Luna et les quatre éléments

Chapitre 3: Une fille futur empereur ?!

Noa était sous le choc tout comme le reste des personnes présentes. L'impératrice regarda plusieurs fois son enfant pour voir si il n'y avait pas de membre masculin. Quant à Damme Gertrude partit en catastrophe avec quelques nymphes domestiques en direction des réserves pour le petit bébé surement pour tout changer :

- Je vais chercher l'empereur !

- NON ! ,cria l'impératrice au médecin, je veux que vous restiez avec moi

- Mais madame il faut le préveni...

- Que l'on envoi quelqu'un pour trouver mon mari ! cria-t-elle en coupant le médecin 

Mais personne n'était là appart le médecin des nymphes pour s'occuper du bébé alors sortit discrètement de sa cachette puis se porta volontaire. L'impératrice, n'ayant pas trop le choix, décida de l'envoyer chercher l'empereur Alexandre dans ses appartements.

Noa partit aussitôt au dernier étages pour trouver l'empereur. Il courut aussi vite que sont petit corps d'enfant humain le permettait. A plusieurs reprises, il faillit heurter des nymphes domestiques. Enfin arrivé au dernier étage du château, Noa se rendit comptes que tout l'étage était consacré aux appartements impériaux. Noa était stupéfait mais pas le temps de rester bouche bée, il alla toquer à la porte principale. Une domestiques lui ouvrit :

- C'est pourquoi, dit-elle, s'est que sa majesté est vraiment occuper !

- Je suis un messager de la part de l'impératrice. Elle a accouché!

- Ok. Tu peux entrer.

Noa rentrât donc le somptueux appartement doré. Les murs brillaient tandis que les rideaux de soie étaient parfaitement lisses. La domestique fit monter Noa dans une tour. Tout au sommet de celle-ci , se trouvait un bureau marron et l'empereur Alexandre :

- Jeanne ! Je veux pas être dérangé quand je suis dans mon bureau.

- Désolé monsieur mais s'est au sujet de l'accouchement de l'impératrice Nathalie elle a envoyé un messager apparemment s'est urgent .

Il rangea quelques dossiers puis se leva de sa chaise et demanda à Jeanne de s'en allait ce qu'elle fit immédiatement. Elle ferma la porte derrière elle puis l'empereur se mit à regarder la fenêtre. Il posa des questions sur la santé du bébé puis se décida à aller voir sa femme.

Tous les deux descendirent les escaliers presque en courant. Ils prient le grand escalier et arrivaient au deuxième étage. Toutes les domestiques laissaient passer Noa et l'empereur en les regardaient très bizarrement (enfin surtout Noa). Une fois arrivé à la chambre où se trouvait l'impératrice et le médecin . L'empereur s'avança vers le lit et Noa se rangea contre un mur. Il remarqua que madame la nymphe Gertrude était revenu toute en sueur. Elle avait du courir surement pour remplir les demandes de l'impératrice en attendant son mari. Bref, l'empereur Alexandre prit le bébé dans ses bras et il ne comprenait pas. L'enfant n'était pas mort ou malade. Il le redonna à l'impératrice sans même regarder le visage du bébé. L'impératrice insista fortement pour qu'il regarde la tête mais l'empereur n'en voyait pas l'itérer voulut retourner dans ses appartement. Il avait perdu du temps dans son travail. Finalement, il se décida à regarder son « fils ». Il enleva le voile qui englobait l'enfant tout en fermant les yeux. Il les ouvrit puis resta bouche bé pendant une minute. L'empereur n'en revenait pas : le futur empereur était enfaite une fille. Il fut tellement dégouté de l'enfant qu'il le redonna à sa femme. Le médecin, Noa et Damme Gertrude étaient très mal à l'aise devant la tête de l'empereur Alexandre :

- Nous devons punir cette enfant !

- Mais empereur Alexandre ce n'est qu'un enfant, disait timidement la chef des domestiques.

- Oses-tu me contredire ?Et vous le médecin oser vous aussi me contredire ?

- Non monsieur ! disaient-ils en cœur.

-J'ai trouvé sa punition s'écria l'empereur : nous allons la rendre muette elle ne mérite pas de parler de toute façon ! Aurais-t-il un elfe du vent ?

Le médecin s'avança alors vers Alexandre. L'empereur lui donna des instruction puis le médecin les exécuta sans problèmes. Maintenant , l'enfant avait une bulle d'air dans les cordes vocales l'empêchant de prononcer un seul son.