Sur l'oreiller de l'ombre de la mort,
Je laisse verser mes larmes à tort.
Ma voix déraillée en criant à Dieu,
Avec l'espoir d'être écouter des cieux.
Tic Tac..., plus rien à faire dans cette vie !
La maison du silence, sans avis,
Veut envoyer mon souffle en asile,
Pour servir à quelque chose d'utile.
Avant de plonger dans cette affaire,
À genou, dans mon ultime prière,
Je crie à Dieu comme un enfant perdu,
Le demandant s'il ne m'a pas entendu ;
Ma foi tant affamée de sa présence,
Face aux persécutions sans défense ;
De là, tu m'as fait ta grande promesse,
Que tu me combleras de tes richesses,
Vue la grandeur de ma fidélité.
Depuis lors, j'ai su cette vérité,
Que Dieu agit toujours avec justice,
Alors, mieux vaut aller loin de vos vices !
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God Poems
Spiritual2 Samuel 22 : 29 Oui, tu es ma lumière, ô Eternel ! l'Éternel éclaire mes ténèbres. Venez éclairer vos ténèbres ! Ici le ciel vous est ouvert. Mr Cius
