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By jadsackerman

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By jadsackerman

"𝚃𝚛𝚒𝚜𝚝𝚎 𝚟𝚒𝚎, 𝚓'𝚖𝚎 𝚜𝚞𝚒𝚜 𝚏𝚊𝚒𝚝 𝚍𝚎𝚜 𝚏𝚒𝚕𝚖𝚜
𝙹'𝚊𝚒 𝚝𝚊𝚙𝚎́ 𝚍𝚊𝚗𝚜 𝚕'𝚖𝚒𝚕𝚕𝚎 𝚖𝚊𝚒𝚜 𝚓'𝚊𝚒 𝚙𝚛𝚎́𝚏𝚎́𝚛𝚎́ 𝚖'𝚍𝚒𝚛𝚎 𝚚𝚞𝚎 𝚌'𝚎́𝚝𝚊𝚒𝚝 𝚚𝚞'𝚞𝚗 𝚏𝚒𝚕𝚖"

𝖨𝗋𝖾𝗇𝖺🧚🏾‍♀️.

J'ai vite essuyée mes larmes, et j'ai ouvert la porte.

Il était accoudé à la porte.

- Oui ?

Andry - Tu pleurais là ?

- Nan, pourquoi ?

Andry - Tu t'fous d'ma gueule ? T'as les yeux bad rouges, et tu vas me dire que t'as pas pleurée ?

- Tu t'fais des films, bon, on y va ?

Je l'ai tirée jusqu'à ma chambre.

Andry ne devait pas le savoir...

Je n'imaginais même pas la honte.

__

Un jour, en fin de vacances, je venais de refaire un test.

Oui, je persévérais.

J'avais espoir pour qu'il soit négatif.

C'était triste à quel point je me mentais à moi-même.

Pendant que je réfléchissais, mon téléphone s'est mis à vibrer.

C'était Andry.

- Mh ?

Andry - Ça va la plus belle ?

- Alors toi.

Andry - Nan plus sérieusement, ça va ?

- Ouais et toi ?

J'étais au bout de ma vie mais ça allait...

Andry - Tranquille hein, viens on s'voit ?

- Andry, j'suis fatiguée en ce moment...

Andry - À force de t'entendre, j'ai l'impression que t'es enceinte.

Balle perdue...

- Euh... nan wesh.

Andry - Bon, tu viens ? J'suis en bas.

- Azi.

J'ai raccroché et j'ai commencée à fouiller dans mes vêtements.

Je n'avais même pas envie de m'habiller, j'étais très bien en short, mais bon...

J'ai mis un ensemble noir, des claquettes et des chaussettes noirs.

J'étais clairement pas dans un état correct, même m'habiller était devenu compliqué.

Après m'être habillée, je suis sortie et j'ai rejoins Andry dans sa voiture.

On s'est embrassé et le dégoût que j'ai ressenti en moi était incalculable.

Je me paraissais répugnante...

Andry - Ça va ?

- Tranquille et toi ?

Andry - Ouais... t'as les yeux tout rouge, t'as encore pleurée ?

- J'ai pas pleurée, j'ai juste dormi.

Andry - Tema comment tes cils ils sont humides.

Il avait raison, mes cils étaient trempés.

Andry - J'espère qu'il se passe rien de grave.

- T'inquiète.

Il m'a embrassé pour me rassurer.

Andry - D'ailleurs, ma daronne elle vient d'accoucher.

- Jure ? J'avais oubliée qu'elle était enceinte, c'est un garçon ?

Andry - Non, encore une pisseuse qui va m'emmerder.

- Oh... c'est trop mignon, fais voir.

Il m'a montré une photo de sa petite sœur.

- Elle est trop mignonne, elle ressemble à ton père et à ta mère, c'est le mix des deux c'est trop chou.

Andry - Si seulement elle savait quel genre de parents elle a.

- Bah j'aime beaucoup tes parents, ton père il est super drôle et ta mère aussi, quand ils se battent c'est trop drôle, mais c'est mignon.

Andry - Si Dieu le veut, on sera pareil.

Si seulement...

__

Après un long moment ensemble, je suis remontée chez moi.

Et mon humeur a tout de suite changé.

J'ai recommencée à pleurer en entrant dans l'ascenseur du bâtiment.

Je prenais l'ascenseur parce que j'avais encore quelques séquelles des événements précédents.

? - Eh Irena !

J'allais fermer la porte pour éviter d'être avec la personne qui venait de m'interpeller mais elle a bloquée la porte.

J'ai levée le regard et j'ai vue Elias...

Elias - Bien ou quoi ?

J'ai appuyée sur le dernier étage pour éviter qu'il sache où j'habite.

Mais à peine la porte fermée, qu'il m'a attrapé le bras.

- S'il te plaît, lâche-moi.

Elias - Attend wesh, tu dates de ouf. Pourquoi tu m'esquives ?

Il m'a serré le bras.

- Elias...

J'ai encore pleurée.

- Lâche-moi.

Elias - Et si j'te laisse pas, tu vas faire quoi ?

Il serrait encore plus fort et il a commencé à ouvrir mon ensemble.

Encore ?

Mais j'ai entendue son téléphone sonner, donc il s'est arrêté et il m'a finalement lâché.

Heureusement, cet ascenseur était rapide, je suis vite arrivée au dernier étage et j'ai courue jusqu'à chez moi malgré les séquelles que j'avais.

Arrivée devant ma porte, j'ai remerciée le Seigneur de m'avoir sauvé une nouvelle fois.

Je suis entrée et à peine entrée dans la maison, j'ai sentis mon téléphone vibrer.

+81********:
Tu peux verser toutes les larmes de ton corps, dans tous les cas tu garderas cet enfant. Tu viendras me voir que tu le veuilles ou non.

Cette fois-ci, j'ai décidée d'enfin répondre.

Sinon quoi ?

Il n'a pas répondu...

Il a préféré m'appeler.

J'ai répondue en tremblant.

J'ai vite courue dans ma chambre et j'ai fermée à clé.

- Qu'est-ce que tu veux ?

Haru - Oh, t'es aggressive.

- Qu'est-ce que tu veux ?

Haru - Bon, si t'es si pressé que ça...

Il a pris une grande bouffée d'air.

Haru - J'veux que tu gardes cet enfant et que tu viennes me voir au moins une fois par mois.

- Très drôle.

Haru - Et après sa naissance, il vivra avec moi.

- Même pas dans tes plus beaux cauchemars.

Haru - Donc tu refuses ?

- T'as tout compris.

Haru - Ce que tu comprends pas Irena, c'est que ton avis m'importe très peu. Tu exécutes, fin de l'histoire.

- Sinon quoi ?

Haru - T'es une comique toi.

Je le sentais sourire à travers son écran.

Haru - Dis-moi, Irena, tu veux qu'on envoie ça à ton petit ami ?

J'ai sentis mon téléphone vibrer contre mon oreille, ce qui signifiait qu'on m'avait envoyé un message.

C'était encore lui.

Il m'a envoyé des photos...

Je les ai ouverte une par une...

Et en même pas une demie seconde, je me suis effondrée.

C'était des photos de moi en train me déshabiller.

Ce n'était pas le pire, il y avait aussi des photos de mon dos rempli de sang et de plaies.

Il y avait deux photos, une où mon dos était moins défiguré et une autre où mon dos était totalement explosé.

Celle où mon dos allait mieux, datait sûrement du jour de mon anniversaire et celle où mon dos était plus qu'horrible, datait sûrement de la veille de mon départ.

Il a aussi envoyé des photos où il était littéralement en train de me violer dans sa chambre et le point de vue de ces photos me rappelait quelque chose.

Il y avait une autre photo de lui derrière moi, il me violait encore.

C'était dans la cuisine, la photo a été prise de dehors, mais j'avais oublié que la cuisine avait une grande fenêtre face à moi.

Elle donnait vue à une grande rue et les maisons en face.

Et ça m'est revenue...

Je me suis rappelée que ce jour-là, le trois quarts de la population était dehors et j'ai sentis des regards vers moi et absolument personne n'avait cherché à me sauver.

Même pas les voisins qui étaient censés "m'adorer".

"Irena, s'il y a une urgence, appelle nous. Et tout compte fait on est en face donc on verra s'il se passe quelque chose"

Tu parles...

Une autre photo cette fois-ci au salon, toujours derrière moi en train de me violer pour la quatrième fois.

Il y avait aussi une fenêtre dans le salon qui donnait vue aux autres voisins.

Des grosses commères aussi mais quand il s'agissait de voir les choses graves, plus personne n'était présent.

Encore une autre, dans ma chambre où il refaisait la même chose, pour la cinquième fois.

Encore...

J'ai regardée la suite et cette fois-ci c'était une compilation de vidéo dans la salle de bain, j'étais au sol, avec un test de grossesse.

La caméra était en haut au fond de la salle de bain, en gros juste à côté du miroir.

Et bien évidemment c'était toujours la même chose, la même position, la même réaction et toujours le même résultat.

Haru - C'est bon ? Et avant que tu veuilles chercher la caméra dans ta salle de bain, elle n'est plus là, j'peux te le promettre.

- Haru... t'es la pire ordure que j'ai pu connaître.

Haru - D'accord, sache que maintenant tu es prévenue. Donc t'as le choix maintenant ?

Je n'ai pas répondue.

Il s'est mis à rire.

Haru - Tu vois ? T'as pas le choix, j't'enverrai les dates et les lieux où on se verra.

Il a raccroché.

J'ai commencée à faire une crise d'angoisse.

Je me suis agenouillée et j'ai commencée à lutter pour respirer.

Malgré ma difficulté, j'ai commencée à prier.

Je t'en supplie Seigneur, achève moi, j'en ai assez de ça.

J'ai commencée à chercher un ustensile.

Une magnifique lame sur ma commode.

En continuant ma crise, je l'ai saisie et je l'ai mise à l'horizontale face à mon bras.

J'ai commencée à m'ouvrir les veines.

Oui, c'était un péché mais autant en finir maintenant.

𝖠𝗇𝖽𝗋𝗒🤌🏽.

J'l'ai vue s'éloigner, elle grossissait... sa courte taille.

Mais alors que j'étais en train d'analyser son corps, j'ai entendue un bruit d'AirDrop.

Toujours un truc pour me déranger.

Mais quand j'ai vue le nom de la personne, j'ai pas tout de suite compris.

C'est qui ça ?

J'ai quand même hésité mais j'ai finalement accepté.

Wesh ?

C'est quoi ça ?

Attends, je capte pas...

C'est qui la meuf ?

J'ai défilé les photos malgré moi et j'ai aperçu un visage que je ne voulais pas voir dans ce genre de circonstances.

Irena... w'الله c'est trop...

C'était quand ce truc ?

J'ai guetté la date de la photo et ça datait du vingt-trois juillet.

Le jour de son anniversaire et c'était à deux heures du matin.

J'ai vérifié l'année et c'était bien cette année.

En levant les yeux, je n'ai vue personne.

J'ai décidé de l'appeler mais elle ne voulait pas répondre.

J'ai rappelé une dizaine de fois mais rien.

J'me suis dépêchée de monter chez elle.

Arrivée devant sa porte, j'ai toqué, mais personne n'était là.

J'ai pris le double des clés qu'Irena m'avait passé et j'ai ouvert la porte.

Personne n'était là...

Je suis directement partie dans sa chambre mais elle était aussi fermée.

Quand elle fermait sa chambre, ça signifiait qu'elle était en train de pleurer, mais j'entendais rien.

J'ai pris le double de sa chambre et j'ai ouvert.

Je l'ai vue à genoux, en position de prière, la tête baissée mais j'ai remarquée qu'elle ne bougeait pas.

- Irena ?

Elle n'a même pas levée la tête.

- Irena ?

Je me suis approché d'elle et j'ai aperçue un liquide rouge couler comme de la pluie.

Attends...

Elle avait les manches retroussées, donc je voyais bien.

En regardant ses genoux, j'ai vue une lame de la même couleur que ce qu'il coulait actuellement sur ses bras.

Je me suis accroupi et j'ai guetté son visage, elle avait les yeux grands ouverts et des larmes qui coulaient le long de ses joues.

Mais je voyais qu'elle ne clignait pas des yeux et d'ailleurs une goutte de liquide est tombé sur moi.

J'ai vérifié ce que c'était, évidemment, c'était du sang.

Ça coulait par où ?

J'ai retirée ses bras de leur position et ce que j'ai vue m'a effrayé.

Ses bras étaient entièrement entaillés, je voyais ses veines se vider de plus en plus.

J'ai sentis sa tête se reposer sur mes genoux.

Elle avait toujours les yeux grands ouverts...

J'ai tout de suite eu le réflexe de vérifier son pouls.

Rien...

Son cœur ne battait plus...

- Irena ?

Pas un bruit.

- Irena ?

J'ai réellement commencé à paniquer.

Irena - J'suis désolée...

J'avais l'impression de vivre dans un cauchemar.

________________________

18 : 25

🤌🏽.

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