𝐉𝐔𝐒𝐍𝐀𝐓𝐒𝐊𝐀𝐈 ; the 100

52//C'est pas possible...

Shaw: Peut-être qu'elle ne comprend pas ce que tu dis.

Elle: Elle me comprend très bien, elle veut nous laisser croire le contraire pour qu'on parle librement et qu'on révèle quelque chose qu'elle pourra utiliser contre nous. À chaque fois que les patrouilles se parlent, elle regarde la radio. elle la prend dans ses mains. Elle suit nos mouvements, y'a que ça qui l'intéresse. Tu veux pas parler, très bien, ne dis rien mais on verra ce que tu feras quand on trouvera ceux que tu protèges. elle se lève et allume la radio. Changement de programme messieurs dames, on ne prend plus de prisonniers, tirez à vue. je serre les dents et lui lance un regard noir.

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C'est la nuit, Shaw me fait boire un peu d'eau. Lui, il a été sympa, il m'a soigné.

Shaw: Allez... ça te coûte rien de me dire ton nom. je ne répond pas. En tout cas, tu vas jamais me croire mais c'est la conversation la plus sympa que j'ai eu depuis plus de 100 ans. quoi ? J'étais un enfant de cœur dans une églises comme ça, dans une petite ville.

Il commence à me parler de sa vie d'avant.

Quand je serais libre, peut-être qu'à lui, je lui laisserai la vie sauve.

Dans la radio quelqu'un dit qu'il y a une personne qui est sorti et qu'ils la suivent.

Merde. Merde. Merde.

Moi: NON ! Il y a une enfant !

Elle: Cette fille parle.

Moi: S'il vous plaît...

Elle: Combien ils sont en tout ?

Moi: On est que trois, s'il vous plaît dites leurs de ne pas tirer sur elles.

Elle: Feu à volonté ! dans la radio.

Moi: Je sais où ils sont, y'a des pièges là bas. Écoutez moi, si vos hommes ne s'arrêtent pas immédiatement ils vont mourir un par un.

Shaw: Moi je la crois.

Moi: C'est la vérité ! Si vous les laissez tranquille, je vous dirais tout ce que vous voulez.

Elle: À toutes les unités, baissez vos armes. je souffle de soulagement. Un homme dit dans la radio qu'il a vu un piège. Revenez à la base, terminé.

Moi: Merci.

Elle: Et merci à toi d'avoir été honnête. Tant que tu continueras comme ça, tes amis dans la forêt resteront en vie et toi aussi. Je me suis bien fait comprendre ?

Moi: Ouais. elle se reçoit sur la chaise.

Elle: Ok, alors commençons. Racontes nous la fin du monde. je respire un bon coup.

Moi: La quelle exactement ?

☾

J'ai à peu près raconté le plus important. J'ai l'impression d'être Murphy quand on était à la navette et que l'Arche n'était pas encore arrivé. Quand les natifs l'avait ramené pour nous infecter avec le virus de la fièvre hémorragique.

Je continue mon récit mais la radio s'allume.

...: Diyoza, on a trouvé cinq ennemis, y'en a au moins un qui est armé. On les laisse s'échapper ceux là ?

Quoi ? Mais comment c'est possible ?

Diyoza donne l'ordre à ses hommes de rester en stand bye et à d'autres d'aller les voir.

Diyoza: Je t'avais pourtant dit de ne pas me mentir.

Moi: J'ai pas menti, je sais vraiment pas- elle me frappe.

Diyoza: McCreary ? Emmène la dehors et mets lui le collier.

McCreary: J'attendais ça avec impatience.

Shaw essaye de la dissuader mais elle dit aux autres de tuer quatre des personnes qu'ils ont trouvé.

McCreary me met un collier puis me détache et me jette dehors. J'essaye de retirer le collier mais je n'y arrive pas.

McCreary: Si j'étais toi, je ferais pas ça. Tu pourrais te brûler les doigts.

Quoi ?

Il appuie sur un bouton et le collier m'électrocute me faisant tomber. Les gens qui étaient autour encouragent McCreary. Je rampe au sol pour partir mais il recommence à m'électrocuter.

Diyoza: Encore une fois. il recommence.

Je vois les phares du 4x4 arriver.

Moi: Clarke... non...

Diyoza: SORTEZ DE LÀ LES MAINS EN L'AIR !!

Je distingue une personne, un homme descendre et le 4x4 repart.

...: Je suis pas armé ! Je veux simplement parler. en entendant cette voix quelques larmes roulent le long des mes joues.

C'est... c'est pas possible...

Diyza: Parler ? Donne moi une raison de ne pas te tuer tout de suite.

...: Et si je vous en donnais 283 ? C'est le nombre de vos hommes qui mourront si vous et moi on ne trouve pas d'arrangement. il montre une tasse comme preuve.

C'est vraiment lui...

Diyza: 283 vies contre une seule ? Elle doit être sacrément importante pour toi.

Il s'approche et grâce à la lumière des phares, j'arrive à voir son visage.

Bellamy: Elle l'est.

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• "she is"😍
•Li🍃