Trop jeune pour vivre [ TOME 1 ] ( Terminé )

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Mardi 29 mai : jour 1 en Chine.

10h30 :

Pékin  une ville vraiment merveilleuse !

24h que nous sommes ici, et je respire enfin le vrai air, et pas celui pollué de Paris.

Aujourd'hui, avec les deux collaborateurs chinois, nous devons visiter la grande muraille de Chine.

Pour eux, nous ne pouvons pas construire ici, si nous ne connaissons pas les bases.

La grande muraille est un ensemble de fortification militaire chinoise ayant servit pour défendre la frontière nord de la Chine.

Elle fait plus de 21,19618 millions de mètres, c'est énorme !

Nick disait hier qu'il allait parcourir cette dernière en 1 jour.

Qu'il deviendrait célèbre, et que toutes les femmes seraient à ses pieds.

Je ne veux pas briser les rêves de mon frère, alors sur ce coup, je n'ai rien dit.

J'ai hâte d'être sur la muraille et constater qu'il n'arrive plus à avancer !

Ça serait tellement drôle à voir.

" Reagan ? Qu'est-ce que tu fais ?! On va être en retard pour accomplir mon destin ! " S'écrit Nick, imitant superman.

Donovan se retient de rire.

Lui non plus ne veut pas briser cette folie.

Nous nous regardons, les yeux qui pétillent.

C'est bizarre, mais j'ai l'impression de découvrir un autre Donovan.

Pourtant j'ai vécue avec lui pendant quelques jours et il n'a jamais été aussi heureux qu'ici.

Nick et lui s'entendent très bien, même beaucoup trop.

Hier soir, je les ai trouvés dans la piscine de l'hôtel à faire des plongeons plus farfelus les uns que les autres, il devait être 23h et à cette heure-ci l'hôtel est presque vide.

" Oui, je comptais venir ne t'en fais pas. "

" J'espère que tu es en formes ! Parce que moi je le suis et je compte bien devancé tout le monde ! " Répond t-il sûr de lui.

" Tu sais qu'elle est vraiment, mais vraiment très longue ? Tu ne tiendrais pas plus d'une heure. Surtout qu'il à l'air de faire bien chaud aujourd'hui. " Rétorque Donovan.

Je me lève en me raclant la gorge.

Lorsque je passe devant Donovan, l'odeur de ce dernier enivre mes narines.

Il caresse mes cheveux pendant quelques secondes avant que je ne m'éloigne de lui.

Ce geste pourtant banal me déstabilise.