Les maladies/troubles psychologiques

Cherophobia

Voici à la demande d'un lecteur un chapitre du la cherophobia. N'hésitez pas à me dire les syndrome, les maladies ou les peurs qui vous intéresse ;)

Bonne lecture
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Cherophobia:

Aussi appelé : « peur du bonheur ». C'est une attitude négative à l'égard du bonheur, une espèce d'aversion. Les gens souffrant de cherophobia peuvent éviter volontairement toutes expériences qui font appel à des émotions positifs, ou au bonheurs.

Quelle est la raison de cette aversion ?:

La raison de cette aversion provient d'une idée simple : lorsqu'un événement heureux survient alors un événement tragique survient après.

Cette croyance est particulièrement répandu dans les cultures non occidentales. Contrairement en Occident où le désir de maximiser est pratiquement omniprésente.

C'est plus une différence de culture et d'opinion qu'un réel trouble psychologique. (A mon avis)

Les facteurs culturels :

Les 4 croyances principales qui causent cette aversion sont :

-croire que le bonheur va provoquer le malheur.
-que le bonheur va faire de vous une personne pire.
-que le fait d'exprimer votre bonheur est mauvais pour vous et les autres.
-la poursuite du bonheur est mauvais pour vous et les autres.

Comme le dit l'article, ces résultats remettent en questions l'idée que le bonheur est le but ultime.

Facteur éducatif :

Il est probable que l'environnement dans lequel grandit l'enfant affecte sa vision du bonheur et de son importance. L'enfant prend comme référence le caractère de ses parents et de ses proches ainsi que leur degré d'épanouissement (rire, sourire, mimiques montrant de la gaieté etc)

Ainsi, un enfant ayant grandi parmi des individus peu expressifs, peu joyeux, et peu joueurs, pourrait avoir tendance à ne pas reconnaître l'expression du bonheur et, devenant adulte, rencontrer des difficultés à s'intégrer aux jeux de ses semblables ou à apprécier des environnements festifs.

Si l'enfant est brimé et réprimandé excessivement, celui-ci peut également développer une cherophobi. En effet, en grandissant l'enfant intègre le concept d'interdit (qui n'est pas toujours justifié) et qui l'empêche parfois d'avoir une réaction normal envers les évènement du quotidien.

Ainsi, un enfant ayant grandi dans un milieu familial sévère imposant une très forte discipline de travail, et peu - voire aucun - loisir, pourrait faire face, une fois adulte ou autonome, à certaines difficultés pour relâcher son attention et se faire plaisir, autrement dit à s'accorder du bonheur. Dans ce cas, l'individu se sentirait constamment "non légitime à être heureux", le bonheur étant synonyme de relâchement et donc de déviation du travail à accomplir.

Il devra donc réapprendre le bonheurs.

Lien de l'article : (j'arrive pas à copier coller dsl mais source Wikipedia)
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Le chapitre est finit !

412 mots, posté 23/12/20

Bonne soirée/journée