Chapitre 22 :

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Pdv Alex

Elina à disparu et j'essaie de trouver où elle aurait pu aller, j'aimerai aussi la retrouver seul.
Soudain j'eu une illumination.

Pdv Elina

Je me dirige vers un petit lac, j'ai d'abord eu envie de m'y baigner puis j'eu envie de m'y noigner, pour oublier, pour ne plus penser, pour partir loin de mes problème certes Alex avait besoin de moi et moi de lui mais ne veut-il pas que je sois heureuse ?
Il faisait froid c'était la nuit, j'était seule dehors, j'étais pas rassuré.
Je commençais à trembler quand je pris la décision... D'en finir.
Tout ces souvenirs hante mes pensées et ce tout les ans pour mon anniversaire, je ne peux plus continué de vivre cela même si je suis heureuse auprès de Alex le reste des jours de l'année.
Je mettais un pied dans l'eau quand j'entendis une voix.

La voix : Elina !!!

La voix en question s'approchait de plus en plus et m'était extrêment familière, Alex.

Alex : M'a chérie j'était sur que t'étais là... Mais... Qu'est ce que tu fais ?

Moi : Moi ?! Je... Rien...

Je ne voulais pas qu'il sache que je comptais en finir

Alex : Tu allais te suicidé !!

Moi : Non je...

Il me coupa la parole.

Alex : Mais enfin qu'est-ce qui va pas, parle moi, Il hésita un instant, est-ce que c'est parce que tu ne veux pas passer l'éternité avec moi ?

Moi : Bien sur que non !! Tu es mon tout, mon amour, ma vie entière, je tiens à toi plus qu'à ma propre vie.

Alex : J'ai vu ça oui, il échappa un petit rire forcé, alors parle qu'est-ce qui t'arrive ?

Je m'assoie sur un banc suivis de Alex qui fit pareille.

Moi : Je n'ai pas été placé à l'orphelina pour abandons ou accident de voiture comme la plupart des orphelins.
J'ai vécu un drame, j'avais 7 ans j'ai été élevé comme la plupart des enfant et à ce moment là j'était seule avec mon père parce que ma mère travaillait je suis allé me couché et mon père lui regardais la télé comme tout les soir dans le salon.
Quand soudain la porte à claqué et...

Un larme coula le long de ma joue je n'avais jamais raconté ça en détail.

Moi : Et j'ai entendu un... Un coup de feu j'ai entendu mon père hurler de douleurs. J'ai senti que je courais un grave danger et je me suis caché sous une armoire.
J'ai entendu toute les portes de notre couloir s'ouvrir.
J'étais terrifié. Je n'entendais que les pas de l'homme et ma respiration. Je me souviens de ces sons comme si j'étais entrain de le vivre.
Quand l'homme est entré dans ma chambre, j'ai coupé ma respiration et je n'ai pas bougé d'un poils, je n'avais que 7 ans mais je n'étais pas bête.
L'homme à fini par partir de ma chambre puis de la maison.
J'ai attendue quelque instant en essayant de réaliser ce qui venait de se passer.
Ensuite je me suis dépêché d'aller voir mon père.
Je l'ai vu, là, smdi sang sur la poitrine.
Je me suis mis à côté de lui pour essayer de savoir si il respirait.
J'ai fondu en larmes des que j'ai compris que c'était fini.
Il avait les yeux ouvert alors je les ai observé quelque instant, toujours en pleurant avant de les fermer.
Je suis levé quand j'ai compris qu'il fallait réagir et j'ai appelé la police, je connaissais ce numéro grâce à la maîtresse qui nous l'avais dit un jour.
J'ai attendu qu'ils arrivent à serrant mon père contre moi, pleurant à chaude larmes.
Quand la police est arrivé, il ont prévenu ma mère avant de venir me voir pour parler.
Ils m'ont éloigné de mon père.
J'ai essuyé mes larmes avec mon bras ensanglanté avant de répondre aux questions de la policière.
Une femme, blonde aux yeux vert, elle était magnifique et m'inspirait confiance.
Je lui ai tout rencontré, tout, et en détail.
C' était la seule et unique fois que je l'ai raconté jusqu'à aujourd'hui, pas même à ma mère.
Elle était arrivé deux heures plus tard, j'avais eu le temps de me laver et de changer d'habits, quand elle est arrivé je n'avais pas parlé depuis au moins 1h30, enfermé dans le commissariat de police, à fixé la feuille d'un arbre qui n'arrêtait pas de bouger à cause du vent.
J'était presque sans vie, un cadavre qui respirait.
Je n'ai même pas réagis quand ma mère est arrivé.
Je fixait toujours la feuille quand j'ai senti les larmes de ma mère sur mon épaule.
Je ne pleurais pas, je ne souriais pas, je ne parlais pas.
Et ça a duré pendant deux semaines.
Puis petit à petit j'arrivais à rire, parlé, sourire.
M'a mère et moi allions voir un psychologue. Ma mère, elle ne s'en remettait pas.
Une enquête à été créée , la police avait des suspects et c'est moi qui est aidé à faire enfermé ce connard en prison car j'avais réussi à voir la taille de pied qu'il faisait lorsqu'il était dans ma chambre.
Les années on passe et j'avais 13 ans et ça allait toujours mal avec ma mère, elle avait été renvoyé et elle buvait.
J'ai essayé de l'aider mais c'était trop tard.
Un mois après mon 14 ème anniversaire, je suis rentré de mon collège à pied et quand je suis entré dans le salon j'ai vu... J'ai vu...

J'ai vraiment du mal à le dire.

Moi : J'ai trouvé ma mère morte, elle s'était suicidé avec des médicaments.
J'ai appelé la police.
J'ai attendu qu'il viennent auprès de ma mère.
Je la regardais attentivement, c'était une très belle femme.
Elle avait de beau yeux marron et des cheveux d'un blond magnifique.
Quand la police est arrivé j'eu la grande surprise de retrouver la belle dame blonde aux yeux verts.
Elle m'a confié que j'était la jeune fille la plus courageuse et la plus forte qu'elle connaisse.
J'était heureuse de l'avoir revu.
Le lendemain j'était partie à l'orphelinat.
Et plus d'un an après je suis arrivé chez vous...

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Voilà le 22ème chapitre, plutôt triste... Hein ? J'espère qu'il vous aura plu.
À bientôt je l'espère pour un nouveau chapitre 😘







Un frère, une sœurWhere stories live. Discover now