MCQ-Mais C'est Qui? [BxB]

By Pretty_P_Big_P

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Lors d'une soirée chill, Daniel, jeune etudiant de 21 ans, va découvrir dans des conditions mysterieuses et s... More

La soirée Chill
un amour naissant?
Que de surprises!
Nouvelle vie!
Le Bal Masqué
Daniel et l'inconnu masqué
le debut des problèmes
un dimanche lourd
romeo
le 1er rendez vous!
Encore des soucis!
quelques révélations!
PAS UN CHAPITRE!
révélation (partie 1)
révélation (partie 2)
le choc des coeurs
la soirée karaoké
la soirée karaoké (partie 2)
une nuit mouvementée
le piège de Professeur Martin
une invitation impromptue
l'alliance de Roméo et Alec
jolie coeur démasqué
la vérité éclate
l'inconnu masqué et Daniel (xxx)

un partenaire surprenant!

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By Pretty_P_Big_P

Hello my pretty people. J'espère que vous allez bien. Je vous l'avais annoncé, voici votre chapitre 9, exceptionnellement.

Je vous fais beaucoup de cadeaux. Rire.

Je prends beaucoup de plaisir à écrire mais dès fois, on ne se rends pas compte de l'implication que cela demande.

Alors, si vous aimez, n'hesitez pas à me le montrer.
Bonne lecture, et surtout, n'oubliez pas de voter, commenter et partager. Mcq, c'est partis. Let's get into it. 😊😌😍🤩🏳️‍🌈🇺🇸🇨🇮

********
 
M'aurait elle reconnu ? Mon cœur battait comme un tambour qu'on bastonnait à un rythme régulier.

Toujours le regard perché dans les yeux de Romeo, je repensais à l'allusion de Roxanne. Je me retournai vivement face à elle de nouveau afin de la dissuader de cette vérité qu'elle ne devait pas savoir.

-Moi : mais non. Ris je embarrassé. Je ne pourrai jamais faire ça. C'est à peine si je sais danser.

-Roxanne : t'inquiète daniloush. Nous même on sait que tu sais pas danser.
Elle se moqua de moi suite à cela. Imagine Daniel entrain de se déhancher.

Elle rigola de plus bel face à Romeo qui n'exprimait aucune émotion.
 
j'étais gêné par toute cette situation et je décidai de m'en aller. Les au-revoir furent bref avec Romeo mais passionné avec Roxanne qui voulait passer la journée avec moi.
 
Toujours dans ma course vers la boulangerie, je reçassais en boucle les images de cette vidéo.

« Eh Dieu. La photo était déjà de trop, voilà que circule une vidéo. Pff si quelqu'un me reconnait, je suis foutu » Pensai je pendant que je déambulais la rue sous ce chaud soleil.

***
Je m'enquis de mon téléphone qui ne cessait de vibrer. C'était Alec. Je decrochai donc.

**au téléphone**

-Alec : …Poussin ? cava ?

-Moi : oui oui

-Alec : tu es où actuellement ?

-Moi : non loin de la boulangerie. Je pars acheter du pain

-Alec : celle qui est à coté de chez moi ?
 
Effectivement, la dite boulangerie se situait pile poil en face du bâtiment de chez Alec.

-Moi : oui oui

-Alec : s'il te plait, passe à la maison. Viens de suite, et je te raccompagnerais moi-même ensuite.
J'étais perplexe.

Entre ma mère qui se plaignerais surement de ma longue absence et Alec qui voulait me voir, je ne savais pas quoi faire. Et puis merde ! pensai je avant d’accepter la proposition d’Alec.

***

Je toquai à la porte pendant des minutes sans que personne ne m'ouvre.
« Il fait quoi même ! fais je, l’air lasse devant sa porte d'entrée toute blanche.

Tourné dos à sa porte d'entrée, mes sourcils froncés témoignaient d'un Bouillonnement de colère lorsqu'un grincement de porte se fit entendre »

« Mon poussin » s'écria Alec  très jovialement.

-moi : non mais Alec. Fais je, l'air énervé. Tu sais que je prends des risques….

Il Me stoppa par un baiser fringant. Pour parler comme un ivoirien, fougueux même était étonné !

Je me laissai faire, dans ses bras galbés de muscles. Ses lèvres rebondies effectuaient les milles et une danses sur mes lèvres qui acquiesçaient sans rechigner ce chaleureux baiser.

-Alec :tu m'as tant manqué ! beaucoup. Allez viens, rentre

j'étais si surpris par ce baiser soudain que j'en perdis mon latin. Ma colère s'était dissipé en un rien de temps.

***

*à l'intérieur de son appartement*

-moi : Alec, tu devrais arrêter de m'accueillir dans des tenues si…inexistantes. Fais je, intimidé face à lui qui me dévorait des yeux.

Alec dans sa tenue...peu catholique

-Alec : pas besoin de vêtement pour le plus beau à mes yeux.

Eh Alec ! si les mots seuls suffisaient à me tuer, j'en serais mort. Surtout d'amour.
Son regard s'insistait sur moi, et je me fondais dans un gêne aisément palpable.
Il se rapprocha de moi et me tint la tête entre ses deux mains. Nos yeux se croisèrent intensément pendant que nos corps s'attiraient l'un à l'autre pour se toucher délicatement.

-Alec : je suis désolé pour tout. Désolé de t’avoir abandonné à cette soirée alors que c'était ta toute première. Désolé de t'avoir mis en colère. Désolé pour…

-moi : non Alec ! l'interompai je. Ne sois pas désolé. J’ai eu le temps de réfléchir. Tu as été super et c’est moi qui te demande pardon pour la manière dont je t'ai traité. Oublions tout, je ne t'en veux pas
 
Son sourire devint aussi éclatant qu'un croissant de pleine lune.
« yay" s'écria t'il en exécutant des pas de danses farouches pour exprimer sa joie.
Il était mauvais danseur mais adorait faire le pitre.
Je retrouvais la folie spontanée, presqu' espiègle de mon cher petit ami, Alec.

On se mit à reparler de tout et de rien, en balayant la vidéo et les photos qui circulaient à mon endroit. Alec s'en voulait d’avoir été absent à ce moment là.

-Alec : tu sais, je regrette tellement ça. Désolé encore pour ça poussin. Heureusement que tu avais un masque. Dit il, étendue sur le lit, caressant ma chevelure afro.

-moi :vraiment ! heureusement. Je crois que c'est le masque qui me maintient aussi calme. Je me dis que personne ne pourra me reconnaitre. Figure toi que ce matin, en venant ici, jai croisé Roxanne.

-Alec : ah bon ?

-moi : oui oui. Elle a presque failli me reconnaitre. Mais ouf…fais je en me redressant. Elle a juste dit que ce gars me ressemblait.

-Alec : Roxanne fait toujours très attention aux détails. Mais soit fier poussin. Ca veut dire que ton étoile est grande. Malgré le masque tu avais, regarde le buzz que tu fais. Donne moi ta lumière aussi. Dit il en me chatouillant la taille.

Je ne pouvais m’empêcher de rire face aux papouilles d’Alec

-moi : ah ah on sort ensemble non ? donc prends la lumière ! fais je ironiquement pour le rejoindre dans sa blague.
 
Le temps semblait arrêté avec lui. Pour la première fois depuis un moment. Je ne pensais qu'à lui sans penser à qui m'avait embrassé la première fois, encore moins à l'inconnu masqué.
J'étais content de retrouver mon Alec si joviale, et taquin. J'étais épanoui…. Avant d'être ramené à la réalité de ma mère.
Elle ne cessait de m'appeler pour savoir où jetais. Notre petit rendez vous spontané du dimanche matin ne dure pas trop longtemps…mais ce fut un beau moment qui su apaiser les folles émotions que je ressentais, sous ce chaud soleil d’Abidjan.

***

Lundi matin, à l'université…

Ah ! sacrée université ! L' université des lagunes avait cette particularité de faire chanter l'abidjanaise, tous les premiers lundi du mois. Un signe d'honneur patriotique envers notre chère patrie la Cote d'ivoire.
Terre d'eburnie et des ivoires…enfin, ancienne terre d'ivoire ! mais toujours ruisselantes de ressources qui ne demandent qu'à être exploitées par les bons dirigeants…
 
Que dis je ! Que mes mots me gardent!
Pensai je avant d'être interrompu dans mes pensées par un :
 
"Salut aux terres d'esperance, pays de l'hospitalité..." 🎼🎶

Arrêtés comme des poteaux gris, en ligne  ,faisant verticalement face au drapeau, les voix des  étudiants se mêlèrent à une symbiose symphonique, pendant quelques minutes, pour faire vibrer l’école de sa fierté ! l'abidjanaise.
 
« La patrie de la vraie fraternité… »🎶🎼

Les voix s'estompèrent aussitôt que le drapeau qui atteignit son plus haut sommet sur le poteau auquel il était attaché.

Les yeux rivés vers ce drapeau parsemé de couleurs vives orange blanc vert , je repensais à ma vie aux Etats unis.
 
Elle était bien différente de celle que je vivais ici. Là-bas, j'étais le parfait geek de service. Intellectuel aguerri, ne sachant faire qu'étudier !
je me perdais dans une timidité monstre. Les bouquins étaient mon refuge et la solitude mon amoureuse.

Mais ici, en Côte d’Ivoire, ma vie toute entière a basculé en une semaine. 
Une chaude semaine ivoirienne.

En une semaine, j'ai découvert les joies de la chair par un baiser déclencheur de toute impulsivité sexuelle. Puis, jai apprécié les caresses d'un homme, faisant de lui mon petit ami en moins de quelques jours.

Pourtant, mes sentiments pour lui ne sont pas aussi confirmé que ce que cette relation voudrait. Sans oublier, la folle soirée qui me fit connaitre les joies du buzz ivoirien. Un buzz créé, d’une part, par une tenue osée presque perverse,
Et d'autre part, par un inconnu masqué pour qui j'ai oublié ,en un lapse de temps , qui j'étais.

"Ah ! l'inconnu masqué !"
Fais je en souriant ,toujours face au drapeau.

Je revoyais encore ses mains autour de mes hanches. Il les empoignaient avec force, comme s'il n'allait plus jamais me revoir. Pourtant, il me regardait avec passion, comme s'il me connaissait depuis toujours.

Cette sensation de déjà vu ! de déjà vécu ! cet homme me faisait frémir de désir au plus profond de mon âme.
 Mais il avait un masque. Et je n'allais surement jamais le retrouver…

« Ecoutez bien » cria une voix au micro qui me sortit de mes profondes réflexions.

Je baissai le regard vers cet individu à l'apparence frêle mais à la voix rugissante.

« Comment une voix si grave peut elle sortir d'un corps si svelte" murmurai je pendant qu'il exécutait fièrement son monologue.
C'était le président des étudiants , son excellence,  Franck Kouadio.

Ies quelques autres membres principaux de l'université, tels que le président de tout l'établissement, le secretaire générale , se tenaient aux côtés de franck kouadio.
On aurait dis des gars de corps déchus  tant ils étaient strictes dans leurs costumes aux couleurs bien particulières.
Celui du président était d'un vert cassé militaire. La comparaison, avec un policier au ventre bien rempli par les rackets, ne se fit pas prier pour intervernir dans mon esprit lorsque je fus réveillé de mes critiques par la voix de Franck kouadio

Franck k : comme vous le savez, le lundi est un jour solennelle pour nous chers étudiants. Il marque le début d'une nouvelle semaine. Et qui dit nouvelle semaine en ce début d'année universitaire, dit aussi nouvelle expérience. En effet, cette année, avec l'accord du président de l'université , nous avons décidé de lancer la semaine parrainage.

«hum encore…j’espère que j'aurais un bon parrain…eh Dieu on va lutter encore pour trouver les gens… » telles étaient les quelques murmures qui se faisaient entendre de part et d'autres.

Je me tournai rapidement vers Alec, qui se tenait juste derrière moi pour en savoir plus mais je fut  vite refroidi par un « shut » immédiat.

-Franck k : vous le savez, le parrainage est obligatoire cette année. Et elle comptera dans votre moyenne annuelle. On a remarqué que certains étudiants ne prennent pas cela au sérieux donc, avec l'accord du président, nous avons fais de cela un évènement qui sera noté . Les modalités de notations vous seront communiqué plutard.

« hum affaire dh… »pouvait on entendre dans les murmures.

-Franck k : pour l'heure, il s'agira pour vous de trouver votre partenaire. Des stands ont été déjà placé devant les bâtiments de faculté de gestion et de droit. Chacun de vous doit piocher un bout de papier, au hasard , qui lui indiquera la classe , la filière , le genre de votre partenaire, et un signe distinctif de cette personne afin de vous aider à retrouver votre partenaire. Les numéros ont été pairés. Ce qui veut dire que chaque numéro tiré est doublé afin que les partenaires se correspondent et puissent se retrouver un peu plus aisément. C'est l'occasion pour vous de faire connaissance entre vous, à travers cette manière mystérieuse de chercher votre partenaire. l'objectif de ce parrainage est de vous permettre de vous mélanger les uns et les autres et d’apprendre à être plus sociable. Chaque semaine un challenge vous sera lancé mais pour l'heure, votre premier challenge est de retrouver votre partenaire et d'apprendre le maximum d'information l’un sur l'autre. Bon lundi à tous et bonne rentrée. dit il avant d'être encensé de murmures peu élogieux de la part des étudiants.

Apparemment, c'était une expérience déjà vécu dans cette université. Mais le caractère péremptoire de la chose cette fois ci, en déplaisait à plus d'un. Je ne connaissais pas du tout cela mais jetais excité de prendre part à cela. Je trouvais ca fun.

***

-Alec : désolé poussin, je voulais ecouter ce qu'il allait dire.

-moi : pas grave. Donc on doit partir prendre nos numéros maintenant ? fais je pendant que nous cherchions à se frayer un chemin dans la foule d'étudiants, désormais éparpillé !

-Alec : c'est mieux. Sinon à l'heure de la pause, ca sera la folie au niveau des stands. Alors que maintenant , presque tout le monde est préoccupé par le premier cours du matin.

-moi : enfin…tu veux parler de ceux qui ont cours le matin. Dis je pour le rectifier.

Il rigola

-Alec : oui, si tu veux. Dommage qu'on ne puisse pas être ensemble. Il se tourna vers moi en levant son index devant ma face. Mais je te préviens ! si ton partenaire est un homme, évite de trop te rapprocher de lui. C'EST la seule condition qu'on doit se donner ! Okay poussin ? Insista t il, l'air très sérieux.

-moi : oui Alec. T'en fais pas.
 
Je comprenais sa jalousie mais franchement, j’étais excité de jouer à ce jeu. J'allais rencontrer quelqu'un de nouveau et j'étais bien décidé à en profiter.
« Pourvu que ce soit un garçon" pensai je en ricanant presque.

Alec et moi nous dirigeâmes vers le stand posé devant notre faculté principale de gestion. Ce bâtiment aux couleurs pastelles arborait un mur légèrement herissé. Des barreaux noires servant de porte de sécurité étaient semi ouverte.
C'était juste devant ses barreaux, que se trouvait l’un des stands.
Quelques étudiants s'y trouvaient déjà. Le temps de se faufiler entre les gens pour accéder au dit  stand, on avait perdu environ 15 minutes. Mais heureusement encore, une étudiante était chargé de la bonne concordance de cette opération. Arrêtée comme une jeune fleur, elle nous offrit son plus beau sourire brêché en nous indiquant de sa main, une boite en verre dans laquelle était parsemé des bouts de papier.

Alec piocha le premier, puis moi ensuite.

« Oorgh putain" s'écria Alec lorsqu'il ouvrit son bout de papier.

-moi : Alec ? qu'est ce qu'il ya ?

On s'éloigna du stand

-Alec : j'ai pioché le 72. Et les indications montrent que c'EST une fille ma partenaire. Pff fait il , lassé. Les meufs sont trop chiantes. Je voulais pas une fille comme partenaire.

Je m'esclaffai de rire. Il semblait dégouté par cela.

-Alec : et toi ? il croisa les mains en signe de prière. J’espère que c'EST une fille. Il leva les yeux en l'air, en balbutiant sa prière à cet effet. Seigneur, voit ton fils Alec qui aime tant ton autre fils Daniel. Fais en sorte qu'il ait pioché une fille pour le bien de l'âme de ton fils.

Je riai de nouveau face à la pitrerie d’Alec.

-moi : toi tu es fou ! fais je en ouvrant mon bout de papier.

j'avais pioché le numéro 7, et il indiquait que mon partenaire était un homme.
Pendant que j’avais les yeux rivé sur le bout de papier, Alec s'invita rapidement à mes cotés pour savoir de quel genre était mon partenaire.

-Alec : et merde ! s’exclama t il en tenant sa tête entre ses mains. Et merde ! et Dieu, tu n'as pas sciencé pour moi inh. Avec toute la prière que j'ai fais, là…

Je me marrais littéralement. Alec était trop drôle. J'étais tout excité par contre. Dieu merci que la prière d’Alec ne fut pas exaucé. Les filles, je n'ai rien contre vous mais je veux parler à des mecs. Pensai je pendant que nous retournions en classe.
 
***

*quelques heures après le cours, à l'heure du déjeuner*

« Man, fais vite. Faut pas les go vont cra(partir) avant nous" c’était Meryl , le gars au paroles noussi, qui pressait Alec.
Ils avaient tous les deux piocher des partenaires féminins et voulaient les retrouver au plus vite.
Que dis je ! Meryl, voulait retrouver sa partenaire au plus vite. Alec, beaucoup moins excité par cela, le suivit tout de même. Il me fit un câlin, lorsque tout le monde était parti, puis s'en alla derrière Meryl.

j'étais tout seul en classe désormais.
Je voulais moi aussi trouver mon partenaire et Dieu merci que Alec ne s'était pas proposé pour m'aider à le retrouver. Je voulais faire ça tout seul.

***

Les yeux plein les Etoiles, j’avançais à pas de géant vers la classe de mon partenaire. C'était un étudiant de droit.

Leur bâtiment  était beaucoup plus effrayant à traverser. Il y avait toujours une quantité monstre de jeunes étudiants, prêt à critiquer vos moindre faits et gestes. 
Heureusement que cette fois ci, je ne remarquais presque personne dans les allées que je traversais pour accéder à la classe de mon partenaire.
 Mon excitation était à son paroxysme. On aurait dit un enfant qui déballait un cadeau. J’avançais machinalement, avec en tête l'indication qui m'avait été donné : « je suis le plus grand d'entre tous dans ma classe"

Je devais juste préciser cette information et le nom de mon partenaire me serait donné. J’arrivai plutôt vite devant la salle, qui semblait vide d'ailleurs.

« ya quelqu'un ? » fais je en introduisant légèrement ma tête pour voir qui était là.

Personne apparemment.
Je rentrai donc à l'intérieur tout de même. La salle était grande. Des tables de diverses formes etaient eparpillés dans cette pièce aux murs blancs.

« merde, il ya personne ici. Moi qui espérais trouver mon partenaire ici" fais je , un brin irrité, le visage face au tableau blanc. Lorsque soudain…

« tu cherches quelqu'un ?... » une voix rauque se fit maitre des lieux.

Je sursautai presque, en me retournant vigoureusement.  Je n'avais pas remarqué qu’il yavait quelqu’un. Cette personne était couché tout au fond de la pièce apparemment.

« oui, je cherche quelqu un… »

j’avançais vers cette personne qui était toujours couché sur son banc. Je ne voyais pas encore son visage mais il me semblait correcte d'avancer pour mieux demander.

-Moi : en fait, je recherche mon partenaire. Il a le numéro 7 et on dit de lui qu'il est le plus grand d'entre tous ! Dis je lorsque j'atteignis enfin le banc où il se trouvait.

« wou doux Jésus" m'écriai je intérieurement lorsque ma vue constata le propriétaire de cette voix.

« Daniel" il se leva de son siège et moi, je reculais de quelque pas.

-Moi : désolé Romeo, je ne savais pas que c'était toi. Excuse moi, je m'en vais. désolé de t'avoir dérangé. Dis je en me dépêchant de sortir de la classe lorsque je sentis une pression extérieur  me saisir la main.

-Romeo : non. Ne t'en va pas. Dit il pendant qu'il me retenait de sa main.
En fait, tu as dis avoir le numéro 7 ?

Il me regardait sans cligner des yeux.  Purée, aussi effrayants que ses gros sourcils broussailleux paraissaient, il était incroyablement beau.
Si beau que j'oubliais presque j'étais face à un homme violent et homophobe.

« oui…le numéro 7 » fais je en  libérant ma main de son emprise, puis
Il sortit un bout de papier de sa poche qu'il me tendit.

《Anh 》      m'exclamai je quand je remarquai sur son bout de papier…le numéro 7.

Romeo était mon partenaire, aussi invraisemblable que cela pouvait paraitre. Je le regardais, presqu' effrayé, tétanisé et choqué, brisé dans mes rêves d'avoir un partenaire intéressant…

-Romeo :…je suis ton partenaire Daniel.

Cette phrase retentit dans mes tympans comme une balle qu'on venait de me tirer à la tête…

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