La sonnerie de la porte ma sorti de mes pensée, Amel part ouvrir la porte, c'est ses parents.

Nous étions tous assis autour de la table ces parents parlaient. Je n'ai jamais eu un bon feeling avec eux. Sa mère me dévisager, j'ai envie de la baffer, mais je me retiens.

Sa mère : Elle et encore là elle !

Amel : Maman ne commence pas !

Sa mère : Quoi ! Je ne commence pas elle et ici et elle ne vous laisse même pas être seul ton mari, ta fille et toi !

Son père : (À moi) Pourquoi tu ne te maries pas hein ? Tu ne veux pas laisser ta cousine tranquille ou c'est comment ?

Je ne répond pas, je fixe l'assiette. Des fois, je me dis que j'aurais aimé savoir l'histoire de ma famille mais à chaque fois que je pose la question on change de sujet.

Moi : Je suis trop jeune.

Son père : Non, tu as l'âge idéal pour te marier !

Amel : Papa laisse là tranquille elle n'a que 16 ans !

Son père : Non bientôt 17 ans !

Amel : Oui, mais cela ne change rien, vous êtes venus manger et voir votre fille ou vous êtes venues critiquer votre nièce.

Sa mère : Ce n'est pas notre nièce et ça tu le sais très bien. Je suis désolé, mais moi dans ma famille, on a tout un beau corps.

Amel : Ça signifie quoi sa maman hein ? Qu'il faut avoir la taille pour pouvoir faire partit de ta famille, c'est ça ? Donc si j'aurais été comme Inesse, je ne ferais pas partit de ta famille ?

Mes larmes commencées à couler toujours la tête baissée, avec ses parents ça a toujours était comme ça critique sur critique. Je veux juste sortir de la pièce.

Sa mère : Non ma fille ce n'est pas la même chose, toi tu es ma fille pas elle.

Amel : À chaque fois que vous venez, c'est pour lui lancer des piques. Alors qu'elle vit chez moi pas chez vous.

Son père (en tapant sur la table): Et alors ? Tu ne comprends pas, on ne l'a pas voulu !

Amel : Honte à toi papa et toi maman c'est ta nièce la fille à ton frère.

Son père : Ça suffit ferme là !

Amel : Non, papa si vous en avez marre d'elle, vous avez qu'à lui raconter l'histoire de sa famille.

Sa mère : AMEL TU TE TAIS !

J'ai sursauté, elle a criée d'un coup.

Amel : NON, MAMAN DITES LUI QUE SES PARENTS SONT VIVENT, DITE LUI QU'ELLE A DES FRÈRES. VOUS ÊTES LÀ À LA CRITIQUER À LONGUEUR DE JOURNÉE VOUS AVEZ QU'À LUI DIRE POUR CES PARENTS !

Son père : NON, JE NE LUI DIS PAS !

Amel : VOUS SAVEZ TRÈS BIEN QUE SES PARENTS LA CHERCHENT PARCE QU...

Hafed a mis sa main sur la bouche d'Amel. J'ai fronçé les sourcils avec les larmes aux yeux. Alors j'ai vraiment une famille hein, ils existent !

Je ne veut plus rester là, je me suis levé et je suis parti dans ma chambre.

Je ne veut plus rester là, je me suis levé et je suis parti dans ma chambre

Oops! This image does not follow our content guidelines. To continue publishing, please remove it or upload a different image.
« Sacrifier pour les miens »Where stories live. Discover now