Rapport de stage d'observation en entreprise

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J'ai effectué une mission secrète pour la mafia avec mon fameux assistant, monsieur Monsieur Bond, nous nous sommes débarrassés des redoutables baguettes de pain de l'espace. Je vais ici vous en dire plus sur cette expérience inouïe et dangereuse....

Un peu d'histoire pour commencer :

Notre mission de départ était de trouver le nazi séropositif, nommé Robert Camembert par les habitants, qui hantait la petite commune Saint-Germain-Les-Prés, dans l'Oise, de part son haleine fétide digne des plus grand charognards végans du demi-siècle dernier. Son entreprise de fabrication de chaussettes en poils de cul de carottes était prospère à la fin de la deuxième guerre mondiale, seulement celle-ci avait fait faillite il y a 20 ans, lorsque les carottes ont arrêté de s'épiler les fesses.

Son existence terrifiait simplement les Saint-Germainois-Les-Prés, mais son apparence de créature mi-rat mi-écureuil écrasé au bord de l'autoroute A4 en direction de Strasbourg les faisait gerbouler dès lors qu'ils apercevaient son visage, le pauvre nazi finit par mettre fin à ses morts et à ses jours le 12 janvier 1967 en pleine saison du Drakereich.

La nouvelle n'attrista point les Otoctones, une famille consanguine d'autochtones locaux, en effet, car s'ensuit une fête endiablée qui dura 7 jours et 7 nuit. Les Otoctones détestaient en effet le nazi séropositif.

La fête commença avec toutes sortes de nourriture : de la mamelle de vache, des coussinets de chameau, ou encore, leurs grands morts cuis sous forme de wok et trempés dans du jus de Mourtala, une baie aphrodisiaque dangereuse si consommée en trop grande quantité.

Lorsque la limonade à la bavasse de Balkany fermentation 45 semaines fut finie, les Otoctones ne savaient plus quoi manger ou comment s'amuser, car il n'y a rien de plus amusant que la Balkany, et décidèrent de tenter d'invoquer une entité.

Ils se mirent en rond et commencèrent à chanter un mashup entre « Je ne dirais rien » du fameux Black M, le générique de « My Little Pony » et « Les sunlights des tropiques » de l'anonyme Gilbert Montagné, un artiste vivant dans l'ombre.

Leur incantation était trop puissante et elle réveilla l'esprit du démon Paing qui invoqua ses petites putes : les baguettes de pain de l'espace.

Les baguettes de pain de l'espace se mirent à ravager le village de Saint-Germain-Les-Prés et tuèrent tout ses habitants, à l'exception de cette tapette de Jean-Marie qui nous appela et c'est ainsi que notre mission commença.

Mon expérience au sein de cette merde d'entreprise à la con :

Lorsque monsieur Monsieur Bond et moi-même arrivâmes sur les lieux du crime il était déjà trop tard, les baguettes de pain de l'espace avaient déjà terminé le travail, ou en tout cas c'est ce qu'elles pensaient car cette grosse merde de Jean-Marie était toujours là, caché dans un placard.

Nous lui avons annoncé qu'il était temps de sortir du placard et de nous payer, ce qu'il fit.

Nous l'avons ensuite frappé avec un poil d'organe génital et il mourut sur le coup. Le travail des baguettes de pain de l'espace enfin terminé il était sur que celles-ci ne reviendraient plus. C'est ainsi que j'ai appris comment on se débarrassait des baguettes de pain de l'espace.

Mon avis et remerciements :

Je souhaiterais remercier monsieur Monsieur Bond de s'être si bien occupé de moi durant ses 3 jours de stage, et j'aimerais aussi remercier les Saint-Germanois-Les-Prés d'avoir été assez con pour invoquer le démon Paing, fallait le faire quoi.


Mon rapport de stage : Bond et les baguettes de pain de l'espaceWhere stories live. Discover now