Dilemme! Que faire?

Autorstwa Amethe1998

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Sidy: Bébé s'il-te-plaît je te le demande pour la énième fois ne me fait celà, je ne crois pas à ces choses e... Więcej

Préface
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30 & FIN

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Autorstwa Amethe1998

*Fih leipp tambaléi.....*

PDV De L'auteur:

Comme chaque jour, la même routine., Réveillé depuis cinq heures du matin en se préparant pour l'université par crainte d'arrivée en retard.

Un vrai combat de titan avant de pouvoir y être avec le manque de transport qui ne facilite rien en faveur des jeunes étudiants comme lui.

Comme que les bus et tatas (transports communs) sont pleins de monde à cet heure, parfois il est obligé de prendre un ndiaga-ndiaye ou car-rapide en le partageant avec les vendeuses de poisson qui venaient fraîchement du marché de poisson de Pikine pour aller les revendre en espérant un revenu.

Parfois c'est sa grande sœur qui lui conduit à l'université mais aujourd'hui cette dernière ne se sent pas bien.

Comme le dit notre dicton wolof "kou gissoul ndayy namp si mame...niak péxéi, péxéi leu".

Obligé de prendre les mêmes voitures que ces braves femmes, parfois elles te salissent sans le vouloir avec l'eau des poissons qui sentent mauvaises mais bon ce sont les risques.

Ce serait mentir de ne pas dire qu'il y'avait une certaine puanteur.

Au moment pour lui de descendre une dame lui a maladroitement versé son sceau remplie de poisson sur ses pieds, au lieu de réagir violemment plutôt il lui sert son joli sourire tel un ange.

Ça lui ne plaisait pas de puer l'odeur du poisson en allant à l'université mais c'était avec le sourire aux lèvres qu'il quittait le transport des vendeuses de poissons pour ne pas leurs montrer son mécontentement.

Il avait pitié d'elles, de voir des vieilles femmes se décarcasser ainsi pour leurs petites familles.

Les jours ouvrables c'était le martyre pour lui n'empêche qu'il faisait tout pour tenir le coup comme il l'a toujours fait.

C'est vers 07h 38 minutes qu'il passa la grande porte de l'UCAD de Dakar avec le sueur au front malgré la matinée.

Même si c'est difficile de vivre cette vie qu'il mène depuis deux ans, il a fini par s'y habituer.

Avant de rejoindre l'amphi, là où sont déjà les jeunes étudiants comme lui, il décida de passer d'abord aux toilettes pour un peu nettoyer son pantalon, taché par la femme du car.

C'est une dizaine de minutes plus tard qu'il a rejoignit son amphi le trouvant remplit de monde comme toujours et toutes les places qui sont devant occupés.

Il était entrain de repérer ou s'asseoir quand d'un coup Ndélla, une camarade lui fait signe avec la main en guise de lui dire qu'elle lui a gardé une place par miracle.

-Oh god quel soulagement, au moins quelque chose de positif pour la matinée, dit-il en soupirant.

Sans plus perdre de temps il se dirigea vers Ndélla pour s'asseoir à la place qu'elle lui avait gardé.

Une fois prêt de cette dernière, il lui remercie en lui servant un grand sourire mais cette dernière ne tarda pas à le lui rendre.

Ils sont du même promotion et se sont connus deux années en avant, ils s'assoient souvent mais ne sont pas trop proches.

Ndélla est une fille intelligente, sympathique et surtout très gentille.

Sidy se surprend parfois entrain de lui maté, il lui arrive de ressentir des picotements au cœur mais ne trouve jamais la force de lui faire part de ses soi-disant sentiments sachant qu'il ne laisse pas indifférente son amie.

Las de jouer au gentil, il décide de lui avoué son vœux d'être ensemble avec elle pour voir ce que ça va donner.

Sidy: Hey Ndélla, ça te dirait de prendre le petit déjeuner ensemble à la descente?

Ndélla: Oui c'est d'accord, à condition que tu payes? lui dit-elle souriante.

Sidy: Madame me croit un homme avec zéro galanterie où quoi? Matérialiste wshh, blagua t-il.

Ndélla: Matérialiste tu dis? lance t-elle en lui pinçant en riant.

Sidy: Waa pardon pardon.C'est calé donc, lui répond aussi tout souriant.

Il était en pleine rêverie quand leurs enseignants est apparu l'air mécontent comme toujours d'ailleurs, ce qui annonce le début d'une mauvaise journée.

Au moins il allait essayer de parler à son amour secret, Ndélla.

           ********************

PDV de Ndack:

Une vraie fille à son papa, voici ma définition mais au sens positif.

Depuis toute petite j'ai toujours rêvé de diriger l'entreprise familiale une fois grande, c'était fait pour mon grand frère mais lui, il n'est intéressé que par la bouffe d'où vient son amour pour la restauration.

Mon père était un peu dessus du fait que son fils aîné ne veut pas dirigé l'empire qu'il a créé pour ses enfants et il avait du mal à avaler la décision de son fils aîné mais au fil du temps il lui a laissé faire ce dont il a toujours voulu.

C'était sans compter aussi sur mes deux petits frères qui ne veulent pas être dirigeants de l'entreprise de Papa mais il a respecté leurs choix sans réplique.

Par la suite je me suis désignée pour gérer son plus grand empire en plus j'évolue dans ce domaine, moi-même je sais que ça serait difficile en plus d'être une femme mais bon qui ne risque rien n'a rien.

Depuis l'enfance j'ai toujours été cette fille timide qui n'a pas beaucoup de problème mais peureuse comme pas possible c'est pourquoi je ne me battais jamais à l'école.

J'avais du mal à me rapprocher des gens et me familiariser avec eux surtout, il y'avait un sorte de bloquage.

Du coup je n'avais pas de copines, ni d'amis, juste moi, mes frères, mon père et ma tante.

Même pendant mes anniversaires il y'avait que peu de personnes, à part la famille bien-sûr et ça désolait ma tante de me voir ainsi.

Mon père faisait tout pour me comblée mais il savait très bien que c'était lié du fait qu'on ait perdu notre mère très tôt, ça a été le plus grand choc de notre vie.

Malgré le fait que j'étais petite je me rappelle toujours d'elle, ma héroïne qui est partie laissant derrière elle quatre petits enfants de 12, 7, 3 et 0an.

Elle nous manque toujours et énormément, je n'oublierai jamais le jour qu'elle nous a quittée.

C'est en accouchant de mon frère cadet qu'elle a perdue la vie, heureusement ça a été un 29 Février car ça n'arrive que par quatre ans sinon ça serait plus difficile pour nous n'empêche qu'on organise des récitals Coran chaque mois pour elle.

En voulant donné la vie, elle a perdu la vie. C'est pourquoi mon père avait tenu à ce que Cheikh Mbacké, mon frère cadet ne ressente jamais l'absence de notre mère.

Pas seulement Papa mais on l'a tous gâté, j'ai l'habitude de dire qu'il est venu au monde juste pour nous procuré du bonheur moi en tout cas il est mon comédien préféré, moyy souniou saraxou keur.

Après le décès il nous fallait une figure maternelle pour s'occuper et prendre soin de nous et comme miracle Tata Katy une cousine de Papa qui est la douceur incarnée avec un gros cœur.

Si ce n'était pas elle j'ignore ce qu'aurait devenu nos vies, mes frères et moi. On s'était vite familiarisé avec elle et je ne rappelle pas d'un jour qu'elle nous a maltraité à part nous éduquer comme il se doit.

On essayait de reprendre le relai de nos occupations essayant d'oublier le décès subit de maman et on arrivait parfois à ne plus pleurer grâce à Tata Kathy avec son humour sans limite et vu qu'on l'aimait 05 ans plus tard Papa s'est marié avec elle à notre plus grand bonheur mais ils n'ont pas eu la chance d'avoir d'enfants car Tata Kathy est stérile mais n'empêche qu'ils sont plus amoureux que jamais.

Avec elle j'ai appris à être plus ouverte avec les gens et une fois au collège j'avais réussie à avoir une amie Kadia, une chipie tout mon contraire je me demande même demande comment j'ai fait pour être avec elle tellement qu'elle est pleine de vie que c'est inimaginable.

Le plus fou en est qu'on s'entend hyper bien alors qu'on vit dans différents mondes mais je ne regrette pas de l'avoir connu en tout cas.

Comme que les relations amoureuses ne m'avaient jamais intéressé un jour elle avait décidé de me caser avec un de ses connaissances.

J'avoue que celà ne me tentait pas au début car je n'ai pas connu ça en plus aucun garçon ne m'a jamais abordé et c'était nouveau pour moi et que j'avais dit niete mais Kadia avec son impolitesse légendaire elle avait réussie son plan.

C'est par la suite qu'elle m'avait présenté un jeune homme de Mouhamed Sakho, quelques semaines nous nous sommes retrouvés amoureux.

Voici le résumé de la vie, d'habitude c'est moi qui dépose Sidy à l'université avant d'aller à l'entreprise vu que c'est sur la route mais aujourd'hui c'est le week-end donc j'en profite pour faire du grâce-matiné en plus je ne me sens pas bien.

Il est 09h et quelques mais je n'arrive toujours pas à me décoller du lit et j'ignore pourquoi, ça fait trois jours que je n'ai pas entendu Mouha et lorsque je l'appelle ça ne passe pas.

Il faut que je passe chez lui pour savoir ce qui ne va pas avec lui car je commence à m'inquiéter.

Après avoir pris ma douche je me suis légèrement habillée vu qu'il fait chaud, j'étais entrain de joindre Mouha quand une des bonnes est venue pour me dire que le petit déjeuner est servi.

Vraiment je n'ai pas l'esprit, ni l'appétit mais je vais cas même essayer ne voulant pas les inquiéter surtout Maman.

Une fois en bas, comme je l'imaginais je les ai trouvés tous au table entrain de m'attendre.

Cheikh: Son altesse, tu es toujours en retard à table félicitations Miss Karaba.

Moi: As-salamou Aleykoum à tous et désolée encore une fois. Ça va mon amour, dis-je en faisant du bise à Papa.

Papa: Oui Princesse ça va bien al-hamdoulillah et toi?

Moi: Comme que tu vas bien rk ça me va. Salut Maman, nka souba sii?

Tata Kathy: Prunelle santt al-hamdoulillah, bien dormie j'espère?

Moi: Non pas tellement mais bon santt yallah. Ça c'est mon homme, le meilleur des grands frère. Comment ça va mon bébé?

Clauvice: Oui Honey tu n'as pas l'air en forme, tu te confies à Docteur solution?

Moi: After je te dirai plus mon bébé

Cheikh: Au dernier nouvelle c'est moi qui étais ton bébé.

Moi: Merci d'avoir conjugué au passé et sache que tu n'auras pas d'argent de poche pour cette semaine.

Cheikh: Quoi? Que ferai-je donc pour aller pour aller l'école?

Moi: Débrouilles toi, tu es un grand garçon non? lui répondis-je en tartinant mon croissant.

Clauvice: Papa dit quelque chose, c'est pas normal ça.

Papa: Fallait y penser avant de l'a traitée de "Miss Karaba", finit-il en souriant.

Clauvice: Il pleure en plus, Sidy aurait dû voir ça, me lance t-il pour me tacquiner.

Cheikh: Mauvais grand frère toi.

Tata Kathy: Hum Cheikh, Ndack te tacquine juste elle te donnera ton argent allez mange.

Cheikh: Oui Maman tu as raison en plus elle ne peut pas vivre sans moi.

Clauvice: Papa qu'est-ce qui ne va pas aujourd'hui? Tu n'as presque pas touché à ton assiette.

Papa: C'est juste que je ne suis pas trop en forme mais tout va bien filston.

Clauvice: Si tu veux on peut aller faire du sport ensemble, ça te feras du bien.

Tata: Oui c'est une idée bonne ça.

Moi: Bon Papa je veux aller chez Kadia mais je n'ai pas l'intention de durer.

Papa: Pourquoi ne pas l'inviter pour venir passer la journée en plus ça fait un moment qu'on ne l'a pas vu.

Moi: Oui c'est vrai mais elle est un peu souffrante c'est pourquoi mais rien de grave.

Cheikh: Bon rétablissement à elle et passe lui le salut de notre part.

Moi: T'inquiètes pas mon bébé.

Cheikh: Tu as combien de bébé à la fin?

Moi: Tu recommences?

Cheikh: Je m'en vais moi, mon cours en ligne en cinématographique va bientôt démarrer, dit-il en se dirigeant vers sa chambre.

Moi: Papa est-ce que réellement Cheikh fait parti de la famille?

Papa: Quoi? Loutaxx nga waxx lolou? questionne t-il en pouffant de rire.

Moi: Il respecte tout le monde içi sauf moi, répondis-je en souriant.

Papa: Avoue que tu l'aimes comme ça.

Ce gosse est mon grand ami- ennemi il porte les deux chapeau à la fois n'empêche que je l'adore comme ça tel que l'a dit Papa.

J'ai menti à Papa en lui disant de vouloir rendre visite à Kadia mais il faut que j'aille chez Mouha pour savoir qu'est-ce qui ne va pas.

J'étais entrain de partir quand j'ai reçu un message de la part de Sidy me disant de venir le récupérer à l'université vers 13h.

On dirait que lui aussi il me prend pour son chauffeur mais bon j'y peux rien surtout lorsque tu n'as que des frères.

PDV de Inconnu-X: (14 heures plus tard)

J'étais dans la chambre avec le petit Cheikh qui dormait à point ferme.

Nous étions aux alentours de 2h du matin pris entre sommeil et subtil envie d'un désir charnel dû à ces pulsions sexuelles qui s'intensifiaient au fur et à mesure que mes pensées divaguaient dans les profondeurs d'un corps à corps charnel mais différent de ceux de deux êtres sexuellement distinctes mais plutôt attiré par une personne du même sexe.

Je fais parti de ces gens rejeté par la société du fait de mon différence à ne pas être attiré par le sexe opposé.

Les pulsions sexuelles humaines comme à l'image de celles de l'animation demeure très souvent impossible d'être où du moins peuvent ressurgir de façon à ce que l'Homme assouvi inconsciemment ses désir sans avoir une maîtrise sur sa personne.

C'est ce qui pourrait peut-être servir d'explication au viol, au lesbianisme mais aussi à l'homosexualité.

Tout comme ce soir j'avais une folle envie d'un corps à corps, de me faire sucer et d'assouvir pleinement mes désirs sur quelqu'un du même sexe mais qui pourrait m'y aide à cette heure?

Comme pour répondre à cette question, toutes mes pensées me renvoyaient au petit Cheikh c'est peut-être absurde mais je n'avais pas le choix il était le seul à pouvoir m'aider.

Sans trop y réfléchir je le tapote afin de le réveil toi.

-Cheikh...Cheikh, dis je en le tapotant.

Sans trop insister il se leva et fit passer sa main sur son visage

Moi: Réveil toi j'ai quelque chose à te dire, dis je en posant ma main droite sur ses petites fesses.

Cheikh: Qu'est ce qu'il y'a? Qu'à tu à me dire de si important pour me réveiller à cette heure ? demande t-il d'une voix à peine audible.

Sachant pas quoi lui dire, je ramène une petite histoire pour le menacer afin que je puisse obtenir ce que je veux.

Moi: Tu te souviens de l'autre jour quand ta mère demandais l'argent qu'elle avait mit sur sa table de chevet et qu'on a malheureusement "voler" avait-elle dit?

Cheikh: Oui je m'en souviens, c'était le mardi passé.

Moi: Voilà t'as une très bonne mémoire. Je sais que c'est toi qui avait pris l'argent et tu n'as pas du tout intérêt à me mentir

Cheikh: Non je te jure que c'est pas moi j'en mettrai ma main couper.

Moi: Shuut!! En plus tu mens? Tu sais que si je le dis à ta mère elle me croira automatiquement ça tu le sais pertinemment et tu n'es pas sans savoir que lorsqu'elle saura que c'est toi qui a pris son argent tu seras automatiquement punis et ton père t'aménera chez ta tante à Diourbel.

Cheikh: Non non s'il te plait pas ça. Rétorque t-il en éclatant en petits sanglots.

Moi: Shuttt Si tu ne veux pas que je le dise à ta mère donc tu suivra à la lettre ce que je te demande et tu n'as pas intérêt à refuser où à me tenir tête

Cheikh: Oui Promis je ne le dirais à personne.

Moi: Bien! Bon voilà pour commencer je veux que tu te déshabilles très vite et sache que t'as pas intérêt à broncher. Dis-je en glissant ma main dans mon pantalon pour me caresser la verge qui était déjà en érection

Il était maintenant à poils devant moi et rien qu'en contemplant ce beau tableau qui se dressait devant moi ma verge augmentait de plus en plus de volume. Je l'attira vers moi et clos aussitôt mes yeux afin de reproduire ces instants dans ma tête mais cette fois avec une personne du même âge.

Il me regardait avec des yeux "qu'est-ce qui lui arrive"? Et je sais que c'est impardonnable mais j'ai pas le choix.

Je me mis à le caresser avec l'une de mes mains tout en ayant l'autre dans mon pantalon. Je m'allonge sur le lit en l'attirant vers moi et lui demande de me sucer les tétons il me questionna du regard et s'empressa aussitôt de faire ce que je lui demande lorsque je lui lança un de ces regards noirs comme pour l'intimider.

Il se mit à me sucer les tétons involontairement en pleurs et un plaisir inouï me submergea, je fis baisser mon pantalon et me mis à me branler, il s'arrêta aussitôt lorsqu'il vit ma queue et me dit.

Cheikh: Mais tonton qu'est ce que tu fais ? Dit il en s'écartant.

Moi: Ehh tu n'as pas de question à me poser tu la ferme et tu fais ce que je te demande de faire et t'as pas intérêt à ouvrir ta putain de bouche. Me suis-je bien fait entendre ?

Moi: Oui Tonton oui! Je ferai tout ce que tu voudras.

Après ces mots je l'attire vers moi et lui demande de se pencher pour me sucer la queue.

J'avais les yeux fermés pour mieux savourer ces instants magiques même s'il avait du mal à prendre en entier ma verge dans sa petite bouche.

Je ne me génais pas d'émettre de petits râles pour faire montre de ce plaisir qui me parcourait.

Étant tout près de la jouissance je retire expressément ma queue et le demande de se retourner pour se mettre à quatre pattes choses qu'il fit en me lançant un regard qui réclamait ma clémence mais pas du tout prêt à ressentir à du pitié pour lui.

Je tapote ma queue sur ses petites fesses et rapproche lentement ma gland sur son anus pour m'apprêter à le pénétrer.

Subitement il poussa un cri ardent mais sans me soucier de lui, je forçais pour le pénétrer avec difficulté, à moment à un autre j'étais plus moi même.

Là c'est mon bonheur qui m'importait comme si ma vie en dépendait en profitant de ce moment exceptionnel de bonheur.

                                        À SUIVRE
******************************

Qui est cette personne qui profite de notre Cheikh?

Qu'en pensez-vous de cette acte ignoble?

Qu'en pensez-vous du partie?

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