UN AMOUR COMPLIQUÉ

intensément ou doucement

Elle a dit quoi la ? nan j'ai surement mal entendu, elle était toujours autant frustrer du coup de tout a l'heure, a notre proximité, je le savais car je l'étais autant qu'elle

-pardon ?

-vous êtes sourde Lovenstein, j'ai dis enlace moi, j'ai besoin de câlin, et si vous dites a qui que ce soit que je vous en ai fais un, je vous arrache les yeux

je me rapprochai alors, ces bras étaient bien ouvert prêt a m'accueillir, je savais qu'elle m'avait demander de l'embrasser mais nous fîmes comme si sa demande n'avait jamais existé, ses bras m'entourèrent, cette déesse sent divinement bon, mes bras descendaient petit a petit pour atterrir sur son fessier, cependant je ne m'y aventurai pas, j'étais pas d'humeur a supporter un nouveau vent et elle non plus pensais je

-j'espere que vous avez bien profite de cette étreinte car c'est la dernière que vous aurez Anastasia

-j'ai cru savoir que vous préférez m'embrasser, dis je d'un air taquin

-vous avez l'art et le don de toujours rendre toutes les situations gênantes Lovenstein

-j'aime vous voir rougir, c'est exactement la raison pour laquelle rendre nos moments gênants est devenu une passion supplémentaire

-ah oui j'ai failli oublier que votre première passion, c'est de me mater

-vous les rendez gênantes seule avec ce qui sort de votre bouche, dis je après avoir jeter ma deuxième clope en m'appretant a rentrer

Je descendis au salon ou Gwen parlait a mark et Sophie, les conversations fusaient et je me faisais clairement chier, a vrai dire dans cette baraque, la seule chose que j'aimais bien c'est faire chier la déesse, je pris mon téléphone et décidai d'appeler ma meilleure amie, je ne lui avais plus parler depuis mon arriver ici

-allo Ana, pourquoi tu ne répond pas, je t'ai appelé au moins 50fois salope

-bonsoir Emma, je vais bien merci de demander, mon téléphone était sur silencieux et j'ai bosser un peu toute l'aprem

-depuis quand tu bosses toi, enfin bref raconte moi tout, c'est comment, ça se passe comment avec ta patronne ?

-ecoute elle est toujours aussi froide qu'avant même si ça commence a lui arriver d'être gentille avec moi, elle doit surement avoir de la fièvre pour l'être, elle m'a même demander de lui faire un câlin, tu t'en rends compte Emma, elle ne calcule quasiment personne a part moi, même pas sa pote Sophie

-fais attention a toi Ana, je t'aime tellement, j'ai pas envie que tu retrouve briser a cause d'elle

-je.. je ne l'aime pas emma, mais j'ai peur de commencer a l'aimer, on est assez proche enfaite, bref je dois y aller, je suis fatigué, il est minuit

-bonne nuit Ana prend soin de toi

Je raccroche, pars me servir un verre d'eau, la plus part des personnes étaient déjà parti dormir et sincèrement, j'étais épuisé, je montai a ma chambre, gwen dormait déjà profondément, je me brosse les dents, mis mon pyjama et m'endormi a cote de mon amie

Il était 4h lorsque mon sommeil prit fin, j'avais soif beaucoup trop même, je pris mes pantoufles, mon téléphone et me dirigeai vers la porte, l'ouvrit tout doucement et quittai la chambre, le silence qui régnait a présent sur cette villa était doux et paisible, seul le bruit des vagues était présent, ce bruit me détendit sur le champ, je pris mon verre d'eau, et me posai sur le fauteuil, alors que mes pensées divaguaient, j'entendis de la musique provenant de la salle de sport d'a côté, elle n'était pas forte, audible certes, mais pas assez forte pour alerter toute la villa, je suivis cette douce musique provenant de cette dernière, la porte était ouverte, je passai ma tête a travers celle ci et vis ma bosse sur une machine entrain de travailler ses abdos, elle ne semblait pas m'avoir vu, ses exercices étaient assez intense ce qui l'a poussait a gémir de douleur par moment, elle est super sexy, ses gouttes de sueurs étaient luisants, ses abdos contracter aux max, elle ne portait qu'un short, un débardeur et des baskets, et ses gémissements me faisaient tourner la tête, je décidai de m'introduire dans la pièce elle me vit mais ne dit rien, je m'assis sur unes des machines.

-vous faites du sport a 4h du matin, ça vous arrive de ne rien faire, de juste dormir ou chiller ou c'est trop en demander, lui dis je en la regardant

-beaucoup trop en demander, dit elle en essayant d'essuyer les gouttes de sueurs avec une serviette mais n'y arriva pas a cause de la douleur que lui procurait les exercices qu'elle venait de faire

je levai les yeux, me rapprochai d'elle, pris la serviette de ses mains et commenca a essuyer les perles qui coulaient sur son visage, elle est tellement mignonne, je remis quelques mèches de ses cheveux derrière son oreille, elle me regardait faire, la musique mettait un bruit de fond agréable, une douce musique

- de quelle façon aimez vous faire votre sport, intensément ou doucement.

-vous êtes magnifique Lovenstein, me dit elle tout doucement

je compris a ce moment la ce qui allait se passer, j'en avais marre de toujours m'éloigner d'elle prétextant que j'attendais le bon moment juste parce que je suis effrayer de l'aimer, d'aimer quelqu'un a nouveau, je m'assis sur ses jambes, ses mains entouraient ma taille et les miennes entouraient son cou, sentir sa sueur a travers ma peau me procurait des frissons, j'aimais partager ce genre de moment avec elle, elle fixait a présent mes lèvres pour changer, je me rapprochais tout doucement et elle aussi d'ailleurs, j'avais envie de lui manger les lèvres, sa poitrine colle a la mienne, montait et descendait au rythme de nos respirations saccadé ne faisait qu'augmenter mon envie de la manger

-embrasse moi Mora

les lèvres de la brune n'était qu'a quelques millimètre des miennes

-tu es sure, me dit elle en fermant les yeux

- je n'ai jamais été aussi sur

et la, le dernier millimètre fut franchi, une explosion saveur, la saveur de ses lèvres est divine, ses lèvres attaquent les miennes, notre baiser est hésitant, j'avais même pensé a me décoller d'elle jusqu'au moment ou nous commençâmes a exprimer toutes nos frustrations réuni, toute la tension sexuelle qui s'était accumulée au fil des mois, notre baiser s'intensifie, je sens la chaleur de son corps contre le mien, j'essaie tant bien que mal de rivaliser avec son agressivité, sans qu'elle ne s'y attende, je lui mords le bout de la lèvre inférieure la faisant haleter, j'en profitai pour glisser ma langue a l'intérieur de sa bouche, la tournure que prenait ce baiser était sauvages, elle se détacha de mon emprise, ses yeux étaient noirs d'envie, ça me rassurais par ailleurs de savoir que mon envi était réciproque, notre baiser avait perdu sa pudeur et nos mains s'aventuraient de plus en plus, elle s'attaqua a mon cou, le mordis, y laissant sa trace, un soupir d'aise s'échappa de ma bouche, ce qui ne passa pas inaperçu, elle mit ses mains de part et d'autres sur mes fesses et me souleva, c'est qu'elle est forte la petite, en attendant, la route pour aller vers la chambre était bien trop loin et nos envies bien trop puissantes, enfin de compte, la machine d'a cote n'était pas si mal pour ce genre d'activité que ça, elle me posa sur cette dernière, c'était une machine qui permettait de muscler le torse, je m'y allongea, elle se mit en califourchon, je suis toujours en haut, je l'ai toujours été, i'm a fucking top, mais la pour aujourd'hui je pouvais faire l'exception a vrai dire, jetais incapable de contrôler cette fois, et pourtant baisser les barrières ne m'enchantait absolument pas, mais avec elle, c'est comme si c'était logique, normal, naturelle, elle me déshabillant en 3sec, j'étais étonné de sa rapidité a faire ça, des mains expertes, je me retrouvai a présent qu'en petite culotte en étant en bas et elle, avait toujours ses habilles sur elle, elle se détacha de mes lèvres pour m'observer, son regard était brulant, n'aillant pas de soutien gorge, elle s'attaqua a mon sein droit, le malaxant, titillant mon teton qui lui était déjà a sa merci, elle le prit dans sa bouche, jouant avec et fis la même chose avec mon autre sein, j'aimais les sensations qu'elle me procurait, une fois que sa main ait fini de jouer avec mon sein, elle commença a caresser mon ventre, ses doigts n'avaient que pour un seul objectif, atteindre mon intimité, elle se leva, enleva ma culotte d'une traite et commenca a admirer ce qui se cachait en dessous, rien que son regard m'électrisait le corps tout entier, elle se pencha et commença a embrasser le contour de mon intimité sans pour autant embrasser ce que je voulais, les sensations étaient décuplés a ce moment la j'aurai pu tout lui donner pour qu'elle ne s'arrête pas mais elle était pas du même avis