Chapitre 5

12 1 0
                                    

Je rentre à la maison avec quelques égratignures, les camarades ce sont encore moquer de ma sœur et moi, et comme toujours je me suis battue. Tous des imbéciles qu'est ce que je peux y faire si maman n' est plus avec nous je n'ai que 12 ans, merde !!

Quand je franchis le seuilles de la porte j'entends les voix qui s'élèvent, des pleurs, des cris, ceux de Lisa .
Je laisse mon sac tomber et coure en direction des voix, mon cœur bat vite, j'ai peur.
Arrivée dans la chambre de ma sœur Je vois des gouttes de sang sur le parquet. Mes yeux se lève sur, Lisa en sang par terre criant à mort et au dessus d'elle, notre père qui l'abat.

Et là le déclic.....

Je me réveille en sursaut dans mon lit toujours les même rêves, les même scénarios horrible l'un après l'autre, qui se répète et à chaque fois je me réveille en sursaut, en pleurs, ou en hurlant. Me rappelant d'où je viens, ce que j'ai fait.

Je regarde mon réveil il n'est même pas 5 h et il fait encore nuit.

Fait chié !!!

Je me lève du lit, prendre une bonne douche froid, me cale dans l'un des fauteuils de la chambre avec mon MP3, les écouteurs dans les oreilles. Je sort de la chambre et m'engage dans le couloir.

Peut-être qu'un peu d'air frais me changera les idées.
Je me promènes un peu partout avant de me  dirige vers le jardin de l'établissement, un terrain de plusieurs hectares. Au loin sur une petite colline reclus vers les murs, y siège un grand chaîne aux longs feuillages et lianes, qui cache son tronc. Un bon Android pour se cacher des regards .

J'avance vers cet arbre et travers ses longs feuillages, j'y trouve un spectacle magnifique, des lucioles qui virevolte un peu partout. Mais a par ça; un silence rare y règne.
Je m'avance au milieu  m'allonge dans l'herbe et regarde au dessus de moi ce spectacle.

Aujourd'hui vendredi, je pense à la semaine qui a été du moins mouvementée. Le lendemain qui avait précédé mon arrivée dans l'établissement, je suis restée avec Sarah on apprenait à se connaître , rire aux blagues de Austin et Adrien. Je n'ai pas revu Malvin de toute la semaine, ni le BG qui m'a indiqué le chemin. Par contre j'ai eu à connaître Clara la blonde peste du réfectoire malheureusement c'était au moment du cour de sport qui avait pour terme de la semaine le volley-ball, sans le faire exprès mon coup dans la balle la fait attérrire sur son beau visage qui faisait des yeux doux au prof .

Mon dieu quelle spectacle!, madame criait que je lui avait cassé le nez, j'ai pu voir des visages moqueur de beaucoup d'élèves ainsi que celui du prof qui s'est repris et ma réprimander. Au final à l'infirmerie Clara n'avais rien, tout un scandale pour si peu.
Depuis, quand elle trouve une occasion, elle me lance des piques. Tout son remue-ménage me passe au dessus. Je ferme un instant les yeux

- A ce que je vois le spectacle et le silence te plais , prononce une voix qui m'est familier.

Je me redresse en tailleur et regarde à ma gauche et droite mais personne.

- Qui est là?

- Le charmant et gentil garçon qui a accompagné une jolie fille têtu qui refusait son aide. Dit t - il avec arrogance.

- Attention aux chevilles jeune homme ! Déclarais je hilare. Où est tu?

- Jamais bien loin, au dessus de toi.

Je lève la tête et vois une silhouette sur l' une des nombreuses branches de l'arbre

- Comment est la vue de là haut ? je Demande en me rallongeant

- Magnifique. Dit il en descendant

Une fois à terre il s'allonge à mes côtés, après un moment je tourne la tête vers lui. Je peux le voir de profil, et il est de toute beauté dans son uniforme qui ne dissimule pas son gabarit, au contraire elle le dessine.

- Au fait je ne connais pas ton prénom, tu t'es enfuie après m'avoir indiqué le chemin. Aurais tu peur de moi? Je demande moqueuse. Sourire aux lèvres il répond

- Pas le moin du monde, bien que tu étais têtu a en faire jalousé un n' âne, que j'ai perdu mes bonnes manières. Dit t - il sur le même ton moqueur que moi, je m'appelle Edvard.

- Ehhh, je ne suis pas têtu juste sûr de moi et je sais reconnaître quand j'ai tort. Dis je boudeuse

Un son rauque se fait entendre je tourne la tête et suis heureuse de l'avoir faire rire. Le soleil se lève entre temps et nous offre un de ses spectacles éblouissant dont lui seul à le secret.

- Je pense qu'il est temps d'aller rejoindre les autres, je suis heureux de t'avoir revue, à très vite Charlottes. Dis Edvard d'un ton léger.

New Year, New Life!...New Me?Où les histoires vivent. Découvrez maintenant