oblivion

By kachalioh

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mon asphyxie, mais en vers More

february melancholic memories
air
instantanément
hot and cold
an elegy for Dark Raven
to your ocean eyes
rouge
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jekyll meeting hyde
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memento mori
instant fleuri
story of death
rose
venomous cure
poisonous sickness
sun to my moon
la pluie
i don't really have a title cauz it's fucking late
automne éteint
tu étais mon nuage
holding up on the past
nuit
ethanol
poisoned nighttime
les papillons de la jetée
morne
chronos
un hiver passé
lepidoptera
angoisse tardive
débris de conscience
flowery flame
dialogue entre moi et moi
chrysanthèmes
fugace
némésis
cette nuit là
aquarelle
fleur du mal
alcool anesthésie
falaise
nuit une
fleur de famine
citrouille
dernier jour
zéphyr
triste Paris
convulsion
Renaissance
sirène
- a poem i'll burn
pluviôse
ekphrasis
bohême insouciance
paradis perdu
métamorphose

standing together

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By kachalioh

pour ce cher corps qui devant mes yeux me complexe,
pour ce cher esprit que je juge trop complexe

à moi, ma chère tête,
à toi, cher faible corps,
à moi, mon cœur en miettes,
à toi, parole d'or,

et sanglotant, je te remercie d'exister
même si je peine encore à te regarder,
alors, merci beaucoup d'être resté solide,
d'avoir résisté à ce voyage sordide,

merci d'avoir épongé le très rouge sang
dansant dans le vent, goutte à goutte s'embrassant,
qui tourbillonnent dans un flou d'émotions,
entre sage raison et insolent poison,

merci, épaules de porter ma lourde tête,
de supporter sous mon torse, mon cœur en miettes
et surtout d'avoir recousu mes cicatrices,
et de m'avoir sortie la tête de l'abysse

ô que j'adorerais t'accepter et t'aimer,
avec l'esprit amer, un jour je te promet,
et bien que le long chemin soit encore loin,
que dans la sombre joie, nous ne feront plus qu'un,

et mes phalanges s'abattant contre le mur,
voyant progressivement s'effriter l'armure,
avec des cauchemars limpides dans les yeux,
ce n'est que dans le noir que je lui dis adieu,

cerveau évanouit, je te souffle merci
d'avoir enduré ce masque quand je souris,
et bien que souvent ma tête soit abimée,
pour qu'enfin demain je décide d'exister.

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