Tahys : « Non rien, juste je sais que je vais te manquer. »

- rire Bah t'as pas tord .

Tahys : « T'inquiète pas .»

Je lui met quelque coup de parfum et ajuste sa cravate .

- Voilà t'es prêt.

Tahys : « Bah Putains le gars sur le miroir là-bas il est beau hein .»

- Mais de qui tu parle ?

Je me retourne et vois son reflet sur le miroir entrain de sourire.

Tahys : « allez avoue que ton mari c'est un beau gosse.»

- Mon mari c'est un beau gosse rire et maintenant tu va être en retard et puis ton café il a refroidit.

Tahys : « C'est pas grave je vais prendre un autre au boulot mais il manque un truc tu as oublié et je peux pas partir sans ça. »

- Quoi ça ?

Tahys : « Tes lèvres contre les miennes .»

Je sourit et me rapproche de lui avant de l'embrasser .

- Ça va maintenant ?

Tahys :« Oui Ça va , allez à ce soir je ...t'ai....-»

-.....

Tahys :« Passe une bonne journée .»

- Toi aussi sourire Mon coeur.

Je prend son sac et descend l'accompagner puis je ferme la porte dès l'instant où je ferme les yeux juste le temps de souffler à cet instant précis je vois Haïkal arrêté avec un couteau entrain de sourire .

Je sursaute j'ai cru halluciner mais non il est bien là .

Haïkal : «Comment on se retrouve dit moi rire. »

- Qu'est-ce....que ...que tu ...tu fais là ? Comment t'as fait pour rentrer ?

Il s'approche de moi mais je recule en accrochant ma main sur la poignet de la porte.

Haïkal :« J'ai pris la double clé Safiyya tu ne peux ni me fermer là dedans ni faire quoi que ça soit juste tu ferme ta gueule et tu t'approche. »

- ......

Haïkal :« APPROCHE JE TE DIS LA VIE DE MA MÈRE JE BLAGUE PAS en me pointant le couteau. Je veux pas te faire du mal .»

Il me tire le bras violemment et me rapproche de lui en mettant ma tête sur son torse .

- qu'est-ce que tu me veux encore ? Pourquoi tu me laisse pas ?

Haïkal :« Te laisser ? Tant que je t'ai pas entièrement je vais jamais te laisser en plus de ça tu m'as manqué en me reniflant. »

- Lâche Moi .

Haïkal :« Chuuuut t'as voulu me fuir ? »

Il met le couteau sur ma poitrine et le fait descendre lentement en déchirant ma chemise.

- Non non non .

Je me retire de lui brutalement et me recule .

- Je veux rien avoir avec toi tu me dégoûte.

« 𝐀̀ 𝗡𝗼̂𝘁𝗿𝗲 𝗛𝗶𝘀𝘁𝗼𝗶𝗿𝗲 »Où les histoires vivent. Découvrez maintenant