Dilemme! Que faire?

By Amethe1998

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Sidy: Bébé s'il-te-plaît je te le demande pour la énième fois ne me fait celà, je ne crois pas à ces choses e... More

Préface
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30 & FIN

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By Amethe1998

Précédemment dans Dilemme! Que Faire?

Très tôt le matin après avoir pris le petit déjeuner chez lui il s'est directement dirigé chez Ndéye Aïda au lieu d'aller travailler, il lui avait promis qu'il allait passer l'a prendre et l'amener à la clinique de son ami docteur Hiram pour plus en savoir sur son état de santé. Une fois chez son amie il a trouvé la mère et la sœur de cette dernière, elles l'ont bien accueilli en discutant avec lui tout en essayant de le mettre à l'aise du mieux qu'elles pouvaient. Mère Tabara a profité de la situation pour le remercier pour tout ce qu'il fait pour sa fille, après Ndéye Aïda est venu et ils sont partis ensemble à la clinique. Hiram l'ami de Clauvice les a bien accueilli et un peu discuté avec eux avant d'aller en salle d'examen avec Ndéye Aïda. Clauvice quant à lui était bien assis dans la salle d'attente et c'est par là suite que la secrétaire à essayer de le draguer mais il lui a bien remis à sa place tout en restant correct.

*Diggëi borr leu rawatineu seu diggeunntéi akk sayy domm ndaxtei ayy nawléi lagnou tei gorr seu waxx djeu*

PDV de L'auteur:

Ndack et son père étaient en train d'entrer dans l'ascenseur quand elle s'est rappelée qu'elle avait oublié son porte-monnaie dans son bureau.

Automatiquement ils se retournent à leurs pas pour le récupérer, ils ne se doutaient de ce qu'ils pouvaient y trouver.

Mais gros fût leurs surprises lorsque Ndack a ouvert la porte de son bureau, ce qu'elle pensait ne jamais avoir à faire face.

Elle était comme perdue et son cerveau refusait toujours d'accepter la réalité, son père aussi était bouche-bée.

Mya était dans le bureau de Ndack en y versant des gris gris (safara) tout en prononçant des mots difficiles à entendre.

On aurait dit dans un film pour elle.

Ndack: Mya qu'est-ce que tu verses dans mon bureau là?

Mya: Wouyyyy sama ndaye Serigne bi naxx nama, fit-elle en stupeur avant de laisser tomber la bouteille qu'elle avait.

Ndack: Je commence à devenir folle ou quoi, bann Serigne?

Mya: Oh mon Dieu quel honte, Ndack s'il-vous-plaît veuillez me pardonner, moi-même j'ignore ce que je faisais.

Ndack: Ah oui? Est-ce que tu sais que tu ferais une bonne actrice, sérieux je te l'assure de plus tu oses me faire des yeux doux espérant que je te pardonne mais tu te trompes ma chère.

Mya: Ne me fait pas ça je vous le demande sincèrement, vous n'êtes pas méchante au contraire vous êtes gentille.

Ndack: Donc si je comprends bien vous prenez ma gentillesse pour de la naïveté? C'est ça, tu me crois stupide? Mais détrompe toi tout de suite, avec tout le confiance que j'avais en toi c'est ainsi que tu juges nécessaire pour me remercier. Pourtant je t'avais considéré comme une sœur de plus je ne t'ai rien refusé depuis que tu travailles près de moi, même ta formation c'est moi qui l'a paie et tant d'autres que je ne veux pas cité. Tu es vraiment malchanceuse Mya Ka parceque figure-toi que je vais bientôt quitter l'entreprise et j'avais comme décision de te laisser mon poste mais là tu viens de tout gâché.

Mya: Ngir yalla djegeulma Ndack, balma akk tei yalla taxx. Tonton djapsii nga wax akk mom, lance-t-elle en pleurant de chaudes larmes digne d'une actrice de Bollywood.

Père Malick: N'espère surtout pas que je réagisse car je ne compte pas en ajouter plus, j'ai confiance en ma fille et j'en suis sûr qu'elle prendra la bonne décision comme elle l'a toujours. Considérez-moi juste comme un téléspectateur.

Ndack: Mieux vaut arrêter ton cinéma sur le champ et te mettre dans la tête que je ne vais pas laisser passer si facilement. Pourtant je t'aimais bien et je voulais que du bien pour toi alors que pendant tout ce temps mademoiselle avait son couteau pour me le piquer dans le dos. Si seulement tu savais tout ce t'as raté à cause de ta jalousie envers moi.

Mya: Ne dit rien à personne Ndack je te le demande à genoux mais surtout ne me vire pas, toi-même tu connais la situation de ma famille avec la maladie de ma mère. Je suis son seul espoir sur terre, demande t-elle à genoux.

Ndack: C'est toi qui aurait dû penser à tout cela avant de vouloir me marabouter mais comme que les faits se sont passés ainsi je trouve qu'une seule solution possible. Je ne dirai rien à personne parceque on m'a appris le "soutoureu" mais sache que tu es virée sur le champ et que tu n'as plus le droit de remettre les pieds içi.

Mya: (Des Pleurs).

Ndack: J'espère ne plus te revoir pour le reste de ma vie, allez dégage de mon bureau.

Comme si elle n'avait pas bien entendu son boss cette dernière la trouvée là où elle était avant de l'a prendre par le bras avant de l'a traînée dehors.

Une fois de nouveau dans son bureau elle a ouvert la fenêtre afin de respirer un peu d'air pour se calmer.

Elle n'arrivait toujours pas y croire, que celle en qui elle avait le plus confiance au bureau était en train de lui marabouté.

Pourtant elle était hyper gentille avec elle en l'aidant sur tout les côtés même financièrement, Ndack payait les deux années qui lui restait pour terminer sa formation.

Sans oublier l'argent qu'elle lui offrait de temps en temps, un monde remplie d'égoïsme où on ne sait plus qui faire confiance.

Ndack: Donc pendant tout ce temps elle me jalousait, c'est pas vrai, dit-elle l'air en colère.

Père Malick: Prend ça prunelle, ça t'aidera à te calmer, fit-il en lui donnant un verre d'eau.

Ndack: Merci Papa.

Père Malick: Ma chérie ne crois pas que c'est terminé, tu auras à rencontrer pire que Mya et sache dès maintenant que cela fait partie des risques du métier.

Ndack: Je n'aime pas du tout ce qui vient tout juste de se passer là, c'est injuste.

Père Malick: Faudra t'y faire mais tel je te connais tu seras à la hauteur de tout gérer inch'Allah.

Ndack: Puis-je te poser une question?

Père Malick: Oui ma chérie vas-y.

Ndack: Pourquoi tu n'as pas réagi en voyant Mya versée du "safara" dans mon bureau?

Père Malick: Premièrement parce que j'ai vu pire que cela, deuxièmement j'ai confiance en toi et j'avais la certitude que tu allais tout gérer à merveille. Ne pense pas que je ne vous protège pas, loin de là.

Ndack: Merci Papa, je ne cesse d'être fière de toi.

Père Malick: Tu sais dans la vie il faut savoir prendre ses propres décisions même si c'est difficile de le faire. Juste soit plus prudente et méfiante, n'accorde pas trop ta confiance à tout le monde.

Ndack: Je ne risque pas d'oublier ces conseils inch'Allah.

Père Malick: Allons rejoindre les garçons, ils doivent être déjà au restaurant en nous attendant.

Ndack: Oui tu as raison allons-y.

PDV de Clauvice:
1h en arrière:

J'étais assis au calme quand d'un coup la secrétaire de mon ami docteur Hiram s'est approchée de lui.

La Secrétaire: Monsieur je me suis dit que tu voudrais peut-être du café le temps qu'ils terminent, prononce t-elle de manière provocatrice.

Moi: C'est gentille de ta part mais je ne bois qu'une seule fois du café pendant la journée.

La Secrétaire: Du jus peut-être, tu en veux?

Moi: Non merci, ce n'est pas la peine.

La Secrétaire: Il il y a aussi des beignets et du gâteau, je peux t'en servir avec plaisir.

Moi: Hey tu entends par quoi à la fin, je ne veux rien ou cela ne te suffit pas. Je maîtrise très bien le jeu dont tu m'invites mais sache que je ne suis pas intéressé ok. Si tu t'obstines toujours à vouloir me draguer je le dirai à ton Boss et connaissant très bien mon ami il serait capable de te virer. Donc à toi de décider de ton sort? dis-je avec le plus grand des calme mais d'un ton ferme.

C'est quoi ces manières à la fin?

Où bien elle croît que je n'avais pas vu la façon dont elle se comporte depuis que je suis assis là.

Malheureusement pour elle, je ne suis pas du tout intéressé. Je ne comprends toujours pas le fait de vouloir séduire un homme que tu ne connais d'Adam ni Eve et vu qu'une seule fois en plus.

Je crois qu'elle avait compris la leçon parceque après cet incident elle s'est calmée en faisant son travail tout en m'ignorant à mon plus grand plaisir.

J'étais toujours assis au même endroit l'air inquiet vu qu'ils commençaient à un peu durée, j'essayais de penser quelques choses de positif mais au fond j'avais la trouille.

Je prie que le bon Dieu épargne Ndéye Aïda de cette maladie afin qu'elle puisse continuer sa vie sans peur ni crainte, yalla nako yalla déiff.

Comme que je commençais à m'ennuyer je suis automatiquement entré dans ma playlist pour écouter Midadi de Freestyle.

C'est si doux comme si c'était pour moi juste pour me pomper les soucis, je ne m'en lâche pas.

J'étais toujours dans la même position quand une demie-heure plus tard Hiram est venu me voir tout seul ainsi augmentant mon inquiétude.

Moi: Boy qu'est-ce qu'il y'a vous avez duré? Et Ndéye Aïda, pourquoi n'est-elle pas avec vous?

Hiram: Mec calme-toi et respire. Une question à la fois.

Moi: Tu commences à me faire peur-là est-ce que tout va bien?

Hiram: Viens on se pose là-bas d'abord? fit-il en indiquant un coin.

Moi: Maintenant tu peux parler, qu'est-ce qui ne va pas? Quelque chose de grave c'est passé?

Hiram: Pour tout te dire elle ne va pas du tout bien franchement, son cas s'est beaucoup trop aggravé de ce que je pensais. Elle a vraiment besoin d'aide comme tu le fais, être présent pour elle et lui faire plaisir...

Moi: Attend attend attend tu veux dire quoi par là? Comment ça c'est compliqué? Tu veux dire que tu ne peux rien y faire c'est ça? demandais-je perplexe.

Hiram: Je suis désolé de vous dire que Oui, il n'y a plus grand chose à faire mon frère.

Moi: Non mais c'est impossible, il y'a forcément un moyen à faire pour lui sauver la vie, je payerais tout ce qu'il faut pour l'amener à l'extérieur même s'il le faut. Mon ami aide l'a je veux juste qu'elle vive rien de plus, aide-moi s'il-te-plaît au nom d'Allah SWT, dis-je aux bords des larmes.

Hiram: Hey tu as toujours été le plus croyant et fort de tous nos amis donc s'il-te-plaît je te demande d'essayer de tenir le coup, je sais que c'est dure mais c'est la volonté divine. J'ai bien vérifié plusieurs fois mais je te l'assure que personne sur terre n'y peux rien pour son cas.

Moi: Tu sais c'est elle la femme de ma vie, pour la première fois de ma vie je viens de tomber amoureux c'est pourquoi je te demande de faire tout ce qui est en ton possible pour l'a retenir en vie Hiram.

Hiram: J'aurai tellement aimé te venir en aide, tu es mon meilleur ami et te voir malheureux est la dernière chose que je souhaite toi-même tu le sais.

Moi: Allahou Akbar, Allahou Akbar yalla rek moh sagn lih, dis-je avec le cœur lourd.

Hiram: Meiti neu wayei mom réik moh sagna téik djam natou, geuneu deugeur tei nangou dogal moffi seuss.

Moi: Il lui reste combien de temps à vivre? demandais-je attendant au pire.

Hiram: Quinze jours minimum ou trente jours maximum.

Moi: Ô mon Dieu quinze jours seulement.

Hiram: Elle est déjà au courant de la gravité des choses mais pas le nombre de jours qui lui reste. Voici les médicaments que je lui ai prescrits pour qu'elle ne ressente pas des douleurs, dit-il en me donnant un sachet de médicaments.

Moi: C'est combien avec la chimiothérapie?

Hiram: Ne t'en fais pas je l'ai fait gratuitement, juste je te demande d'être fort et courageux afin de pouvoir la soutenir durant cette épreuve très difficile.

Moi: Je peux l'a voir?

Hiram: Oui tu peux, elle est dans mon bureau.

Sans lui répondre je me suis automatiquement levé en allant l'a voir, je me demande qu'est-ce que je pourrais bien lui dire.

Même moi je n'ai pas du tout la tête à palabrer, j'ai mal et mon cœur saigne sans que je puisse rien y faire.

J'ai même avoué que je l'aimais sans m'en rendre compte, du moment où j'en suis c'est le cadet de mes soucis.

Comment pourrais-je l'a regardé et lui dire qu'elle mourra d'ici quelques jours, elle ne mérite pas du tout ce qui lui arrive.

Comme si la vie est injuste et cruelle, je ne peux accepter qu'elle va tous nous quitter d'ici peu, je ne peux même pas imaginer la douleur de sa mère.

Une fois devant le bureau de mon ami c'est comme si mes pieds refusaient de bouger, de là où j'étais je l'a voyais assise l'air ailleurs.

Comment une si jeune et belle femme peut mourir à fleur de l'âge alors qu'elle lui reste beaucoup de choses à accomplir.

Sachant que tôt où tard j'allais l'affronter j'ai pris mon courage à deux mains avant d'entrer dans le bureau.

Ndéye Aïda: Ah enfin tu es là je commençais bien à avoir peur tu sais. Ton ami ne m'a rien à part me présenter les résultats.

Moi: Qu'est-ce que tu en penses? demandais-je tristement.

Ndéye Aïda: Je m'y attendais, je savais depuis le début que mon cas s'aggrave de jours en jours ce n'est pas une nouvelle ça.

Moi: Allah Le Seul et Unique Dieu donne-moi la force de pouvoir de tout lui dire, soufflais-je.

Ndéye Aïda: Clauvice tu sais je me suis préparée à tout, tu peux tout me dire vas-y.

Moi: Je suis désolé Aïda, je suis sincèrement désolé.

Ndéye Aïda: C'est toi qui me disait que "qu'importe la situation où la dureté des choses il faut savoir accepter la décision du Tout Puissant" donc vas-y je t'écoute.

Moi: C'est plus grave qu'on ne le croyait Ndéye Aïda et il te reste peu de jours à vivre.

Ndéye Aïda: (Silence)

Moi: Je suis vraiment désolé, vraiment désolé.

Ndéye Aïda: Combien de jours? dit-elle tout simplement.

Moi: Trente jours maximum.

Ndéye Aïda: Pourquoi moi, pourquoi? Je m'étais préparé à tout affronter sauf la mort, je savais que ça allait arriver tôt où tard mais pas de si tôt. Et ma mère dans tout ça alors qu'elle commence à reprendre confiance me concernant. Je n'ai encore rien accompli dans la vie et voilà je dois partir rejoindre mon père, pourtant je ne rate aucune heure de prière de plus jeûne chaque semaine donc pourquoi je dois mourrir maintenant. Une maladie qui ne cesse de se compliquer davantage alors que j'ai toute la vie devant moi, me voilà contraint de devoir tout laisser, dit-elle en pleurant.

Moi: S'il-te-plaît ne dit pas cela, s'il-te-plaît je serai toujours là.

Ndéye Aïda: Pour les trente jours qui me reste tu veux dire? Qu'est-ce que tu veux que je dise d'autres enh?

Moi: Je suis désolé, dis-je ne sachant pas quoi répondre.

Ndéye Aïda: N'empêche que je te remercie infiniment pour tout ce que tu as fait depuis notre rencontre c'était vraiment gentil de ta part mais à partir d'aujourd'hui il faut qu'on arrête de se voir, je suis désolé mais ne cherche plus à me revoir je te le demande au nom de Dieu.

Moi: Quoi? Te laisser tranquille, ça jamais n'y pense même pas.

Ndéye Aïda: Hors que oui c'est moi qui définis les règles il faut que tu ne penses plus à moi.

Moi: Je ne peux pas, je ne pas rester une journée sans te voir du moins te laisser comme si je ne t'avais pas connu.

Ndéye Aïda: Juste une chose s'il-te-plaît supprime mon numéro et fais comme si de rien n'était.

Moi: C'est impossible Ndéye Aïda.

Ndéye Aïda: Pourquoi est-ce impossible?

Moi: Parceque je t'aime Ndéye Aïda.

Ndéye Aïda: Quoi, qu'est-ce que tu racontes?

Moi: Oui je suis amoureux de toi depuis le début juste je ne savais pas comment m'y prendre. Ton visage se projette tout le temps dans ma tête, quand tu me parles je n'ose même pas te le dire, mais je préfère maintenant te l'avouer car je ne peux plus le garder pour moi seul. Je te déclare mon amour, car tu es l'être qui donne un sens à ma vie, tu es le bonheur de ma vie, mon plaisir serait de t'avoir avec moi. Je te connais depuis déjà un long moment, les sentiments d'amitié que j'éprouve pour toi n'ont cessé de croitre et grandir. Aujourd'hui je dois t'avouer en toute sincérité qu'ils ont pris un tournant d'amour que je n'hésite pas, je t'aime Ndéye Aïda.

Ndéye Aïda: Non mais je rêve où quoi, tu n'as jugé nécessaire que me le dire maintenant sachant que je vais mourir, drôle façon d'aimer, fit-elle en se levant.

Moi: Attend je vais te montrer quelques choses, dis-je en let levant à mon tour.

Ndéye Aïda: Quoi encore Clauvi...

Avant même qu'elle ne puisse terminer sa phrase j'avais déjà capturé ses douces lèvres comme si ma vie en dépendait.

Au début elle avait l'air de ne pas connaître ce qui se passait en refusant de me laisser sa bouche mais à force d'insister elle a fini par abdiquer.

Ça n'avait pas du tout l'air de l'a dérangé vu la façon dont se passait lez choses, c'était ma première et j'y allais un peu mal mais je ne détestais pas non plus.

C'était l'un des moments que je ne vais pas du tout oublié, on était dans la même position quand mon téléphone s'est mis à sonner.

Oh putain c'est quoi ça encore, merde.

Automatiquement on s'est séparé et on se regardait comme pour demander comment tout cela a pu arriver.

Avant que je puisse dire quelque elle est sorti du bureau en courant alors que mon téléphone était toujours en train de sonner, en regardant l'appel je constate que c'était Ndack.

Moi: Oui soeurette.

Ndack:

Moi: Oui ça va alhamdoulilah et de ton côté?

Ndack:

Moi: Alhamdoulilah et Mouha?

Ndack:

Moi: Non juste qu'il y'a un petit souci mais ça va.

Ndack:

Moi: Non t'inquiètes on en reparlera après.

Ndack:

Moi: Papa a besoin de nos confier quelques choses?

Ndack:

Moi: Ok je vous rejoins tout de suite.

Après mon appel je suis vite sorti du bureau et devant la porte j'ai rencontré Hiram avec les médicaments.

Moi: Ah j'allais même oublié.

Hiram: Je sais, ah soit fort mon frère et soit plus présent dans sa vie du mieux que tu peux.

Moi: Ne t'inquiètes pas inch'Allah allez je te laisse.

Hiram: Allez on s'appelle ce soir inch'Allah.

Une fois dehors j'ai trouvé Ndéye Aïda devant ma voiture en m'attendant, sur le champ j'ai déverrouillé la porte afin qu'elle entre.

Elle m'a demandé de l'amener chez elle ce que j'ai fait sans réplique, tout au long du trajet personne ne parlait.

Il y avait le plus grand des silences et je n'en pouvais plus parceque je ne me sentais pas du tout à l'aise.

Des minutes plus tard on est arrivé sain et sauf chez elle automatiquement elle a ouvert la porte et descendre avant que je ne puisse dire mot.

Je l'a comprends parfaitement et je sais qu'elle a mal, j'attendrai ce soir pour l'appeler et voir comment elle va.

Comme que mes frères et Papa sont dans une restaurant en m'attendant je ferai mieux de les rejoindre avant qu'ils ne durent plus longtemps là-bas.

Je me suis rapidement dirigé à l'adresse que m'a envoyé Ndack par message, heureusement qu'il n'y avait pas trop d'embouteillage.

Tout au long du trajet je pensais à elle et à notre baiser.

C'est ainsi que je retrouve ma petite famille assise en discutant tout en m'attendant, après les salutations j'ai pris place avant de dire à Papa qu'il pouvait parlé vu qu'on était tous présents.

Père Malick: Comme le savez déjà, je vous ai tous réunis içi afin. De vous faire une confidence que j'étais contrainte de respecter.

Sidy: Ça concerne quoi Papa?

Ndack: J'espère juste que ce n'est pas trop grave.

Sidy: Vous savez votre mère m'avait donné beaucoup d'argent d'une valeur de cent millions pour que je le garde pour vous.

Clauvice: Quoi?

Cheikh: Mais c'est beaucoup d'argent ça.

Père Malick: Je crois qu'il est enfin l'heure de vous donner ce qui vous appartient.

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À BIENTÔT.

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