De la haine nait l'amour [Dramione]

Chapitre 6

PDV externe :

Hermione est Drago étaient restés encore un moment dans la salle sur demande, s’embrassant et parlant de comment tout ça était arrivé. Drago n’avait pas su répondre, il avait juste dit que le coup de foudre existait, ces quelques mots arrachèrent quelques larmes à Hermione, puis Drago c’était rapproché et l’avait de nouveau embrassé.

Ils s’étaient quittés après mille et un mot d’amour.

PDV Hermione :

Je me réveillais tout doucement ce matin, on était samedi, pas de cours, pas d’embrouille. Ah si il y a le match des Gryffondors contre les Serpentards.

Oh merde ! Je me redresse sur les coudes d’un coup. Les Serpentards, les Gryffondors, Harry, Drago. Les deux hommes de ma vie. Je mets ma tête dans mes mains en secouant frénétiquement la tête.

Comment je vais faire moi, et je ne sais même pas si je sors officiellement avec Drago, en tout cas on est déjà d’accord sur le fait de garder sa secret. Mais qui vais-je soutenir aujourd’hui moi ? Faut toujours que je me foute des situations pas possible moi. Je suis dans la bouse d’hippogriffe jusqu’au coup là.

Beurk, idée un peu répugnante le matin.

Je me lève et me dirige vers la douche, je laisse l’eau chaude coulé lentement le long de mon dos.

Bon voir le point positif, je n’aurais pas à voir Drago tout de suite, avec la préparation du match je ne pourrais pas le voir avant tard ce soir.

Bon Hermione tout va bien se passer, aller détresse.

Après m’être rendu compte que mes doigts commençait a être tous fripés, je me décide enfin à sortir.

Les vêtements moldus étant autorisés le week-end j’enfile un slim noir, un pull blanc avec un légers décolleté et des bottines marron. Le temps étant assez frais je me promis de venir chercher une écharpe avant le match.

Je descendis dans la grande salle, il n’ y avait presque personne, mais Harry et Ron étaient là, Ron leva les yeux et son regard bleu croisa le miens, je tournai la tête et me dirige à la table des Serdaigles rejoindre Luna, plutôt mourir que de me retrouver avec cet affreux rouquin (m’en voulez pas trop ce qui aime Ron).

Après le déjeuner je retourna dans ma chambre pour réveiller la marmotte, alias Ginny.

Un petit sourire mesquin apparu sur mon visage.

Je m’approchai vicieusement des rideaux et les ouvris d’un coup en hurlant :

- DEBOUT !!!!!!!!!

Les rayons de soleil d’octobre illuminèrent rapidement la chambre, la baignant dans une lumière blanche aveuglante.