chapitre 26

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18 juillet,

Point de vues de Alia

Je suis enfin sortie , personnellement je n'ai pas réagit au poison comparer à Margaux. Mais maintenant elle va très bien , je préférais quand elle hurlait de douleur pour vous dire , elle est chiante.

Je vais dans le salon après avoir finis de manger. Nous sommes revenues au matin vers 10h je dirai.

- c'était mieux quand tu n'étais pas là, dit Rémi en souriant.

- okay cool ta vie , je m'installe sur un fauteuil.

Je m'en fous genre vraiment beaucoup de ce qu'il me dit. Toute phrase qui sort de sa bouche est très souvent une connerie.

- tu t'en fous ?

- comme tu le vois , je le regarde. C'est bien tu n'es pas si con que ça

Il rigole en secouant sa tête.

- pas comme certaine ici , il me fixe.

- tu sais ce que la certaine te dit ? Il secoue sa tête. D'aller te faire foutre et si ça te plait pas , la porte est grande ouverte

- très drôle , il rigole. Sauf que tu n'as rien à me dire puisque tu es une femme

J'hausse les sourcils , totalement choquer. Moi ?! Je n'ai rien à dire dans ma maison ?! Il me cherche un peu beaucoup là.

- pardon ? Je demande pour être sûre.

- tu as bien compris

- je n'ai rien à dire hors que je suis dans ma maison ?! Il hoche la tête. Et parce que je suis une femme ?! Il continue de hocher la tête. Tu sais ce que la femme te dit au moins ?! Je me lève du fauteuil et lui aussi. De bien aller te faire foutre ! Une femme à tout les droits comme les hommes et c'est pas parce que tu paraît plus fort que moi que tu l'es ! Je crie.

Je m'approche de lui durant tout ce temps. Il me gonfle et ayant passer une mauvaise nuit , je suis vraiment pas d'humeur.

- pourquoi tu cries ? Il me demande.

- pourquoi je crie ?! Mais tu te fous de ma gueule là ?!

Quelqu'un touche mon bras , je me retourne pour voir Leo qui fronce les sourcils.

- ne t'occupes pas de ça ! Je le pointe du doigt.

- bah si ainsi on fait homme contre homme, dit Rémi.

- pourquoi ?! Tu veux pas frapper une femme par peur qu'elle te fasse honte devant les autres ? Je demande.

- une petite comme toi ne sait rien faire

Sans que personne ne comprenne quoi que ce soit , je le gifle. Je le gifle pour toutes les conneries qu'il a dit , le manque de respect envers moi qu'il a eu.

Sa tête se tourne vers moi , son regard sombre.

- ni pense même pas Rémi , préviens Leo.

Rémi n'écoute pas et vient me pousser , je recule de quelques pas. Je sourie en le regardant, je crois que c'était la goutte de trop car il me donne un coup de poing au visage qui me fait tomber parterre , je tombe sur la table en bois qui était à côté de moi.

J'entends les autres qui crient mais je suis totalement sonner. Margaux vient près de moi et me touche partout sur le visage.

Leo et Hayden sont entrain de s'attaquer à Rémi et les mecs essaient de les séparer mais impossible pour eux.

Je vois ma mère qui rentre avec Flora. Elles ouvrent grands les yeux puis quand elles me voient , elles arrivent.

Flora sonne à mon père ou à Jason , son mari. Ma mère me regarde un peu partout et me parle mais je suis toujours aussi sonner pour savoir dire quoi que ce soit.

Je regarde la scène des garçons se battre sans rien dire ni même quoi faire.

Mon cerveau se reconnecte au moment où je vois mon père qui rentre dans la maison avec Jason et Eden.

Je me relève en vitesse de la table, les filles qui étaient à coter de moi me rattrape pour pas que je tombe.

Ça va ! Je n'ai juste reçu qu'un coup de poing ... c'est pas la mort non plus.

Mon père me regarde quand lui et ses amis ont réussis à séparer les garçons , il tient Hayden par le t-shirt.

- laisse moi tabasser ce fils de pute ! Cri Hayden.

- Hey ! Soit poli ! Dit notre mère a côté de moi.

- il a frapper Alia ! Il la regarde.

- désoler chérie mais moi , tu touches pas à ma fille , dit mon père en lâchant Hayden.

- Hayden ! Si tu oses bouger un seul millimètre, je te jure que ça va aller très mal ! Menace ma mère.

Mon père est peut-être l'homme de la maison , mais si ma mère ose nous menacer , faut vraiment qu'on l'écoute sinon on est mort.

Hayden la regarde en soupirant.

- bien ! Toi , tu prends tes affaires et dégages, elle regarde Rémi.

Il soupire en me lançant un regard noir puis se casse en haut.

J'ai l'impression qu'on est des enfants et que nos parents viennent reprendre le bordel.

Heureusement qu'ils arrivent à temps quand même.

Leur passé, mon futur Où les histoires vivent. Découvrez maintenant