Strange Realities

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Cette histoire est centré sur Midoriya Izuku, qui pense être anormal, pas à cause de son manque d'Alter, mais aux choses que seul lui voix et entend.

Attention : harcèlement, pensées noirs, coups et blessures.

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Dans un monde idéal, les gens ne devraient pas souffre.

Dans un monde idéal personne n'aurait à faire des choses désespérées pour satisfaire leurs besoins.

Dans un monde idéal, les hommes seraient purgé de la cruauté.

Dans un monde idéal les héros n'existeraient pas parce que la nature humaine se serait améliorer.

C'était dans ce monde idéal que Midoriya Izuku voulait évoluer.

Dans un monde où son père rentreras tous les soir à l'heure du dîner, qui serait déjà préparé par sa mère. Dans un monde où il aurait un alter efficace et deviendrait un héro. Un monde où il n’aurait pas perdu l'affection de son ami d'enfance. Dans un monde, où il aurait eu un alter.

Mais ce monde n'existe pas et il n'existera jamais.

Sa vie n'était pas misérable, il avait un appartement ou dormir et une mère qui s'occupait de lui du mieux qu'elle pouvamit, mais sa vie aurait pu être meilleur. Il savait qu'au fond de lui il lui manquait quelque chose. Ce n'était pas un alter, il en était sur.

Cependant le moment était mal choisi pour rêvasser alors qu’il se faisait acculer par des collégiens plus grands que lui dans l'endroit le moins fréquenter de son collège.

Son corps tremblait légèrement sous leur regards condescendants. Des regards aux promesses de blessures psychologiques et corporelles. Ne pas voir est l'un des moyens de ne pas être affectée par la peur, alors lorsque ses yeux se concentrèrent sur le sol, il n'y voyait aucun problème à montrer sa soumission à ses abrutis rempli de complexe de supériorité. Un moyen comme un autre d'aider les gens.

Même pour Izuku, ça sonnait faux.

Il venait à peine de rentrer au collège et le voilà en position de victime devant trois garçons faisait deux têtes de plus que lui. Juste à la vue de se qui allait se passer, la fatigue lui tomba dessus telle la météorite qui élimina les dinosaures. La fatigue de devoir rentrer chez lui avec de nouvelles blessures et bleues à soigner, cacher, et trouver des excuses. Cette fatigue qui est devenu son quotidien depuis, il y a même pas un an que la douleur, la peur et l'humiliation sont devenus plus que familière.

‘’Les hommes ne sont pas égaux.’’. Il le savait très bien, il vivait cette ‘égalité’ tout les jours.

Miraculeusement, il n'y a pas eut de sang versé. Une fois chez lui, il fut accueilli par le silence typique, signifiant que sa mère finirait tard, encore. Izuku secoua la tête, puis se débarrasse de ses chaussures. Ce genre de pensée devait être enfermée tout au fond de son esprit comme les mauvais rêves.

Ces rêves qui le hantait depuis ses cinq ans. Se tapotant les joues, le garçon se lève et part dans sa chambre, ignorant les ombres qui bougeaient à la limite de son champ de vision. Comme dirait n'importe quel adulte '’ On fait avec''. Un des credo qui lui permettait de rester calme face à des situations terrifiantes, tout comme la tentacules d’ombre qui s’enroulait tranquillement autour de sa cheville gauche alors qu'il essayait de vider son esprit pour chasser les paroles de ce défunt roi-démon, qui lui donnait un mal de tête atroce.

Personne ne pouvait se mettre entre lui et son éducation, pas même les cauchemars qui le hantent qu'il soit éveiller ou non. Il fallait qu'il travaille pour aller au lycée héroïque de son choix.

Rêveur des réalités, ce rêve pourrait te causer plus de peine que de joie.

Une voix douce s’était invité dans sa tête. Cette voix avait beau être douce on pouvait sentir sa puissance dans chacuns des sons qui se répercuter dans le crâne de Izuku. C'était la goutte. Izuku Midoriya était devenu fou, parce qu'il avait une voix dans sa tête. Si quelqu’un l'apprenait, on le forcerait à prendre des pilules le rendant aussi efficace qu'un légume ou pire le forcer dans l'hôpital psychiatrique.

Ton cœur s'affole Rêveur des réalités.

Effectivement. Tout comme sa respiration. D’après tous les livres qu'il est lu sur la médecine, il faisait une crises de  panique. Fantastique.

Ses jambes se rapprochent automatique de son torse, ses bras trouvent leurs place légitime complétant la position de ça-va-pas-du-tout-du-tout.

Son coffre commençait à craquer sous la pression de son angoisse surplomber par sa peur. Il devait absolument se calmer. Il n'était pas près à affronter ces réalités. Ses yeux verts émeraudes se ferment, plongeant son monde sans le noir absolu. Il pouvait sentir son cœur battre à toute allure.

Respire, Rêveur des réalités. Essentiels sont les choses quotidiennes.

Elle avait raison. Une inspiration de de 5 secondes et une expiration de 10. Il y eut un bon nombre de répétitions avant que tout redevienne à la normale, c'est-à-dire voir les ombres gigotées ou des choses qui échappe à autrui.

Cette voix, qu'est qu'elle a voulu dire par « ce rêve causera plus de peine que de joie » ? Il savait qu'il était inutile- on le lui répétait tous les jours-, mais être un héro c'était une manière que lui aussi il pouvait accomplir des miracles pour faire sourire les gens qui en avait besoin. Il voulait que sa mère soit fière de lui, et qu'elle est foi en lui.

Des larmes tombaient sur ces mains fermées en point sur ses genoux. La vie est injuste. Pourquoi ne pouvait-il pas être comme les autres ?

L'eau sortant de tes yeux semblent remplis d'amertume. Pourquoi te comparé aux autres créatures ? Une perte d'énergie, petit prince.

Cette voix était sans doute le fruit de son imagination, c'était obligé. Sauf qu'elle n'était gentille, ni méchante. Neutre. Elle était neutre, elle voyait les choses d'une manière différente. Ce n'était pas ses insécurités qui parlaient, ni ses peurs… c'était autres choses se n'était pas une partie de lui. Peut-être était-ce une personne utilisant son alter sur lui ?

Mon existence n'est plus sur se plan, sur cette réalité. Nos perceptions ne sont pas les mêmes. Notre essence est similaire, Rêveur des réalités, car nôtre origine est la même.

Izuku était confus.  La compréhension était essentiels pour l'esprit, car si on comprenait, la peur ne pouvait que submergé la raison. Mais là, Izuku ne comprenait pas. Il savait qu'un être lui parlait dans sa tête. Il savait maintenant qu'il n'était pas entièrement fou, et il savait que cette créature, qu'il ne pouvait ni voir, ni toucher n'était pas le fruit de son imagination. Mais il ne comprenait pas, pourquoi au fond de lui il savait cette voix était réelle, que tous qui a été transmis était vrai.

Recroquevillé sur lui-même, impuissant et seul contre les choses qui se manifestaient dans sa vie, Izuku Midoriya adolescent de 12 ans, s'endormit en pleurant.

Extrait d'histoires probablement à publierWhere stories live. Discover now