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Moi : Tu dis que ta un gars

Dounia : Ouais qui ? 

Moi : Moi




Dounia : Lol tu rigole hein ?

Moi : Non je suis sah

Dounia : Mais il va voir c'est pas vraie de toute façon

Moi : T'inquiète pas pour sa, je viendrais te chercher à la fin des cours je te déposerais à ta tess, et le soir je te sortirais inch Allah

Dounia : Tu feras sa pour moi ? 

Moi : Ouais ouais mais crois pas je sais pas quoi , hesoul de toute façon si il te lâche pas t'inquiète pas pour le reste.



J'ai reçu un de ces vents, une tornade gu3h vue qu'elle à pas répondu , moi je suis partie me posé devant la play tranquilou. Bon après je vais zaper la semaine je me rappelle plus ce que j'ai fais, on va passé la semaine.
Sa fesais 2 semaines que je fesais zehma le faux gars de Dounia j'allais la récupéré après ces cours, la déposé faire ce qu'elle avais à faire, mais à técô je réglé mes bails. Fares il voulais me taper zehma la il été partie au
bled pour chez pas quoi mais sois disans quand il rentré il voulais me ni*er Je l'attendais moi y'avais pas de probléme.
J'allais la chercher comme prévue puis le soir la plus pars de la semaine elle venais graille à la zoum. 


Le samedi le jour de son retour ...


Moi j'étais posé en bas de ma tour avec les shabs. A 17 heures je devais aller chercher Dounia pour aller au cinéma et manger grec. Ouais ouais il est pas hella le dîner je voulais bien lui offrir un restaurant, une promenade
sur les champs Elysé mais c'étais pas pour moi tous sa, puis Dounia en sah c'étais pas ma meuf je fesais welou avec elle. Je lui avais promis de la protéger je le ferais mais sans arrière penser. Elle fesais sa vie je fesais la
mienne c'étais aussi simple que sa. Il est 16h45 je commence à dis tchao aux gars je me dirige vers ma gov quand je reçois un appel d'Aymen :




Aymen : Allô 

Moi : Ouais khô qu'est qu'il y à ? 

Aymen : T'est où la ? 

Moi : Je vais chercher Dounia pourquoi ? 

Aymen : T'est pas chez elle ?

Moi : Non

Aymen : Ramène-toi khoya

Moi : Pourquoi ?

Aymen : J'ai entendu des cris qui venais de chez elle, j'ai cru c'étais toi. Mais la je viens de capté qu'il y a la gov à Fares en bas du bloc.



J'ai pas pris la peine de répondre j'ai raccrocher et je me suis dépêché d'aller chez Dounia j'ai dévaler les escaliers à toutes vitesse. Arriver à son étage Aymen m'attendais. Je me suis approché de la porte j'entendais des
cris, des trucs se cassé, des insultes qui allaient dans tous les sens. Je me suis décidé de frappé, quand d'un coup y'a un silence total. Je reffrape la porte s'ouvre derrière Dounia qui avais la tête baissé et qui me fesais signe
de pas rester. J'ai fais un pas pour avancer elle ma stopper avec sa main pour que je recule.



Moi : Oh tu me fais quoi Dounia la ? Vire tamain je vais te giffler

Dounia : S'il te plaît va t'en 


Elle avais toujours le regard baissé, la voix qui tremblais, il se passais un truc byzarre dans cette appartement et elle voulais absolument m'enpêcher de savoir quoi. Je les pousé violament pour rentrer.


Dounia : Amir zeubi bouge



Je l'est attraper par le menton, et la j'ai pu voir son visage bien ballafré, un cocard à l'oeil droit, une griffe qui fessais la moitié de son vissage. Et son regard... Son regard il été vide, ou plutôt remplie, remplie de peur
et de faiblesse. 


Moi : Tu me prend pour un pd Dounia



Je sens quelqu'un derriere moi, Aymen qui été derriere Dounia et Dounia devant moi sa pouvais être que cet enflure de Faress


Fares : Il été tant que t'arrive je t'attendais 

Moi : Tu t'en prend au femme maintenant ? 



Il pas répondu et c'est assis sur le fauteuil, ce gars je pourrais pas le comprendre, pourquoi étais t-il aussi attaché à Dounia ? Je le connaisais je le savais trés bien ce qu'il attendais d'elle. Il regarder je sais pas trop quoi,
Je le fixais avec un regard de dégoût, de haine , de mépris envers lui. Je le detestais, le haissais. Je sentais la peur de Dounia jusqu'àque sa main vien prendre la mienne. Je me suis retourné je les regardais. C'étais un 
appel à l'aide. Me demander pas pourquoi mais je me suis approché de son orreille : 


Moi : T'inquiète pas wallah


Et en la relâchant je lui est fais un bousah sur le front. Fares qui c'est lever pour sortir je pense, m'a tej une photo et il est partie. J'ai ramassé la photo, Dounia a voulu la récupéré avant moi mais je l'avais déjà entre les mains.



Cette photo c'étais elle et moi entrain de rigoler pendant qu'on joué a la play. Je les sentie gêné . Elle à vite esquiver mon regard et à fait bléhani d'aller se réfugier dans sa chambre ...




Bismi'Allah

Chronique d'Amir : Élever a la dur, La3dess et coup de CeintureWhere stories live. Discover now