Still of the Night (Pucci X Dio)

Parlons du paradis

La journée était faible, le soleil perdait ses couleurs.

Et j'étais resté couché dans cette imposante pièce, emplis de livres de droite à gauche.

Il en avait autant que d'étoile dans le ciel, me suffisant amplement pour accroître mon appétit de savoir, et ma curiosité du monde.

La raison d'une vie. Ceci est si abstrait pour moi, notre raison de venus sur Terre.

Le but d'une vie, la clé du bonheur.

Qui suis je ? Qui tu es ? Pour ce vaste monde, qui somme nous ? Auprès du regard de Dieu.

Tant de chose que je farfouillais au sein des livres, à la recherche d'une maigre réponse, à ses questionnements incessants.

Qui tourne en rage dans mon esprit.

"Quelque chose te tracasse Enrico ? Tu n'as pas touché ton livre depuis un moment" d'une voix toujours si suave tu m'a tiré de mes pensés.

J'étais si absorbé, que j'avais oublié ta présence allongé au contraire de moi, un épais amas de pages entre tes mains.

Mon livre ouvert sur cette même pages durant des longues minutes, sans n'avoir lus un morceau de ses mots, sans même savoir de quoi il parlait.

J'avais juste étais submergé par mes brumeuse  pensés.

"Dio, qu'elle est ton but ?" Fermais je le livre pour écouter attentivement ta raffine voix et me plonger dans le fin fond de tes yeux rubis.

"Quelle est même le but d'une vie ?" Continuais t'il, comme s'il était le seul à pouvoir y répondre.

"Certain chercherons, le pouvoir, la richesse, l'amour, ce sont tous des choses insignifiante humains" ta voix étais toujours si envoûtante.

"Des choses futiles et inutiles" et douce qui tressaillait mon âme d'une douce mélodie.

"Dis moi Enrico que se trouve t'il suite à la mort ?" Et d'un sourire perché à l'affût de tes dangereuse et délicate canines, le bord de tes lèvres qui se noyaient parfaitement à ton regard, pour ne me rendre que obnubilé par leur blancheur.

"Le paradis ou l'enfer" Je pourrai observer mon reflet dans les vitraux pourpre de tes yeux.

"Tu sais je penses que les humains devraient passer leur vie à essayer d'atteindre le paradis " des traits de ton visage qui moule à la perfection ta grandeur, si envoûtante.

Si spectaculaire de ta personne.

"T'étais tu déjà demandé comment atteindre le paradis ?" Le mouvement de tes subtils lèvres, rendait admiratif mon regard.

"Ceci peut être le but d'un vie" traçai je de mes yeux, ta scrupuleuse peau pâle.

"Cela fait un moment, mais j'ai trouvé le moyen de rendre mon stand encore plus puissant, encore plus spectaculaire, il sera la clé du paradis, j'en suis certain, d'un paradis radian"
Tes blonds cheveux qui dressait avec or ton ampleur.

D'une silhouette si divine, qui ferais appelle à lui seul, l'existence d'un Dieu.

"Parle moi donc de ce paradis Dio" Ton corps sortis tous droit d'une peinture grec.

"Je n'ai pas terminé mes recherches, mais je te le lèguerai dans ce journal, en temps qu'ami cher" tes ongles prudemment peints calqué sur le cuir du carnet.

Un si beau contraste,
Tous de ton corps avait une harmonie parfaite et mélodieuse.

Une apparence si soigné et sculpté, de ce fin trait de liner, le long de ta paupière pour un regard perçant, à ce rouge à lèvre qui rendait tes lèvres tentatrice et envoûtante.

De l'aurore qui prenait sa fin pour rendre ta peau doré à l'unisson de tes cheveux qui resplendissaient au soleil.

Tu es un homme si parfait, que cela ne pourrais être égale qu'à un Dieu.

Dio es tu sûr de ne pas être un Dieu venus du paradis pour me guider au porte d'or .

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Ce chapitre est plutôt court je trouve, vous m'excuserez de cela .

J'ai essayé de faire une chose distinct entre les pensés de Pucci et la discution entre lui et Dio.

Je vous love mes petite mauves  🏵

(La vie, n'est que le test abstrait de Dieu, pour nous permettre d'atteindre la vie suprême, le paradis) ceci étais une phrase que je devais placer mais je n'ai pas réussis mais j'avais quand même envie de la laisser.