Ce lapin quand, il sort de sa maison,
Il est sans cesse sur ses gardes,
Il veut parfois choisir la pendaison,
Pour éviter qu'on le regarde.
Son angoisse est dans un état critique,
Une fois dans la forêt.
Il avance le sourire angélique,
Car aucun loup ne l'attendait.
Alors il profitait de ce moment,
Avant de rejoindre les siens,
Car il savait qu'à n'importe quel instant,
Il pouvait rencontrer un chien.
A cet instant commence le cauch'mar,
Ou pendant toute une journée,
Il doit se cacher et fuir les renards,
Qui désirent le dévorer.
Et sous les yeux passifs des bergers,
Le lapin pleure à l'agonie,
Une fois de plus, il s'est fait manger,
Car les louves ont grand appétit.
Et un bon lapin est bien nourrissant.
Alors un seul rire de hyène,
Et tous les autres arrivent en courant,
Afin de déchaîner leur haine.
Loups, chiens, renards: tous sont au rendez-vous,
Il y a même les bergers,
Mais ils ne font rien et sont à genoux,
Devant le chasseur enragé.
Alors à lieu le combat ultime,
Entre un homme et un animal,
Où le lapin est de nouveau victime,
De railleries qui lui font mal.
Par conséquent, lorsqu'il rentre chez lui,
Tout le monde pense que tout va bien.
A toutes les questions il répond "oui",
Et sa famille ne voit rien.
Il choisit de tout garder, de se taire.
Ils ne veut plus être jugé
Et fuit tout le monde, même sa mère,
Qui n'a jamais rien remarqué.
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Fléau Humain
PoesíaCeci est un recueil où je publie mes poèmes. Ils sont à la fois provocateurs et défenseurs. Je publie mes poèmes au fur et à mesure donc le recueil n'est pas terminé.
