Bastet

Chapitre II : Commencement

Le jour J arriva à grande vitesse,

C'était un 5 Décembre 2019 une date que je n'oublierais jamais,

J'avais tout préparé dans les moindres détails sauf ce qui m'arrivera...

- Je m'étais habiller de manière assez sombreux et léger, jogging, t-shirt, long manteau et gros sac ou je cachais mon matériel.
Ma visite se passait comme sous des roulettes sauf qu'à l'heure de fermeture, je partis me cacher derrière une vitrine de bijoux au 1ère étage.
Je pris cette cachette car les gardiens n'y passaient jamais.                                  Dans ma petite cachette je bloquai les caméras et le système de sécurité des vitrines via à logiciel pirate que j'avais introduit dans un ordinateur du Louvre.
Le logiciel est un peu comme un virus, tu lui donne un hôte a infecté, il infectera toute chose qui a eu un contact avec son hôte (voilà comment j'ai eu accès aux caméras et le système de sécurité).                                                       
Je laissai mes affaires dans cet endroit et me rendis au deuxième étage en direction de la fabuleuse déesse Bastet.
Arrivai devant la vitrine mais je ne la vis point.
Sa disparition me perturbait un peu car je l'avais aperçu ici quelques heures au part avant.
 Je me mis à la chercher dans tout le Musée mais sans succès jusqu'au moment ou je la perçus au 2ème étage sur un bond.       

J'eus même pas le temps de m'interloquer sur comment elle aurait pu atterrir ici que j'entendis un bruit de pas et de clé.
Je m'enfuis aussitôt, quand je revins il n'avait plus rien ! DISPARUE ! 
Je me dis alors que ça devait être un gardien qui l'aurait déplacer.

La voleuse en moi se remis à la rechercher partout, cette fois l'idole était près d'une fenêtre fermer au 1er, au moment de m'emparer un grand courant d'air traversa toute la pièce. 
Je regardai autour de si une fenêtre été ouverte mais rien !
Mes yeux regardèrent celle de la statue et je tremblai de peur, ses yeux me disais de ne pas la prendre.               Mais moi Bès, je pensais juste à tout le mal que je me suis donné et la pris sans réfléchir et couru jusqu'à ma cachette.