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« Le cœur qui brûle, sentiments glacés. »
Jusqu'au dernier grammes - PNL

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Samedi - 13:08

J'étais adossé sur ma voiture regardant l'heure sur ma rolex. Elle était sensé sortir il y a vingt minutes, j'ai soupiré puis j'ai entendu des talons claqué sur le beton. J'ai levé la tête et elle était entrain d'avancer devant moi.

Elle a dit au revoir à ses copines qui n'osait pas m'approcher puis elle est venu me faire la bise

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Elle a dit au revoir à ses copines qui n'osait pas m'approcher puis elle est venu me faire la bise.

Moi : T'es belle.

Namiraa _ sourit : Merci Braham.

J'ai embrassé sa tempe puis nous sommes rentrés dans la voiture.

Namiraa : Alors c'est quoi le projet d'aujourd'hui ?

Moi : Musée du louvre ?

Elle a sourit, elle aimait beaucoup les sorties productives comme celle la. Nous sommes vite arrivé au musée, on a prit notre temps pour faire le tour.. J'aimais les sorties comme ça avec elle. C'était apaisant, reposant.. Ça me faisait du bien.

16:05

Nous étions sur un banc, devant la Tour Eiffel entrain de manger une gaufre. Elle avait la tête sur mon épaule, j'étais bien là.

Moi : Nam' ?

Namiraa : Hm?

Moi : Imagine _ gêné genre imagine yemma t'aurai pas adopter zehma t'aurai juste été une amie de la famille.. Ça aurait été mieux non?

Namiraa : C'est-a-dire ?

Moi : Bah.. Par rapport à no-

..._ cris : Deux euros la rose! Deux euros !

On a attendu qu'il passe et j'ai soupiré, je penses que j'ai été épargné de me prendre un recale.. Enfin, je voulais juste savoir est-ce que si ma mère ne l'avait pas adopter entre elle et moi, y'aurai eu possibilité quoi.

Namiraa _ sourit : Tu disais ?

Moi : Ah, hm j'ai oublié.

Elle a rit en levant les yeux au ciel puis a reposé sa sur mon épaule.

Namiraa : Tu sais, c'est vrai qu'Amel et Karim m'ont adopté mais je me suis jamais senti comme leurs filles enfin.. Je les ai toujours appelé par leurs prénoms, jamais papa, maman. Ils seront a jamais dans mon coeur et je les aimes plus que tout mais ils m'ont pas donné cette éducation la.. Ils m'ont fait me sentir bien, chez moi mais jamais comme leurs fille.

C'est vrai que mes parents ont toujours eu un comportement différent avec elle. Ils l'ont élevé comme une amie de la famille et pas comme ma sœur.. Sauf qu'aux yeux de l'état c'est ma soeur.. Et si jamais je tentes quelques choses avec elle.. Bref. Ça sera mal.

Moi : On bouge ? Il commence à faire froid.

J'ai préféré changer de sujet par peur d'en dire trop, de me dévoiler trop vite. On s'est dirigé vite vers la voiture, j'ai démarré et mis le chauffage puis nous sommes rentrés. Le chemin s'est fait rapidement et silencieusement, ce n'était pas un silence gênant, loin de la, c'était apaisant.

Quand on est descendu de la voiture je me suis arrêté devant la porte pour prendre le courrier pendant que Namiraa s'est dirigé vers la porte. Au moment où j'ai fermé la boîte au lettre je l'ai vue sursauté en regardant droit devant elle. Je suis allez la rejoindre et j'ai vu Hassan.

Hassan, mon demi-frère coté daron. 1) je l'aime pas car il a faire la misère à baba. 2) Je l'aime pas car il tourne trop autour de Namiraa et 3) je l'aime pas car c'est un gros fils de pute.. Et je pèses mes mots.

Moi : Comment t'es rentré?

Hassan _ montre une clé : Grâce au double.

Namiraa était resté devant la porte d'entrée qu'elle venait juste de fermer, elle semblait avoir peur de lui et ça m'énervait qu'il lui fasse ressentir ça. J'ai regardé Hassan qui était assis sur la table, nous regardant avec un petit sourire.

Moi _ arque un sourcil : Je t'invites à sortir d'ici.

Hassan : Et pourquoi donc ? _ regarde Namiraa Tu me laisses pas profiter ?

Moi : Tu vas pas recommencer? Si?

Hassan : Et pourquoi pas ? Toi tu te rinces l'œil toute la journée sur cette kehba, pourquoi pas moi?

Ça a été dur de faire comme si le fait qu'il l'appelle comme ca me fasse rien. Je dois vraiment penser à changer les serrures, j'ai soupiré et j'ai regardé Namiraa qui a de suite compris. Elle a ôté ses talons puis s'est dirigé vers les escaliers pour allez dans sa chambre.

Hassan n'a pas pu s'empêcher de lui mettre une main au fesse mais a peine sa main sur son cul j'étais déjà entrain de lui mettre des poings dans la gueule, je ne me contrôlais plus.

Namiraa _ cris : Arrête Braham! Arrête !

J'arrivais pas à m'arrêter, je le sentais de plus en plus faible, ma main devenait de plus en plus rempli de son sang et son nez de plus en plus mou et j-

Namiraa _ hurle : Braham, stop tu vas le tuer !

Je me suis stopper directement, Namiraa qui hurle, qui cris, moi, les mains en sang ça m'a fait remonter des mauvais souvenir. Je me suis redresser rapidement et j'ai dis à Hassan de partir, je me tirais les cheveux anxieusement, j'allais le tuer.

Moi _ voix qui tremble : Je supportes pas quand on te touche, je deviens incontrôlable.. Ça me rend fou. Personne a le droit. _ voix rauque Personne.

22:37

Elle avait essayé de me calmer pendant une heure et avait réussi seulement il y a vingt minutes quand elle s'est endormi. Elle avait les bandages et avait nettoyer le sol pendant que je me lavais, nous étions dans mon lit.

Sa respiration lourde et lente m'apaisait plus que ses mots, j'ai soupiré et fermer les yeux. Demain est un autre jour.

BRAHAMOù les histoires vivent. Découvrez maintenant