What

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Mon voisin du dessus avait finit par te faire dégager, en te menaçant d'appeler la police.

Tu étais parti.

Ce soir là, je n'avais pas eu le droit à une lettre d'amour, je m'étais contentée de sortir la boîte où elles étaient rangé et j'avais tous déchiré et tout jété. J'étais allée prendre une douche car je me sentais salie par toutes ces filles avec qui tu l'avais fais, puis j'avais finis par m'effondrer en larmes. J'avais laissé l'eau chaude m'appaiser, assise dans la douche, je m'étais rappelée des nombreuses fois où on l'avait fait contre les parois froides de la douche, toutes les fois où je te disais que je voulais prendre ma douche seule mais que je finissais toujours par craquer, je craquais toujours, tu me rendais tellement vulnérable.

Tu étais partout.

Je n'arrivais plus à me débarrasser de toi, j'aurai voulu m'arracher le coeur, tellement j'avais mal.

Tu me faisais mal.

Tu me faisais tellement mal que quand je m'étais mise à frapper de rage les murs de la douche, je m'étais seulement arrêter parce que j'avais vu du sang coûler, je n'avais ressenti aucune douleur.

Le pire dans tout ça, c'est que t'avais beau être parti, tu ne me lâchais pas, ta voix résonnait dans ma tête, tes mots résonnaient dans ma tête « Je t'aime Summer ».

Session 32Место, где живут истории. Откройте их для себя