Douce et tendre caresse ( En Réécriture)🔇

Ce cri

Elle est là toute tremblante. Je me demandais, pourquoi est -elle en train de m'admirer .Je ne pensais pas qu'elle pouvait avoir envie, elle , qui me disait tout le temps que le sexe ne l'intéresse pas . Je la tourna légèrement et me positionna entre son entre- jambe . Ce soir là, elle ne portait qu'une simple chemise et une culotte a rayure qui s'harmonisait parfaitement avec sa silhouette .Un corps qui donnerait l'eau à la bouche à n'importe quel homme. Oui !!! Cette femme me rendait fou...

Fou de sa carrure, de son sourire, de sa façon de me regarder.Elle était une orpheline dont je voulais être le père adoptif.Son regard enfantin , me poussait à commettre l'impossible. Je voulais la faire mienne . Qu'elle soit mon tableau, mon guide, mon trophée a admirer en revenant du boulot. Je ne pouvais plus attendre, mon pénis ne réclamait que ça , goûté a son paradis. Il se fraya un chemin dans son jardin toute chaude, glissante et humide. Mon corps tremblait d'existation. Son vagin un peu étroite, était une nourriture que tout homme voudrait posséder. Je ne pouvais m'arrêter de fracasser son huître humide . Je la pénétra plus profondément . Mes coups de rein étaient légère car je ne voulais que ce désir, me soit éternelle. Quand soudain , elle me dit d'une petite voix sexy.

-Va plus vite... je t'en supplies...

Comment résister à une telle demande. Je m'excita sans prendre de temps. Ses hanches bougaient sous le mien. Ses seins , bien ronde m'appelait.Je pris un de ses tétons en bouche, et elle se mit a hurler.Quelle douce musique. Le cri d'une femme en pleine extase. Un cri qui résonne dans tout le quartier , allertant que cette femme est en plein travail. Elle se pencha , m'offrant alors une vue sur fesses rondes. Une claque qui l'a fit sourire et un autre qui l'a fit gémir. Cette nuit , tous mes sens étaient en éveil. Elle gicotait, rapprochant son bassin au mien , un geste qui me suppliyait de soumettre cette petite chatte endiablée. Je ne l'a fis pas attendre et la prit de toute la longeur que je possédais. Elle s'accrochait au drap du lit, hurlait , criaient: "Monsieur,monsieur vous me démonté la chatte.."

Quand le moment de vérité arriva, je la tenais brusquement par les cheveux et m'évanouit tout en remplissant son minou encore mouillé.

-Chéri, je suis entré...

Ce moment merveilleux prit fin en un claquement de doigt, à la venue de ma femme et de mes enfants...