𝑅𝑜𝒷𝒾𝓃 𝒹𝑒𝓈 𝒷𝑜𝒾𝓈 (terminée)

3/ Jean

Une semaine est passée et je n'ai pas vu robin, simplement entendu ses dernières aventures.

J'ai aussi appris que mon cousin Jean reviendrait aujourd'hui dans la matinée, si j'en crois les servantes il serait à l'heure pour le repas de midi.

J'ignore si j'ai envie de le revoir, les souvenirs que j'ai de lui sont le contraire de ce qu'il est apparement devenu. La douleur change un Homme, et cela est bien vrai.

Je me regarde dans le miroir, mes traits sont fins. Sans cesse on compte ma beauté, qui est admirable de ce qu'on raconte. Pourtant je ne sais pas je complexe, sûrement comme tous le monde.

Scarlett arrive en courant dans la chambre, et m'informe que le prince Jean vient d'arriver.

Je souffle, me lève et la suis jusqu'à la cour.

Une fois arrivé au dit lieu, j'aperçois un carrosse entouré de plusieurs troupes de soldats.

La porte s'ouvre laissant apparaître mon cousin, descendant fièrement du convoi suivit de personnes qui sont sûrement ses serviteurs.

- Bien le bonjours milady.

- Prince Jean. Prononçai je tout en m'inclinant devant sa royauté.

- Vous n'avez pas changé chère cousine, toujours aussi belle.

- Merci. Répondis je froidement, au fond de moi j'espérait ne pas lui plaire, afin qu'il ne veuille pas de ce mariage arrangé. 

Il dut ensuite s'éclipser pour aller prendre un bain, afin de se décrasser du voyage.

Je m'en alla de même mais en direction de la forêt suivit de Scarlett, prétextant aux gardes une balades dans les bois.
Au début on voulut m'accompagner afin de me protéger mais après maintes et maintes refus de ma pars ils finirent par me laisser filer sans l'hombre d'un gardes.

Nous marchâmes donc jusqu'au camps.

- Bonjours! Dîmes t'on en cœur.

- Bonjours mesdemoiselles, dit tuck.

La salutation de petit jean suivit de celle de robin et d'Alexandre.

Scarlett se chargea de ramasser quelques fleurs afin de justifier avec des preuves nôtres promenades.

Je m'approche de robin qui me parut soucieux.

- Robin?

- Oui? Me répondit se dernier.

- Je... vous me paraissez fort inquiet, y'a t'il une raison à cela?

- Disont qu'une des familles du village a un problème pour payer leur loyer et on menace de les expulser. Je réfléchit donc à un plan. Me dit il d'une traite.

- Oh... peut être pourrais je utiliser ma fortune personnel à cet escient, payer leur facture à leur place?! Proposai je, après tout rare sont les fois où j'ai besoin de dépenser des sous.

- C'est une proposition bien alléchante, mais en faisant ainsi se serait capituler devant le shérifs et ses hommes. Merci de proposer mais je refuse.

- Je voit, alors qu'avez vous à proposer? Je vous écoute si vous vous croyez si intelligent. Rétorquai je offusqué qu'on refuse mon aide.

Il se lève et s'approche de moi amusé, je recule d'instinct jusqu'à bûcher sur une racine et manque de peu de m'étaler de tout mon dos contre ce sol rugueux. Rattraper par robin, me maintenant fortement par la taille.