Chapitre 17

Depuis le début
                                    

— L'unique espoir de le sauver de cette maladie, c'est de retrouver ces vrais parents et je ne pourrais pas supporter de le perdre ,et  s'ils venaient à vouloir le récupérer.

— Ce qui compte c'est de le voir vivre, tout ce qui suit est sans importance. Il nous faut retourner à l'orphelinat Sainte Marie Ruiz et voir si on peut trouver quelque chose.

— On ne trouvera rien. On a rien laissé sur lui lorsqu'il a été abandonné. Il nous faut faire nos propres investigations et par chance nous les retrouverons peut être.

— Il va mieux pour l'instant. Tu sais ce qu'on , déménageons de cet appartement et offrons à notre fils un cadre de vie auquel il est habitué. Une très grande maison , avec une piscine et un jardin. Et si le quartier choisi est sécurisé , il  se fera peut être des nouveaux amis. Qu'est ce que t'en penses ?

— Oui , mais avec ce qui nous attend au tribunal je ne pense pas qu'on aura le temps  de prévoir quoique se soit , surtout en ce qui me concerne.

Avec tout ce qui se passe , j'ai même oublié qu'on avait reçu une convocation. Et le procès aura lieu vendredi prochain. Et je ne vois pas en quoi je suis mêlé à tout ça.

Dalanda

Je me suis réveillée étourdie sur un lit, et j'ai eu tellement de mal à ouvrir les yeux. Ma tête me faisait atrocement mal. Il a suffit que je bouge , pour à nouveau ressentir cette douleur qui m'empêchait de penser. Avec un petit peu d'effort j'ai réussi à jeter un oeil sur l'endroit où je me trouvais. On m'avait mit une perfusion et ma tête était bandé.

J'étais dans une chambre d'hôpital et ma mère s'était endormie juste à côté de moi. Et à voir ces cernes , j'ignore combien de temps elle est restée éveiller ou bien combien de temps je suis resté inconsciente.

Tout était flou dans ma tête. J'essayais de me souvenir de ce qui a pu me mettre dans cet état.

Je m'en suis souvenu après une bonne dizaine de minutes. J'étais dans une chambre avec Aziz qui s'est montré violent et intransigeant à mon  égard.

Aziz s'est permit de lever la main sur moi. C'est qu'un pauvre type et il me le payera. J'ai pas dis mon dernier mot surtout en ce qui concerne mes plans de vengeance. J'ai plus de raisons de les détruire tous autant qu'ils sont.

J'allais m'allonger , quand mon père entrait dans la pièce accompagné d'un médecin.

— Dalanda, je remercie le ciel , tu vas bien ?

Le médecin s'est mis à prendre ma température et voir si j'avais mal quelques part.

Mon père s'est empressé de me prendre la main pour vérifier que je vais bien. S'en est suivi toute une série de questions auxquelles je n'avais pas envie d'y répondre. Et avec tout le bruit que ça a fait ma mère s'est réveillé.

— Dalanda qui t'a mise dans cet état ? C'est ce salaud ?

— Oui , c'est bien lui.

— Comment a il osé s'en prendre à ma fille ? Je vais le tuer de mes propres mains, et j'irai en prison s'il le faut.

— Du calme papa . On s'en maintien au plan , j'y suis presque.

— Dalanda mais ça va pas la tête ? Un jour , il te pousse alors imagine ce qu'il te fera demain. S'en ai fini de tout ça. Je veux que tu rentres à la maison. On va les affronter directement , et j'ai assez de preuves pour les faire mettre en prison finit de s'énerver mon père en haussant la voie et oubliant que j'étais toujours pas rétabli.

— Papa , ces preuves ne sont pas assez pour les coincés. On dirait que tu ne connais pas Aziz et Kader. Ils sont capables du pire, chercher à t'éliminer et irons même jusqu'à acheter le juge. Je veux des preuves transparentes et j'ai un moyen d'y accéder. J'ai déjà mis quelques points en marche. Et le jour où je sortirez de cet hôpital marquera de leur basculement vers les enfers. Essaie de me comprendre , je peux pas retourner en arrière après tout ce chemin. Je veux rendre justice et laver ton honneur.

Scène de CrimeOù les histoires vivent. Découvrez maintenant