Un champ d'amertume
S'étend à l'orée de ma pitié.
Cet élan d'idées posthume
N'enchante que l'imbécillité.Étroitesse de l'esprit,
D'avares et des fiers,
Comme la politique et ses parties,
L'air est perfide et pourri.Aux têtes géantes éprient d'un univers
De paroles en l'air.
Honte de l'homme vulgaire
Ne sachant discuter,
Frappe un handicapé
Et le laisse à terre
Sans se retourner.Ce n'est pas une longue Mèche
Qui s'alluma mais une bien Courte,
Comme doivent être les pensées
De ces conseillés, toutes aussi courtes.
Emballés dans la déroute
De leur propre iniquité.Souvent, la bise souffla cette folie
D'un loup cerner par cette patrie
De moutons vils et bien trop amis.
Même la belle justice évite
Ce village triste et sali.Pleine de remords de mes ressentis.
Cette pitié-là n'est pas votre amie.4 juin 2o2o
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Premier Essai D'arranger Les Mots
PoetryRecueil de poèmes ? En éternelle mouvance... Je m'essaye à vous faire ressentir... De simples souvenirs ? Les mots au fond d'une âme, Des larmes de joie Aux armes de peine, D'une jeune femme. Les émotions déversées Sur un bout de papier, m...