire.

Je savais déjà que s'il n'était pas venu me déranger pendant ma douche c'est qu'il y avait un problème.

J'ai vérifié ses poches.

Des mouchoirs.

Je savais.

- Andry.

Il dormait.

- Bébé.

C'est dégoûtant comme surnom, mais bon... le mariage oh.

- Mon amour.

Je l'ai secoué.

Attends...

Il est pas mort là ?

J'ai touché son cœur.

Il bat correctement, j'ai aussi vérifié sa respiration, c'était pas très régulier.

- Andry, j'suis toute nue et j'ai pas de culotte.

De base, ça le réveille ce gros pervers, mais là, rien.

Attends, il est pas dans le coma ?

J'ai ouvert son œil.

Rien.

- Bébé ?

Bon... dernière solution.

Je me suis assise sur lui.

Il s'est tout doucement réveillé.

Andry - Irena, dégage, j'suis vraiment fatigué.

Juste en entendant sa voix, j'ai capté.

- Oh non... mon mari est malade.

J'ai couru dans ses bras.

- Mon amour, attends j'prends ta température.

J'ai cherché le thermomètre.

Quarante de fièvre.

- Mon bébé, viens voir maman.

Je suis sa deuxième maman, Andry c'est mon deuxième fils.

- T'es enrhumé ?

Andry - Moi ? Pas du-

Il a éternué mais j'ai anticipé en sortant un mouchoir à l'avance.

- Allez, mouche-toi.

Andry - Tourne ta tête de l'autre côté.

Il est trop mignon.

Il s'est finalement mouché.

Andry - C'est bon, j'vais bien.

- Non, tu vas rester allongé, j'vais aller acheter des médicaments pour toi, d'accord ?

Andry - Irena.

- Tu discutes pas, si la femme de ménage arrive, appelle-moi pour que j'vienne te chercher et qu'on aille faire un tour, okay mon amour ?

Je ressemble vraiment à sa maman.

Andry - Okay.

Il était tout rouge.

Je l'ai embrassé et je suis partie avec les clés de la voiture pour courir à la pharmacie.

__

En étant sur le chemin du retour, j'ai entendu mon téléphone sonner.

"Mi Novio🫶🏾"

- Allo ?

Andry - Ouais, la femme de ménage est là, j'crois que j'vais mourrir avec l'odeur de javel.

- J'arrive tout de suite.

Il a raccroché.

Je me suis dépêchée.

__

Une fois à la maison, je suis entrée dans la maison, il était en apnée sur le canapé.

- Holà !

Femme de ménage - Bom dia.

Une brésilienne.

De base, hier je ne voulais pas converser avec elle, mais là... j'veux bien.

- Euh... cómo estás ?

Femme de ménage - Bem e você ?

- Bien, gracias, do Brazil ?

Femme de ménage - Ordem e Progresso.

- De dónde ?

Femme de ménage - Nas favelas do Rio.

- Oh... Todo está bien ahora ?

Femme de ménage - Sim, graças a Deus, e você ?

- De Colombia, de Bogotá, Santa Fé.

Femme de ménage - Deus...

Un latino qui entend ça, il va juste prendre peur, et ils ont raison.

- Está bien, ahora vivo en Medellín.

Femme de ménage - Você era uma prostituta ?

- No, mi mamá, hace mucho tiempo.

Femme de ménage - Oh... euh... O seu marido está doente.

- Sé, Andry, on y va.

Il a commencé à se lever, il a éternué une cinquantième fois.

Crari c'est ce petit faiblard qui a cassé la latte de lit hier ? Et bah...

- Señora, Te dejaremos !

Femme de ménage - Ok.

J'ai pris le gros bébé pour qu'on parte.

Il s'est mis côté passager.

- Tiens mon amour, j'ai pris du Fervex à la framboise, c'est super bon, tu vas aimer, ton nez il sera libre.

Il a pris ses médicaments.

Andry - Merci...

Il s'est étalé sur son siège, mon bébé allait mal.

J'suis une forceuse, je sais.

- T'as mangé ?

Il a secoué la tête.

Il était neuf heures.

- Oula, on va faire un tour, tu veux un McDo ?

Il a secoué la tête.

- Un KFC ?

Il a encore secoué la tête.

- Un Naan ?

Il a refusé.

- Tu veux que je cuisine ?

Il a hoché la tête.

- Oh... mon amour.

Je lui ai fais un bisou.

- J'vais cuisiner, promis mon bébé, attends on va au supermarché, j'dois acheter du lait en poudre avec des flocons d'avoine.

Il kiffait ça avec des amandes, des noix et des morceaux de chocolat.

Le pauvre, il était dans les vapes et il était tout rouge.

C'était trop mignon.

__

J'ai fait vite là-bas, clairement, là, pour moi, mon mari s'étouffait déjà.

Il tombait dans le coma limite.

- Chouchou, ça va ?

Andry - Hm.

Il arrivait à peine à respirer, le pauvre.

Quand il est malade, il devient un bébé, encore pire que d'habitude.

- On va rentrer à la maison, j'vais cuisiner, j'ai pris ton lait préféré, tu vas bien manger.

Il m'écoutait à moitié, oh...

J'ai voulue mettre un peu de musique pour apaiser ses problèmes, mdr.

Il a coupé dès que ça a commencé.

Andry - J'suis désolé, mais j'suis k.o, j'ai mal à la tête.

- C'est pas grave.

__

On est arrivé à la maison.

La femme de ménage avait laissé un mot.

Clairement, elle disait qu'elle avait fait le nécessaire pour la maison, mais qu'elle a rien pu faire pour la latte de lit et le pied de canapé un peu penché.

Oh la honte.

- Andry, va dans la chambre, j'vais préparer ton petit-déjeuner, j't'appelle dès que c'est prêt, d'accord ?

Il a hoché la tête.

- Bisou.

Je l'ai embrassé, le pauvre, il n'avait aucune force pour m'en faire un.

Bon... aujourd'hui, vue que c'est moi l'homme, je lui ai mis une main.

Il n'a même pas rétorqué, pourtant j'lui ai mis une main de fou, bien agrippée bien pincée.

Non, faut que j'arrête de le déranger, il souffre.

Je suis partie préparer son petit-déjeuner.

J'ai placée un bol devant moi, beaucoup de lait en poudre, des flocons d'avoine et du lait de vache.

J'ai bien mélangé et j'ai chauffé ça.

Je sais qu'Andry va pleurer si son lait est trop chaud, donc je l'ai chauffé seulement une minute.

Même en vacances j'suis maman.

Je suis partie le voir avec douceur.

- Chouchou, ton petit-déjeuner est prêt.

Il s'est levé malgré la difficulté.

Je l'ai pris dans mes bras.

- Ça va aller mon amour, faut que tu manges avant que le médicament fasse effet, sinon tu vas dormir avec le ventre vide.

Il a reniflé et on est parti au salon ensemble pour qu'il mange.

Il a goûté.

- C'est pas bon ?

Andry - Si... merci Irena.

Il a embrassé mon front.

Andry - J'suis désolé, eh j'suis k.o, j'ai oublié de prier carrément.

- C'est pas grave, ça arrive, tu t'en est rendu compte au moins.

Je l'ai embrassé.

Le pauvre, il fallait qu'il soit rassuré.

- Arrête de prendre des douches froides, le choc de température va juste te frapper, j'te l'avais dit, quand tu reniflais hier soir, je savais.

Andry - C'est pas grave, je...

Il voulait éternuer.

J'ai dégainé un mouchoir pour qu'il éternue à l'intérieur.

- Mon gros bébé.

Je l'ai entendue gémir de désagréments.

Il a continué de manger, il luttait pour pas pleurer de nerfs.

Il détestait être malade, ça le rendait très faible, regardez comment il ressemble à un bébé.

__

Il a pris d'autres médicaments pour bien qu'il se soigne et qu'il dorme sereinement.

Maintenant, il dormait sur ma poitrine.

Il avait sommeil, le pauvre.

Mais il est mignon comme ça.

J'ai entendue mon téléphone sonner, c'était ma mère.

- Allo ?

Maman - Ça va ?

- Tranquille et vous ?

Maman - Ça va, Andry il a quoi pour dormir à... il est quelle heure chez vous ?

- Midi, il est dix-huit heures chez vous.

Maman - Ouais, bref, pourquoi il dort à midi ? Et pourquoi il est tout rouge comme une fraise ?

- On dit "comme une tomate", il dort à cause des médicaments du rhume, il est rouge à cause de son rhume, j'espère que ça va pas se transformer en vrai grippe, parce qu'il est pas bien.

Maman - Oula, les hommes sont faibles hein, bref, Abi voulait te parler.

Abi - Maman !

- Coucou mon bébé !

Elle était super contente.

Abi - Maman... pourquoi papa il me dit pas coucou ?

- Il dort, papa est épuisé.

Abi - Okay... maman, tu m'oublies pas hein ?

- Bien sûr que non mon bébé, fais voir un peu Esma.

Elle m'a montré sa tête.

Elle dormait déjà.

Maman - Rentrez vite, j'ai jamais autant stérilisé des biberons.

- T'inquiète pas, avec mini Kiana qui arrive, tu vas encore en stériliser.

Maman - Allaitement.

- Et au taff ?

Maman - Je l'emmène, j'vais pas laisser ta sœur la maladroite s'occuper de celle qui m'a fait vomir.

- Bah elle a presque dix-sept ans, maman.

Maman - M'en fiche, qu'elle quitte ma maison.

- T'es méchante, bref, je-

Andry - Irena, j'suis fatigué, moins fort s'il te plaît.

- Pardon mon amour.

Je lui ai fais un bisou sur la joue.

Maman - Il est tombé malade comment ?

- Il prenait trop de douches froides, il a eu un gros rhume.

Maman - Miskine, il a mangé au moins ?

- Oui, je lui ai fais son petit-déjeuner préféré, il a bien mangé mais les médicaments l'ont mis k.o. Là, quand il va se réveiller, je vais lui préparer un truc un peu sucré

Maman - Tu prends soin de lui, c'est bien.

- Il fait pareil quand j'suis enceinte ou malade, donc je fais pareille, bref, Abi a vu Evie ?

Maman - Oui, elle voit juste une lueur claire dans ses yeux, rien d'autre et tant mieux, bref, Abi, dis bye à maman.

Abi - Bye maman !

- Comment on le dit en espagnol ?

Abi - Euh... Hasta luego mamá y papá !

J'étais trop fière de mon bébé.

- Oui, c'est bien mon amour, bye !

Maman - Bye !

Elles ont raccroché et Andry a continué à chercher le sommeil dans ma poitrine.

- T'as pas faim là ?

Andry - Un peu...

- J'arrive, j'vais te cuisiner un petit truc.

Andry - Okay...

Je me suis levée et je suis partie dans la cuisine.

Une bonne tarte à la noix de coco, en plus c'est la saison ici.

J'ai pu avoir deux noix de coco pour préparer, parfait.

__

Après avoir duré dans la cuisine, je l'ai appelé dans la chambre.

- Chouchou, viens voir, j't'ai fait à manger.

Il s'est lentement levé.

Une fois dans le salon, je lui ai montré sa tarte coupé au préalable et un bon lait de coco avec un peu de citron dedans.

Je connaissais un peu trop ses goûts.

Il s'est assis sur le canapé.

Il avait le tournis, miskine.

Je l'ai entendu me remercier en prenant une part.

- C'est bon ?

Il a hoché la tête.

J'étais fière de moi.

Andry - Merci Irena, j'peux t'faire un câlin même si j'suis à deux doigts de reposer en paix ?

- Oh... bien sûr mon amour.

Il m'a serré dans ses bras.

__

Il a sifflé la tarte et le lait de coco, et tant mieux même.

Il dormait maintenant.

Encore.

Il allait se réveiller pour le dîner.

Et comme j'suis sa mère, il dormait sur moi, donc je pouvais plus bouger.

Là, j'ai qu'une musique en tête.

Kiana Ledé - Too Far.

C'est apaisant à écouter.

__

Le soir, il était encore plus épuisé, le pauvre.

J'ai préparé du jollof rice, il a mangé comme il faut.

- Te force pas à finir, faut que tu prennes tes médicaments.

Andry - J'suis trop fatigué, et c'est pas bon.

- Je sais, les médicaments de tout à l'heure avait pas le goût du Fervex, mais tu vas en prendre.

J'ai mis ça dans de l'eau et je lui ai donné.

- Tiens, ça va te faire du bien.

Andry - Mais j'ai pris trop de médicaments, on dirait un fou en psychiatrie, laisse-moi dormir.

- Andry, j'vais te forcer, ouvre la bouche.

Andry - Non, j'vais prendre une douche bien chaude.

J'ai attrapé son bras.

- Mon amour, viens là, prends tes médicaments.

Il ne voulait clairement pas, j'ai forcé, il a finalement pris.

- Voilà, c'est bien, mouche-toi avant d'aller à la douche, sinon ton nez va couler. Mais ça va te faire du bien, tes narines vont se décongestionner.

Andry - Tu me suis ?

- Où ?

Andry - Sous la douche.

Je l'ai dévisagée.

- Heureusement que t'es mon mari, j't'aurais giflé sinon.

Andry - Tu vas gifler ton mari au bord de la mort ?

- Toujours dans l'abus, comment t'as sifflé ma nourriture, Andry, même dans la maladie tu manges, eh...

Andry - Bah tu cuisines bien.

Il ressemble à un bébé.

- Bon... j'te suis, j'vais voir si t'es encore fort au sexe même dans la maladie.

Andry - Azi.

Il m'a tiré jusqu'à la salle de bain.

J'avais mon kimono sans rien dessous, donc s'il tirait dessus, je finissais nue.

Il a enlevé son t-shirt.

- Un grand gaillard comme toi, tu tombes malade, jusqu'à tu deviens rouge, sois un homme.

Andry - Ferme ta gueule, "mon amour, chouchou, bébé" depuis là, dors.

- Pour te rassurer.

J'ai regardée le miroir.

Il est...

J'ai bien envie d'le taro, sans mentir.

Mais je peux, et pas vous.

J'vous fous la rage, bah !

- T'enlève mon kimono ?

Andry - J'enlève ton string d'abord.

- Y'en a pas.

Il m'a regardé en mode "j'te voyais pas comme ça"

Mais il a bien retiré mon bout de tissu pour bien observer mon corps.

Andry - Fais voir ton ventre.

J'ai montré mon ventre bien plat.

J'rigole, j'ai un ventre de buveuse de bière.

Andry - J'aime bien, bref, on y va, j'suis éclaté.

- Azi.

On est allé sous la douche.

On faisait rien à part s'embrasser comme des affamés.

Le viagra est sûrement dans nos gènes.

Il m'a plaqué contre le mur pour me retourner et me pénétrer.

J'ai hurlée dans ses oreilles.

J'ai sentis sa main soulever ma jambe et me mettre des coups de reins.

Même dans la maladie, eh.

- Andry...

Il m'a embrassé en me mettant des coups de reins bien intense.

La façon dont il me secouait dans tous les sens, il n'avait aucune limite.

Sa seconde main a serré ma poitrine.

Il est en train de taper mon petit mètre soixante, doucement, eh...

Pensez pas que j'me crois fragile et trop mignonne pour ma taille, Andry il m'insulte tous les jours tellement il me trouve petite.

Mais comme j'suis aussi grosse, il croit que j'suis flexible de ouf.

J'ai attrapé le carrelage mural pour résister à la douleur.

La chaleur montait au point qu'il y avait de la buée partout.

D'un coup, il a attrapé mon visage pour le soulever vers lui.

On s'est regardé pendant les coups de reins.

Il était confiant et sûr de lui pendant que j'étais à deux doigts de fondre en larmes.

Il m'a embrassé en bombardant à l'intérieur de mon vagin.

Maintenant j'allais avoir des putains de courbatures sur les seins et la cuisse.

J'entendais juste les claquements de nos corps...

'Fin, on vous ment souvent, c'est pas tout le temps le corps à corps qui fait des claquements.

J'vais vous dire la vérité, on est entre copines, clairement, c'est les couilles du gars qui claquent contre les grandes lèvres.

Après y'a les vrais claquements du corps à corps, il tape au fond, la douleur est tellement bonne.

À chaque coup, t'as mal à la tête mais qu'est-ce que c'est bon.

- Andry...

Ayez un mari qui vous satisfait au lit, ça rend moins aigrie.

Bon... y'a ma mère et ma belle-mère.

Mais... c'est l'aigreur d'une femme satisfaite au pieux.

- J'te déteste.

Il est allé au fond, j'ai sentis des maux de tête, ouh...

Faut pas que je tombe malade avec ce grand pervers.

Mais vous voyez, "j'te déteste" c'est le plus grand amour.

Vous comprendrez plus tard.

En plus, il est beau les cheveux mouillés, j'ai envie de faire encore plus de bêtises.

Ses lèvres ont refait du corps à corps avec les miennes en même temps qu'il me faisait l'amour.

Purée, en vrai... cette position elle est... sexy.

Ça fait trop longtemps que j'me retiens de dire ce mot, mais putain, là c'est parfait.

- Mh...

Je sentais déjà qu'il voulait éjaculer.

Comme il avait la main sur ma poitrine, il a attrapé l'un de mes seins pour se concentrer dans les derniers coups de reins qu'il mettait.

Il a recommencé à m'embrasser.

C'est juste parce qu'on est francophone, si on avait été anglophone, j'aurais balancé des trucs du genre: "daddy" ou "fuck me".

Vous me connaissez trop mal, c'est dommage.

J'aurais fait comme les strippeuses, des petits cache-tétons où y'a écrit: "fuck me daddy".

Askip, don't play.

J'suis folle, mais en français ça coule pas, genre:

"Baise-moi"

Ah... peut-être que...

En plus, y'a des bayas où y'a écrit "soulève-moi", "prends-moi" je sais pas ça sort d'où, mes ancêtres n'ont jamais écrit sur leurs bayas, en plus, même si le but est qu'il y ait seulement le mari qui puisse voir, c'est trop ridicule.

Tous les jours y'a ça sur ta taille, tes amis ils voient pas qu'il y a écrit une giga dingue sur tes hanches.

Bref, on m'a toujours dit que c'est pour garder la taille fine, et ça marche très bien.

En tout cas, je sais que ça plaît à Andry, tous les jours il s'amuse à les tirer, un jour, j'vais tirer ses couilles à lui aussi, il va voir.

En tout cas... c'est lui qui est en train de tirer quelque chose chez-moi.

Faut que j'arrête de faire des commentaires dans ma tête quand Andry me... il va m'allumer un jour.

Andry - Putain...

Il s'est vidé bien fort à l'intérieur.

Ah ouais... même si on a dit jumeaux...

- J'arrive plus à respirer...

J'avais le tournis comme pour une douche de vingt minutes.

Il s'est retiré avant de me mettre une fessée et sortir de la douche.

Je suis sortie à mon tour.

J'ai mis de la crème partout sur mon corps et Andry faisait pareil de son côté.

Mais bon, vous nous connaissez, on a commencé à se toucher mutuellement.

- T'es beau...

Andry - Même quand j'suis rouge comme une tomate ?

- Même quand t'es rouge comme une tomate.

Il est venu m'embrasser.

Andry - Dommage que j'ai le nez bouché, j't'aurais fait un cunni, mais là... j'suis en apnée de ouf.

- J'peux toujours te...

Andry - J'vais respirer par la bouche comme un gros schlague, flemme de gémir comme un geuch.

- J'aime bien quand tu gémis, ça me donne envie de t'faire des gorges profondes.

J'crois, en anglais on dit: "I'm a freak"

Une grande dame a dit: " He want a F R E A K"

Et son élève a dit: "These niggas love me cause I'm like that freaky, nasty"

En mode quatre juillet ou pas ?

On est en janvier, bref.

En fait, quand je vois Andry, j'ai envie de le frapper comme j'ai envie qu'il me la mette profondément.

La haine et l'amour askip.

- Tu me fais encore des bêtises maintenant ?

Andry - Prends tes doigts, là, j'vais dormir.

- Même pas des petits bisous ?

Andry - On va dans la chambre pour ça.

- Rhabille-toi d'abord, gros pervers.

Andry - Mais j'suis à l'aise comme ça.

J'ai attrapé ses deux petites choses là.

- Ah bon ?

Andry - T'es à l'aise hein.

- De ouf, comme toi.

J'ai serré ça dans mes mains en jouant avec.

Comme il est pas frileux au lit, je l'ai vue afficher aucune expression faciale, il a attrapé mon cou pour m'embrasser.

- Allez, habille-toi, tu vas attraper froid.

Andry - D'accord madame.

"Madame" pour faire danser ma libido autour du feu.

Il a mis son short et son t-shirt.

- J'ai enlevé la clim, parce que toi, tu m'écoutes jamais, j'te dis de te soigner mais tu mets la clim à fond, Andry, écoute-moi de temps en temps.

Andry - Okay madame.

Les frissons...

Il s'est allongé sur le lit en étant un peu fatigué.

Je me suis allongée à ses côtés.

- On recommence ?

Andry - Irena, si j'suis enrhumé, oublie ta nymphomanie, une fois, pas plus, hier on l'a fait au moins six fois, Tyson a fini sa journée supplémentaire.

- D'accord... on peut se faire des bisous ?

Il m'a fait signe de venir.

On a commencé à s'embrasser.

- J'ai rien en-dessous.

Je pensais qu'il allait céder.

Andry - J'te prendrais une autre fois, là, je dors.

- Okay.

Il s'est tournée pour ne pas être dérangé.

J'ai pris une brique de lait pour boire.

Andry dormait déjà.

- Bonne nuit mon amour.

Andry - Mh.

On s'est embrassé une dernière fois avant d'éteindre les grosses lumières pour allumer les petits lumières et laisser place au bruit de la mer qui se secouait dans tous les sens.

__

Le lendemain matin, j'ai vue qu'il dormait encore sur le canapé avec des mouchoirs dans la poche.

- Bébé ?

Je me suis directement assise sur lui.

Rien.

- Andry ?

Je l'ai secoué.

Rien.

J'ai touché son cœur.

Il était lent.

Eh ? Mon mari est en train de mourir là ?

- Chouchou ?

J'ai commencée à lui faire des bisous sur le visage.

Rien.

J'ai soulevé son t-shirt pour voir s'il avait pas mangé, c'était peut-être ça qui l'avait mis k.o.

Va savoir comment, mais j'arrive à deviner quand il a mangé.

À force, c'est mon fils, donc je sais même à l'avance ce qu'il va me dire.

J'vais vérifier s'il bande, ça va me rassurer de sa mort précoce.

Il bandait.

Après... même certains pharaons sont morts en bandant, donc ça se trouve qu'il est mort en ayant la barre.

Oh... il est mort en pensant à sa femme d'amour.

J'suis une ouf, ça se trouve que ce sale noir d'arabe il est vraiment mort, j'suis là je rigole.

Et ça s'trouve qu'il bande pour une autre meuf.

- Andry ? C'est pas drôle.

Il dormait encore.

- Bon... j'te laisse.

Je suis partie préparer le même petit déjeuner qu'hier.

Ça se fait vite fait, donc j'ai pas traînée.

Andry me fatigue, il dormait encore.

J'ai finalement mangée seule, j'peux même pas faire comme tous les autres mariés, un petit-déjeuner entre amoureux, non, moi j'ai le droit qu'au sexe, c'est bien...

Alors que je mangeais en ayant une envie de crever, j'ai vue le mort vivant se réveiller.

Alors là, moi qui pensait qu'il était rouge comme une tomate hier, bah mdr, aujourd'hui il ressemble à mes menstruations.

Avec les caillots de sang et tout...

- Andry, qu'est-ce qu'il se passe ? T'es tout rouge, t'as suffoqué ? En plus, tu répondais pas quand j't'appelais, et... arrête de bander dans ton sommeil, ça fait Toutânkhamon, surtout que t'étais limite mort comme lui.

Il n'a pas répondu, il s'est juste gratté les yeux en étant bien fatigué, il avait même du mal à se lever.

- Chouchou ?

Il m'a regardé avec des yeux de mort vivant.

- Tu viens me faire un bisou ?

Il a secoué la tête.

Eh ?

- Mais pourquoi ? Qu'est-ce que j'ai fais ?

Ça m'a vraiment frustrée par contre.

Clairement, il m'a fait signe de pas m'approcher de lui et garder mes distances, il voulait pas parler avec moi.

- Andry...

Je me suis avancée vers lui.

- Qu'est-ce qu'il se passe ? Mon amour... dis-moi.

Je l'ai attrapé.

Si je savais.

Andry - J'ai pas de voix.

Eh ? Quand j'ai entendue sa voix, j'ai eue peur...

Mais en même temps, j'ai envie qu'il me prenne en levrette, je sais pas trop.

Sa voix était tellement... ouh... j'ai des papillons.

Andry - T'as vu ? Ma voix est horrible, j'ai mal à la gorge, j'ai mal à la tête et j'ai mal aux yeux, en plus avec le rhume qui s'aggrave, je peux pas.

- Oh non, mon bébé.

Je l'ai pris dans mes bras.

Andry - J'suis k.o de ouf, j'arrive même pas à jouer à la play tellement j'ai mal aux yeux, j'ai l'impression que j'vais faire une crise d'épilepsie.

Oula...

- Pauvre chou, va t'asseoir, j'vais un peu t'ausculter.

Andry - Okay.

Il est parti s'asseoir et je suis allée chercher du matériel médical.

- Alors, enlève ton t-shirt.

Il a enlevé son haut, ouh...

Pardon.

J'ai pris le stéthoscope et je l'ai mis sur son cœur.

C'est lent...

- On dirait qu'il ralenti.

Andry - Essaye le truc par derrière.

J'ai mis stéthoscope dans son dos et je lui ai demandé de tousser.

La toux bien grasse.

Mais en toussant son rythme a un peu accéléré.

Okay.

J'ai pris l'ophtalmoscope pour observer ses yeux.

Bien rouge, on dirait un drogué.

- Aïe, aïe, aïe.

Il savait déjà que ça n'allait pas.

J'ai observer l'intérieur de sa bouche, tout était bon, aucune carie, dents blanches...

On est pas là pour regarder ça, Irena, concentre-toi.

Le fond de sa gorge était un peu irrité, sûrement des glaires qui sont sortis.

- T'as eu des glaires ?

Andry - Ouais, mais j'en ai qu'un seul, et il m'empêche de boire, même manger j'ai pas le droit.

Il était très frustré.

- Bientôt, j'vais te donner du Fervex et du sirop pour la toux, le glaire va vouloir sortir quelques minutes après, pour les yeux rouges y'a le sérum physiologique, tu vas bien manger après et tu vas prendre un médicament rempli d'herbe.

Avec sa tête de drogué, il m'a dévisagé.

- C'est des herbes normales, y'a aussi des fleurs, c'est super efficace, ce soir t'iras vraiment mieux, d'accord mon amour ?

Il a hoché la tête.

Je lui ai donné tous ses médocs.

- Fais "ah".

Andry - Irena, j'ai pas ton âge, c'est mieux que tu commences à-

J'ai foutu le médicament pour la toux dans sa gorge au bon moment.

- Voilà mon bébé.

Je l'ai embrassé.

On s'est uni, même dans la maladie, donc y'a pas de chichi, même si je dois aussi tomber malade.

- Là, tu peux manger ?

Andry - J'peux essayer de boire.

Je lui ai passé une cannette de jus.

- Pour ton rhume, vu que tu t'es totalement mouché, j'ai une solution. Du vix et...

Il redoutait déjà.

- De l'Aboniki.

Il avait la rage.

Ce truc brûle tellement.

J'ai sorti les deux trucs et j'ai foutu ça sur son torse, son dos et son nez.

- Voilà et... avant d'aller au sauna, tu vas sniffer ça.

Je lui ai montré ma recette miracle.

- Du whisky !

Il allait me mettre une gifle vu comment il me regardait.

Andry - T'as acheté ça où ?

- Je...

Andry - Si t'as acheté ça avec mon argent, même si j'suis malade, j'vais m'lever et j'vais t'cogner.

- Eh, doucement, j'l'ai pas acheté, c'est un p'tit vieux qui me l'a passé.

Andry - Et pourquoi il te l'a passé ?

- Je venais de danser à la plage et j'ai aperçu des meufs plutôt sympa, elles buvaient et je leur ai demandé si elles avaient un fond de bouteille, pour toi, évidemment, elles allaient m'en passer une mais un petit pervers est venu m'accoster en disant qu'il me passait une bouteille complète et gratuitement.

Andry - Mh... passe.

Je lui ai passé et il s'est mis à sniffer la bouteille.

Ça piquait mais c'était parfait pour le nez.

Andry - Attends... il t'a demandé quelque chose en échange ?

- Qui ?

Andry - Le p'tit vieillard ?

- Euh... ouais.

Andry - Il t'a demandé quoi ?

- J'crois que j'devais danser avec la bouteille dans mon bikini.

Andry - Danser ? Danser comment ?

- Bah danser.

Andry - Danser avec quelle partie du corps ?

- Bah les mains, les hanches...

Andry - Et ?

- J'suis obligée de le dire ?

Andry - Irena, j'vais éclater ta vieille bouteille sur ta tête, il t'a dit de tourner ton cavu sur lui comme une tain-p pour une bouteille ?

- Un peu...

Il a pincé son pont nasal.

Andry - Irena, tu l'as fait ?

- Non, évidemment... je l'ai un peu assommé et j'ai fuis avec sa bouteille.

Il s'est un peu apaisé.

Andry - C'était quand ?

- Hier soir, j'étais partie faire un peu la fête pour profiter de la plage, mais j'ai fais dix minutes, j'aime pas être dehors quand t'es pas avec moi.

Andry - Bah y'a pas de soucis, il est souvent là-bas l'autre vieux ?

- Oui, d'après les filles.

Andry - On va aller là-bas, on va lui demander où il a acheté sa bouteille et on va trinquer avec.

- Mais...

Il s'est levé en prenant sa serviette pour aller au sauna.

- T'aimes pas l'alcool, Andry...

Il m'a pas calculé, il est parti.

J'crois qu'il est énervé...

__

En sortant du sauna, il allait légèrement mieux, ses yeux étaient moins rouges.

Il s'est vite habillé.

Andry - On y va.

- Où ?

Andry - À la plage, dépêche-toi, on va discuter avec le p'tit vieillard qui s'approche des meufs à peine majeures.

- Orh, Andry...

Andry - Il t'a touché hier ? J'ai oublié de poser la question.

- Euh... les cuisses vite fait et j'crois qu'il est passé derrière moi à-

Andry - Mets tes claquettes, dépêche.

- Andry.

Andry - Dépêche-toi, j'vais t'mettre une tarte.

Mais ?

Il m'a tiré dehors.

Il était nerveux eh, c'est la maladie qui fait ça.

On a couru à la plage.

J'avais chaud, qu'est-ce qu'il allait lui faire ?

Andry - Il est où ?

- Je sais pas Andry, j'le vois pas.

Andry - Ouvre tes yeux.

- Mais j'l'aperçois pas, ça se trouve qu'il est-

? - Irena !

C'était le groupe de fille de la dernière fois.

Pour vous décrire leur énergie, c'était des Naïssam en plusieurs personnes.

D'ailleurs, elle, faut qu'on se voit quand je rentre, on va se faire une journée shopping, on va faire nos ongles et j'vais acheter des nouveaux vêtements pour Abi et Esma.

Bébé numéro trois et peut-être quatre sont en train de se former, donc j'vais attendre que ce soit confirmé.

- Cómo está ?

J'ai commencée à parler avec elles, Andry voulait me niquer ma race.

D'un coup, on a toutes tourné le regard vers le fameux vieux en question parce qu'il nous avait crié: "holà"

Putain...

Andry - C'est lui ?

Je n'ai pas répondue.

Andry - C'est lui ou pas ? Réponds.

- Oui...

Andry - On y va.

- Non... le frappe pas, il a-

Andry - Eh, tais-toi.

Il m'a tiré vers lui.

L'autre a commencé à me parler.

Il parlait comme un gros pervers, Andry écoutait mais il ne disait rien, je pense fortement qu'il attendait le faux pas.

Et c'est arrivé.

On parlait tranquillement, j'me forçais à rire, jusqu'au moment où il m'a mis une fessée.

Oh ?

J'ai à peine eue le temps de cligner les yeux pour me rendre compte de la dinguerie qu'il venait de me faire, Andry s'est jeté sur lui.

Vous imaginez un boug de presque deux mètres qui s'acharne sur un vieux daron qui fait ma taille ?

- Andry !

J'ai essayée de l'attraper mais il voulait rien savoir.

Il lui mettait des patates de fou furieux, j'ai vue des dents voler, c'est une dinguerie.

- Andry, arrête !

Andry - Casse-toi.

Il a continué de l'enchaîner.

Mais j'ai insisté.

Même les filles ont essayé de m'aider mais un boug qui fait quatre-vingt kilos, c'est chaud de le soulever.

- Andry, ça suffit !

Il s'est relevé tout seul.

Andry - On y va.

- Andry... il est en train de suffoquer.

Andry - J'm'en bats les couilles, j'suis sa pute pour le laisser t'agresser sexuellement ?

- Andry, ça arrive, laisse-le.

Andry - Non, t'es conne ou quoi ?

- Arrête de crier.

Andry - Irena, arrête de parler dans mes oreilles. Toi là.

Il a attrapé son col.

Je sais pas avec quelle force, il a commencé à articuler un espagnol limite plus parfait que le mien.

Il lui a mis un dernier chassé.

J'ai eue super peur qu'il s'évanouisse.

Andry - On y va.

- Il est mort ?

Andry - Oui, maintenant, on y va.

J'ai eue des sueurs froides.

Il a pris ma main pour l'entrelacer avec la sienne recouverte de sang.

Les filles m'ont juste dit "à la prochaine"

Le retour était silencieux, j'avais trop peur de parler et qu'il me mette une gifle.

Je savais bien qu'il n'allait pas le faire mais on sait jamais.

La maison n'était pas loin, donc une fois à la maison, il s'est installé au salon pour manger le plat que j'avais préparée pour lui, vu qu'il était malade.

La femme de ménage était passée vite fait, elle a laissée un mot pour dire qu'elle espérait qu'Andry aille mieux.

Et bah...

- Andry... pourquoi t'as fait ça ?

Andry - Parce que c'est comme ça, tu crois que j'suis une p'tite salope pour le laisser toucher ma femme sous mes yeux ?

- Mais tu l'as assommé...

Andry - Et tu t'es faite agresser, on est pas sur le même degré de gravité, Irena, j'ai laissé ça passer plus de cinq fois, aujourd'hui c'est fini.

- Fallait pas faire ça.

Andry - Fallait que j'fasse quoi ? Que j'trinque avec un agresseur ? T'es malade ou quoi ? Ma mère a eue son premier enfant avec un violeur, un gars qui faisait pareil que ce vieillard devant mon père, et il pouvait rien faire et elle a finit sous antidépresseurs, j'aurais jamais le culot de refaire ce schéma, t'as trop souffert pour vivre un énième viol ou même une agression.

Il était énervé et limite blessé.

Andry - Même si j'suis malade comme un ouf, j'ai les yeux rouges on dirait un crackhead de Porte de La Chapelle, j'suis mou de ouf, carrément t'as mis ta vilaine main sur mon cavu, j'ai même pas réagi, j'ai une voix de fumeur, j'suis rouge comme tes règles, mais smeh, j'ai défendu ma femme.

Putain... il est trop mignon.

Andry - Irena, tu veux pas pleurer quand même ?

- Non...

J'ai fondue en larmes.

Andry - Orh, viens là.

Je suis allée dans ses bras.

- Pardon mon amour.

Je l'ai embrassé.

Andry - Y'a rien, arrête de pleurer.

Il a séché mes larmes.

Andry - Fais un beau sourire pour ton mari.

Il a attrapé mon visage et j'ai formé un beau sourire.

Andry - Mh, j'dis Amen carrément.

Il m'a embrassé et je me suis mise à rire.

Andry - Voilà, les belles femmes ne pleurent pas.

- J'suis moche alors ?

Andry - Évidemment que non, mais tu perds toute ta beauté en versant des larmes de tristesse, pleure pour tes échographies ou ton accouchement, pas pour un vieux qui peut canner demain.

On a continué de s'embrasser jusqu'à ce qu'Andry se fatigue à cause de ses médicaments.

__

Il dormait dans mes bras.

En plein sommeil, j'ai un peu observé sa respiration.

Mon bébé respirait enfin, sortez le champagne et les fraises !

Même si je préfère le Champomy, l'alcool c'est pas bon et le jus c'est bien.

Bref, j'attends juste qu'il puisse bien parler et que ses yeux soient normaux.

J'suis une bonne infirmière en vrai, non ?

__

Quand il s'est réveillé, je l'ai ausculté, ça allait vraiment mieux, son nez était maintenant bien libre, sa gorge n'avait plus de glaire et ses yeux étaient parfaits.

C'est le fait qu'il ait frappé un vieux qui fait qu'il est dans un état plus que radieux.

J'ai cuisiné des pâtes carbonara, c'était parfait pour mon régime pour les jumeaux.

Pendant que j'étais en train de finir de cuisiner, Andry jouait avec ses amis en ligne.

Ça allait nettement mieux.

Il était à fond.

Alors qu'il s'énervait pour un hors-jeu sur FIFA, je l'ai appelé pour qu'on mange.

- Andry, viens manger !

Andry - Attends, j'fini ma partie.

- Combien de temps ?

Andry - Vingt minutes.

- Pose ta manette, sinon j'viens casser ta play.

Il a soufflé.

Une mère et un fils.

Andry - Attendez les gars, j'vais graille, madame m'a appelé.

Ouh... la mer d'Arabie.

Il a déposé sa manette et il est venu mettre sa main dans mon dos.

Je gouttais quelques pâtes, c'était bon.

- Chouchou, tiens.

Je lui ai donné une fourchette de pâtes, ce gros mangeur a tout pris.

- C'est bon ?

Il a hoché la tête.

- J'te sers ?

Andry - S'te plaît.

Il était bien content.

J'ai mis la moitié de la portion dans son assiette.

Andry - Merci.

Il a pris une fourchette et il est parti manger comme un petit garçon en primaire.

J'ai épousé un bébé et un homme en même temps.

Il a envoyé son plat à ses amis, ça, c'était sa devise, tout envoyer à ses potes vu qu'ils avaient pas de meuf et qu'ils savaient pas cuisiner.

Andry - Melvin, aies le seum comme tu veux, on t'a dit d'arrêter de prendre les meufs pour des activités scolaire.

Melvin - Ça y est, c'est juste que j'ai pas envie de faire n'importe quoi avec une meuf si je sens que c'est l'officiel.

Andry - Tu t'es branlé en pensant à toutes tes ex.

Melvin - Andry, t'es sûr de toi ?

Andry - Ah, j'sais pas hein, moi j'ai rien à me reprocher.

Melvin - Est-ce que t'es sûr de toi là ?

Andry - Bien sûr, tu crois tu vas dire quoi ? Eh, tu peux pas me reprocher quelque chose.

Melvin - Okay, Irena, ouvre bien tes oreilles.

Mh ?

J'ai regardée Andry en mode: "j'apprends une dinguerie, j'vais t'niquer ta race"

Melvin - Ton mec il s'est bien vidé dans l'avion quand tu dormais, il a vu une bonne hôtesse de l'air, dès qu'elle est partie, Tyson était aussi en l'air.

J'allais sauter sur Andry mais il a rectifié.

Andry - Tu mens, Irena dormait et... son bas du corps était collé à mon goro, j'ai bandé mais y'a une hôtesse qui a vu.

Melvin - Orh, c'est pareil, y'a eu la sauce à la fin, j'me trompe ?

Andry - Eh, laisse ma femme tranquille avec tes calomnies, va manger, Irena.

Melvin - Tu parles bien patois aujourd'hui.

Andry - J'suis Yoruba et Touareg, j'connais pas ton dialecte, ferme ta grande bouche.

Ça m'a un peu apaisé, même si... bizarre.

Je me suis assise à côté d'Andry avec ma casserole de pâtes et mes baguettes.

Andry - Bon, igo, j'mange avec madame, j'te laisse.

Melvin - Azi, bon app'.

Andry - Bien vu.

Il a raccroché.

- Andry.

Andry - W'الله, c'est pas vrai, j'ai rien fait, c'est vrai que jurer ne va rien changer, mais j'suis pas fou pour te tromper, surtout pendant la lune de miel.

- Je sais...

Il m'a embrassé.

On a prié vite fait avant de manger.

On a regardé la télé, une émission de...

- Elle est en train de montrer son trou où je rêve ?

Andry - Elle est gênante, cette raciste.

- J'avoue, heureusement elle s'est faite cogner, encore une vieille latina qui croit qu'elle est noire parce que les gens de son pays sont noirs. Elon Musk il est né en Afrique du Sud, un pays de noirs mais il dit pas le mot "négro".

Andry - C'est une ouf elle, elle est plus blanche que ton grand-père wesh.

- Laisse mon papi là où il est.

Andry - Tranquille, il est super gentil, mais c'est surtout ton grand-père colombien que j'aime vraiment bien.

- Mon abuelito, il est trop chou, j'espère le revoir bientôt.

Andry - Un jour on ira en Colombie pour se présenter en tant que mariés.

- J'espère, la dernière fois que j'suis allée en Colombie, j'avais quatorze ans, j'ai bientôt vingt ans.

Vous avez vu comment les années passaient vites ?

Andry - J'en parlerais avec nos parents pour que ce soit un vrai grand voyage familial.

- Ça va être trop drôle, bref, mange, ça va refroidir.

__

On venait de finir, il caressait mon ventre depuis.

- Pourquoi elle s'étonne que les gens sur internet la traite de raciste, t'es blanche comme jamais, être latina ne veut pas dire noir, c'est quoi cette mentalité ? Sa copine aussi avec ses fingers waves qui croit qu'elle peut donner la carte noire aux non-noirs alors qu'elle est juste blanche avec un petit bronzage, et elles sont vraiment racistes.

Andry - J'avoue, depuis quand tu te fous de la gueule d'une femme noire parce qu'elle dit que c'est une latina, bref, qu'elles continuent de montrer tous leurs trous et leurs seins.

- En vrai... à quel moment on s'est mis d'accord pour regarder une émission où des meufs font du striptease ?

Andry - C'est toi, t'as vu sur les réseaux, t'as voulu regarder.

- En sah, les bastons sont drôles et les nanas elles ont... les bonnes choses dans leur corps.

Andry - N'importe quoi, bref, c'est fini.

- Enfin, attends j'vais fermer les fenêtres, y'a beaucoup de vent.

Andry - On dirait qu'il va pleuvoir.

- Moi aussi j'me dis ça.

Je suis partie fermer les fenêtres pendant qu'Andry faisait la vaisselle.

Il est beau en short gris.

J'ai débarqué derrière lui.

- Chouchou ?

Andry - Mh ?

- Tu sais que t'es beau ?

Andry - Mh.

- Mon mari est trop beau.

J'ai soulevé son t-shirt.

Il a attrapé ma mâchoire.

Andry - Tu veux baiser ou quoi ?

- Un peu... beaucoup.

Il m'a embrassé et il s'est mis à sécher la vaisselle.

- Bon... rejoins-moi dans la chambre, j'ai une surprise pour toi.

Andry - Je me demande encore quelle bêtise tu vas me préparer.

- Tu vas aimer, t'inquiète pas.

Andry - J'te fais confiance, même si j'suis un peu k.o.

- C'est parfait, j'vais prendre le relais.

Andry - J'attends de voir.

__

J'étais maintenant prête, il était allongé sur le lit, il m'attendait.

J'ai finalement ouvert la porte.

- Coucou mon amour.

Il a regardé mon accoutrement, un kimono bien transparent noir et "rien" en-dessous.

Andry - La mère de mes enfants.

Ouh... l'Océan Austral.

Je suis venue m'asseoir au-dessus de lui.

- J't'ai manqué ?

Andry - Un peu...

Il a bien regardé ce qu'il y avait en dessous de mon kimono.

Andry - T'as écris quoi là ?

Il a ouvert mon kimono et il a soulevé l'un de mes seins pour regarder ce qu'il y avait écrit sur mon cache-téton.

Andry - "Pour mon mari".

Il avait pas une réaction incroyable, il a juste enlevé ça mais il y en avait d'autres.

Andry - "Prends-moi"

J'vous avait prévenu.

J'étais obligée de le faire une fois dans ma vie.

Essayez de trop me provoquer, j'vais demander des bayas où y'a écrit "soulève-moi jusqu'à l'orgasme" vous allez voir.

Sinon, "éjacule en moi", vous croyez que je rigole, un jour ça va arriver.

Andry - T'as un string là ?

Je me suis bien installée pour qu'il voit bien entre mes cuisses.

Andry - Tu l'as déchiré ?

- Non, c'est un string ouvert, c'est connu sur Twitter, il est incroyable.

Il a caressé mon clitoris.

Andry - J'avoue... j'peux t'en acheter vingt comme ça.

Il voulait me déguster.

- En tout cas, cette nuit, on a des choses à se dire.

Andry - On doit s'expliquer.

- Très fortement s'expliquer.

J'ai sauté sur ses lèvres.

Je me retenais depuis un moment, mais là...

J'avais faim de sexe.

On a continué de s'embrasser pendant que je retirais son t-shirt.

Les beaux tatouages en-dessous.

Je pouvais me griffer pour les voir.

Il est venu embrasser mes seins.

Les choses qui me font tomber.

Il se donnait à fond, il pinçait mes tétons, il les mordait et il appuyait au point de sortir du lait.

Entre-temps, il m'a fait quatre bons et gros suçons dans le cou et les clavicules.

Quand il s'est lassé, il est revenu à mes lèvres.

Je gémissais déjà dans ses oreilles, purée, j'suis faible.

Je suis doucement dessus vers son jogging, j'avais la tête en bas et les fesses à l'air.

Si on doit être honnête hein, évidemment.

Et si j'dois être trop à l'aise, mes lèvres sentaient vraiment l'air passer.

Celles du bas...

J'avais vraiment faim actuellement.

J'ai baissée son jogging et son boxer pour commencer à le masturber.

J'ai retourné ma main en mettant son pénis entre mon majeur et mon annulaire.

C'était serré donc ça lui mettait la pression.

J'y allais lentement pour rajouter du plaisir, lui, si c'est une simple pipe, il va vite perdre ses moyens, surtout si-

Andry - Mh...

J'avais mis son pénis au fond de ma gorge en chatouillant ses...

Vous voyez, non ?

Les deux grosses choses qui gardent les enfants pas fécondés.

Il était déjà loin.

Je le regardais droit dans les yeux, lui qui jouait le sans émotion, les pipes c'est son point faible.

J'ai sentis qu'il voulait déjà éjaculé.

J'ai enlevé ma bouche, j'ai sentis ses gosses non-fécondés gicler dans mes yeux.

Eh ?

- Andry wesh ?

Andry - Tranquille, j'ai fini avec ta mouille partout sur le visage, c'est donnant-donnant.

- Tchip.

Il a essuyé avec son pouce et il m'a foutu ça dans la bouche.

Bon... si c'est lui qui met à l'intérieur, j'accepte totalement.

Oui, je suis amoureuse, mettez-moi les menottes s'il le faut.

- Bon...

Je me suis tournée dos à lui et j'ai mis son pénis au fond de mon vagin.

J'ai poussé un gémissement lourd et bruyant.

C'est pas que je ne m'y attendais pas, mais le chevauchement à l'envers c'est un autre niveau, j'avais jamais essayée.

Testons alors.

Je me suis bien placée, j'ai légèrement levée mon kimono pour qu'il puisse voir.

Heureusement, il y avait la bonne musique en fond.

Shenseea - Foreplay

Les bonnes choses des adultes.

Je me suis mise à whiner sur sa bite.

Le français de Molière, non ?

J'y allais lentement et dans le rythme de la musique.

C'était doux comme ça.

Il mettait ses mains sur mon dos.

Parce que j'ai oubliée de vous dire, j'ai écris Andry dans mon dos en longueur.

C'était du henné, donc bien effaçable.

Franchement, il fallait me voir en train de le chevaucher en dansant sur sa bite.

Il m'a mis une fessée.

Clairement, ça nous faisait rire en vrai, mais le plaisir était là.

Andry rigolait bien, mais il kiffait.

J'ai doucement courbé mon dos pour mieux bouger.

Il a écarté mon... mon cavu.

Il est trop à l'aise lui, même si on a dit marié.

Doja Cat - Wine Pon You.

Comme je ne me fatigue pas, j'ai continuée.

Je me suis donnée à fond, franchement, Andry, n'essaie jamais de me laisser, parce que tout ce que je fais actuellement, j'le ferais jamais avec un autre.

J'ai bougé mon corps sur lui comme une pro.

Les bonnes choses.

Dans mon élan, il a éjaculé et j'ai joui sur lui.

Mes jambes ont tremblé, le chevauchement c'est à tes risques à tes périls, faut le cardio, être bien étiré et flexible, parce que si t'as pas les trois, tu finis en missionnaire.

J'vous donne des conseils, on est entre filles, d'ailleurs...

Andry, vous le voulez pour tester ?

Genre pour votre première fois et tout...

Parce que j'ai déjà vu les messages privés qu'Andry recevait, comme lui il se prend pour un gars d'insta alors qu'il finit sur Pinterest, j'vois des nanas lui envoyer des messages bien explicites.

Des nudes, des demandes de plans culs, coup d'un soir ou même un date.

C'est mignon...

Mais c'est moi qui ai la bague au doigt !

Bah ! T'as trop la rage !

C'est moi qui fini avec sa langue entre mes lèvres vaginales même s'il m'insulte bien comme il faut !

Pardon, j'm'enflamme.

Il m'a mis une grosse fessée et je me suis remise correctement dans ses bras.

- Ouf !

Andry - T'es complètement folle, tu mets des caches-tétons où t'écris des trucs de cougars alors que t'as dix-neuf ans, c'est très grave.

- C'était pour rigoler et puis t'as bien aimé.

Andry - Pas mal hein, si tu peux m'faire des surprises comme ça souvent quand j'rentre à la maison.

- J'y penserais

Il m'a embrassé.

- On recommence ?

Andry - J'suis toujours prêt.

__

Après avoir bien consommé, il était allongé dans mes bras.

- Eh.

Andry - Mh ?

- Ça fait un moment que j'ai pas allaitée, j'ai peur que mon lait devienne bizarre.

Andry - Fais voir.

Il a agrippé mon sein pour le pincer.

J'ai vue du lait sortir.

Mais il est à l'aise ce monsieur, eh ?

Andry - Attend je goûte.

Il a goûté.

Andry - Bah c'est toujours bon, et puis t'inquiète, tu recommences à allaiter bientôt.

- Peut-être, passe-moi une brique de lait s'te plaît.

Il m'a passé du lait et j'ai bu.

J'deviens une vache pour des jumeaux.

J'ai pris mes vitamines avant qu'on soit au pieux, normalement, ça marche.

Demain, je dois faire des nachos pour ma fertilité.

Bref.

- Bonne nuit mon amour.

Andry - Bonne nuit ma princesse.

Il a embrassé le haut de ma tête.

Ouh... l'Océan Artique.

On s'est endormie en écoutant les goutes de pluie légèrement tomber dans la mer.

_______________________

101 : 88

👘.

Ga verder met lezen

Dit interesseert je vast

295K 28K 52
donner au vitrine, Ayem apprend ce qu'elle doit รชtre. Elle affronte le fin fond des tรฉnรจbres.โ„ข [terminรฉe]
487 69 6
Habituรฉ ร  ce dรฉbrouiller seule toute sa vie, Ayannah va faire face ร  une toute nouvelle vie pour s'en sortir. Rรฉussira t-elle?
1.6K 148 15
Les maux du corps sont les maux de l'รขme . Ainsi on ne doit pas chercher ร  guรฉrir le corps sans chercher ร  guรฉrir l'รขme. Stacy Alcidas est une jeune...
9.7M 384K 198
[ TOME 1] EN Rร‰ร‰CRITURE.๐š„๐š—๐šŽ ๐šœ๐š’๐š–๐š™๐š•๐šŽ ๐š™๐šŽ๐š๐š’๐š๐šŽ ๐šŸ๐š˜๐š’๐š•๐šŽฬ๐šŽ ๐šš๐šž๐š’ ๐šœ๐šž๐š›๐š–๐š˜๐š—๐š๐šŽ ๐š๐šŽ๐šœ ๐šŽฬ๐š™๐š›๐šŽ๐šž๐šŸ๐šŽ ๐šš๐šž๐š’ ๐š›๐šŽ๐š—๐šŒ๐š˜๐š—๐š๐š›๐šŽ ๐šœ๐šŽ...