«Baby mama» [I]

sixty-one.

61

«Oui : un commencement a toujours une fin».
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- Vous entrez sans prévenir, ne faites aucun bruit suspect. Distrayez le pendant que moi je vais la sortir de là.

- On s'occupera de lui après, le plus important c'est ma madame. Capiche ?

Ils ont acquiescé. Et à mon signal, ils ont défoncé la porte d'un coup sec.

Le premier homme a tiré une balle en l'air pour l'apeurer, et les deux autres sont entrés dans la pièce à vive allure.

J'en ai alors profité très discrètement pour entrer et détacher Stacy.

Elle avait le nez en sang et lorsqu'elle m'a vue, un sourire et des larmes ont coulé sur son visage.

Stacy - M-mendes... mon Mendes..

- Je suis là princesse, tout va bien. Je suis venu te chercher comme promis.

Je passe derrière elle pour détacher ses mains. Oh, il les lui a rattachées. Avec une putain de corde quand même.

J'ai attendu le bon moment et ai tiré sur la corde de façon à ce qu'elle se déchire.

J'ai essayé de faire en sorte que le son du coup de feu se dissolve avec les autres coups de feu qui retentissaient. Je ne voulais pas qu'il me crame.

Et j'ai réussi.

Je lui ai détachée les bras, les jambes.

Je lui ai donné mon pull qu'elle a enfilé pour cacher son corps. Puis je l'ai portée sur mon dos, et elle s'est accrochée très fort.

Stacy - Il était à deux doigts de me tuer... tu es arrivé à temps Mendes.

Elle dépose un baiser sur ma joue.

Stacy - T'es le meilleur... tu seras à jamais dans mon cœur.

- Accroche toi bien fort.

Elle me serre bien fort. Puis, je me suis mis à taper un sprint pour tenter de rejoindre la sortie.

Mais un coup de feu immense a retenti dans la pièce. Et le cri de Stacy a suivi.

Un énorme cri... cri de douleur.

Et c'est quand j'ai vu du sang s'échapper de sur mon dos que j'ai réalisé :