LES COULEURS DE L'AMOUR

AMIS ENNEMIS

Je regarde de qui me vient la photo. Un numéro inconnu, sûrement Matthieu. J'ai hâte de voir la photo. Je clique sur la messagerie et j'éclate de rire. Je montre la photo a Cassidy qui éclate aussitôt de rire. Nous rions a gorge déployée devant l'air ridicule de Matthieu dans son caustume.
Je lui écris aussitôt"tu es trop mignon dans ton caustume. Tu devrais le porté plus souvent" je me moque.

Il répond dans la minute qui suit"Aah très drôle. Maintenant j'espère que tu n'es plus fâché."

Je sourie et lui répond"non je ne le suis plus du tout."

Il me répond rapidement" heureusement ! Bon je dois y aller. A plus tard sorcière"

Je lui réponds simplement" A ça non alors, je refuse ce surnom trouve en un autre"

"Pourquoi pourtant ça te va si bien. Ma petite sorcière."

Je souris de toutes mes dents et lève les yeux au ciel. " Tu vraiment désespérant emmerdeur"

"Ah ah ah bon choix" je souris toujours autant et lui envoie.

" Au-revoir mon cher emmerdeur."

" Au-revoir ma jolie sorcière." Je souris flatté avant de glousser. Je lève ensuite les yeux vers ma Cassidy. Elle me regardait un sourire coquin scotché au lèvre.

- Quoi pourquoi tu me regarde comme ça ? Demandais-je toute souriante.

- Avec ta tête d'amoureuse tu vas encore me dire qu'il y a rien entre vous. Laisse moi rire. Je lève les yeux au ciel et je soupire bruyamment exaspéré par son comportement. Je ne réponds rien. Elle continue de me fixer puis elle éclate de rire. Quand des tapotements se font entendre derrière la porte.

- oui qui est-ce ?

- c'est moi Dolores, votre père vient d'appeler pour me demander de vous informer que votre mère reviens demain de son voyage.
Je déglutit.
Ma mère et moi n'entrettenons pas de bonne relation.

- vous en êtes sûr Dolores. Osais-je demander espérant que ce n'était qu'une blague.

- Oui mademoiselle, elle revient demain. Je sent ma bonne humeur partir.

- merci Dolores. Dis-je triste. Ma mère, nous avait fait énormément de mal dans le passé, moi personnellement je ne lui pardonnerais jamais. Je vous esplique : Il a huit ans de cela elle avait trompé mon père avec son collègue. Elle nous avait abandonné sept longue année. Mon père n'arrivait pas à s'en remettre et... Il est tombé dans une énorme dépression. Il ne prenait plus soin de lui, il ne mangeait plus, il ne dormais plus. Au bout de trois mois, les parents de Cassidy l'on fait interner en hôpital psychiatrique. Il devait en ressorti au bout de trois mois, mais il y est reste neuf mois. Durant neuf mois, nous étions séparer de nos parents. Je n'avais plus goût à rien. Mes sœurs était encore jeune et on leur disait que "les parents sont en voyage""ils reviendront vite" elles ne savent même pas ce qui ce que passait. Je me sentais seule. J'en ai tant souffert et mon père aussi avait souffert. Il y'a environ deux ans, ma mère est revenue. Son amant venait de mourir d'un cancer du poumon. Elle a supplier mon père de lui pardonner. Il était toujours trop amoureux. Il lui a pardonner mais moi non, je ne lui pardonnerais jamais. J'en ai si honte. Très peu de gens sont au courant parmi eux, ma douce Cassidy qui, en voyant mon regard s'atrister par les mauvais souvenir qui me venait, me prit dans ses bras. Je m'y sentais bien. Au bout de dix minutes, le portable de Cassidy sonne. Elle me lâche doucement et répond.

- Oui allô... Oui... Ok je descends... A plus tard. Elle racroche rapidement et commence à ramasser ses affaires. Désoler Ème mais mon père veut que je rentre immédiatement a la maison. Il est déjà vingt heures et il s'inquiète. Je compris alors que la personne qui l'a appelé était sont chauffeur. Elle venait de ramasser toute ses affaires. Elle s'agenouille devant moi et me tiens les mains. Émeraude ma chérie. Je t'en prie, ne laisse pas cette femme te détruire. OK! Je hoche la tête. Elle continue. Essaye de dormir maintenant. Et ne t'en fais pas, ton père n'est pas fâché. Il s'inquiète juste je lui ai dit que tu étais allé retrouvé une amie qui s'était blessé et il comprend. Ha! Mon père, je l'avais déjà oublié. Et ce qu'elle venait de me dire, me rassure. Bon maintenant je dois y aller. Je t'écrirai pour te souhaiter bonne nuit. A plus ma belle.
Elle se redresse et part vers la sortie.