[REPRISE] Code Lyoko: Aujourd'hui est un bon jour

Partie 5:

14 juillet 2005. Fête nationale.
Les feux d'artifice retentissent dans toute la France aujourd'hui.

Mais ce même jour, la vie de plusieurs famille va changer.
Ils étaient tous en deuil. Ils pleuraient leur disparus.

Dans une usine désaffectée excentrée de la ville, trois jeunes que tout et rien ne lie à la fois, vont sortir de cet enfer pour la première fois en plusieurs mois.

Les ingénieurs étaient là, à attendre bêtement qu'ils se réveillent.
Et s'ils ne se reveillaient pas ?
En soit, ils étaient déjà considéré morts.

Femme: ferme là Phillipe. Ne dis pas ce genre d'horreurs.
Phillipe: bah quoi? C'est vrai. Ils sont peut être crevés vos gosses.

Il eu droit comme seule réponse une tape sur la tête.

Yumi, la plus âgée, commençai à ouvrir les yeux, elle s'est levée et n'a pas prêté attention à ce qui l'entourai.

Yumi: j'ai crû qu'on ne reviendrai jamais ici...

Les deux autres ont fini par se réveiller par la suite.
Chacun à exprimé son ressenti sur leur retour sur terre.

C'était étrange. Et agréable. Ce qu'ils avaient tant attendu était enfin devenu réalité.

Par mesure de sécurité, les jeunes ont étés rapidement transporté à l'hôpital.

La ville avait changé, les technologies avaient progressé.
Durant le voyage, ils ont appris que l'existance du super calculateur avait été rendu public.
Les combats longuement mené contre X.A.N.A. n'étaient plus secrets.

Le proviseur du collège avait enfin réalisé qu'aucun de la bande n'avait réellement séché. C'était... Des héros. Du moins c'est ce que tout le monde pensait.

Arrivés à l'hôpital, il y a eu les familles qui attendaient là.
Les quatre familles.
Quatre familles pour seulement trois adolescents.

Laquelle allait pleurer la mort de leur enfant aujourd'hui ?
N'est-ce pas un bon jour pour apprendre le suicide d'un être cher ?

Le blanc immaculé de la structure hospitalière contrastait avec la noirceur des discours qui se tenaient ici même.

Ulrich était mort après tout.

"encore un" murmurait un des adultes.

Yumi s'est retournée vivement à la remarque. Comment ça... Encore un..?