Français

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( The  English version is the first chapter )

Disclaimer : JK Rowling

Attention : légère mention de violence sur enfant

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Les familles Malfoy et Parkinson se connaissaient bien avant que leurs héritier.e.s ne soient né.e. Les enfants se connaissaient depuis leur première fois en dehors de leur maison.

Ils se parlaient, plus parce que tout était mieux que l'ennui que parce qu'ils se sentaient connectés d'une façon ou d'une autre.

Cela changea quand ils eurent 6 ans.

Draco se demandait où était la petite fille. C'était une de ces rencontres-pour-les-convenances et c'était la première fois que Draco était seul. Il s'assit dans le living room pour aussi longtemps que la rencontre dura. Il avait chercher la petite fille partout. Le petit Malfoy savait qu'elle avait l'obligation de venir autant que lui.

Il pensait l'avoir vu à un moment ; mais l'eclat de cheveux noir disparu aussi vite qu'il était apparu, et quand il vérifia le hall d'entrée, il était vide.

Elle était là la fois suivante. Petite fille dans une robe verte trop chaude pour la saison, les cheveux étonnement courts.

Draco n'osa pas demander, mais elle répondît a sa question silencieuse tout de même.

« - Je les ai coupés.

- Mais pourquoi ?

- Parce que « Tu as les même cheveux que ta mère » et je déteste ça.

- Tu détestes tes cheveux ?

- Non. C'est elle, que je déteste. »

Draco resta silencieux. Elle osait dire une chose pareille ! C'était impressionnant. Vraiment stupide, et dangereux. Mais impressionnant.

C'est à ce moment que Draco décida qu'ils seraient amis. Même si c'est pour les faible : parce que Pansy avait l'air forte, regardant droit devant elle même si Draco savait pourquoi elle portait des manches longues en plein été et pourquoi elle ne pouvait pas marcher correctement. Il lui sourit et elle répondit joyeusement.

« - J'aime ma maman. Elle me lit des histoires le soir, même si ça devrait être le travail des Elfes.

- Et ton papa ?

- C'est... mon père.

- Ouais. Je comprend. C'est ma mère, aussi. »

Et Pansy décida qu'ils seraient amis. Qu'elle allait protéger ce petit garçon qui regardait son père avec de la peur dans les yeux. Elle le protégerais de son père et de toutes les blessures. Parce que Pansy était forte, plus forte que tout et tout le monde.

Quand les plus-si-petits adolescents s'assirent sur le lit de Draco, bien des années plus tard, ils ressentirent à nouveau ce qu'ils avaient ressentit ce jour là.

Draco regardait Pansy pleurer, immobile non pas parce que c'était la première fois qu'il la voyait pleurer mais parce qu'elle avait l'air si fragile qu'il ne savait pas quoi faire. Le sort de silence et les rideaux tirés les coupaient du monde extérieur, alors le garçon blond ouvrit maladroitement ses bras à la brune, en sentant des larmes se former dans ses yeux.

« - Qu'est-ce qu'il se passe, Pansy ?

- Je ne peux pas. C'est trop... je veux prendre ma baguette, un sac d'argent, toi et m'enfuir quelque part ou personne ne me connaîtra.

- Je suis désolé, Pans'. On le fera. Je viendrai avec toi. Quand la guerre est finie...

- Je veux partir maintenant ! Je ne veux pas faire la guerre ! Nous sommes des enfants, Draco !

- Je suis désolé ! Je suis désolé. Je veux partir aussi. Excuse moi.

- Ce n'est pas ta faute. Hey, tu sais comment je me sens ?

- Comment tu te sens ?

- Je me sens comme ce jour, quand on étaient petits. Quand je me suis coupé les cheveux. Je me souvient avoir regardé la poignée de la porte tourner, et la peur que j'ai ressentit. Puis ma mère est arrivée et elle s'est mise à hurler mais tout ce que je pouvais voir était mes cheveux sur le sol et je me suis sentie tellement... libre. J'avais peur. J'ai cru que j'allais mourir. Mais hey, plus personne ne pourrait dire que j'avais les cheveux de ma mère.

- Je m'en souvient. Je t'avais cherché toute la journée, me demandant comment et pourquoi tu pouvais ne pas être là. Et puis je t'ai vu et la première chose que j'ai pensé, c'est que tu était plus belle comme ça.

- Vraiment ?

- Oui. Tu avais l'air forte aussi. C'est ce jour là que j'ai décidé qu'on serait amis.

- Moi aussi. Je ne le regrette pas.

- Moi non plus. Hey, préparons notre fuite. »

Ils parlèrent bien après que la lune soit haute dans le ciel, préparant une vie ou personne ne les connaîtrait, dans les bras l'un de l'autre. Ils essuyèrent les larmes sur leur joues et se promirent qu'ils survivraient à cette guerre. 

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Voilà ! Merci de m'avoir lu. Vous pouvez laissez un petit commentaire si vous voyez une erreur comme je n'ai pas de bêta pour la version française ou si vous voulez simplement donner votre avis ❤️

- Liam, en direct d'italie pour vous servir !

Hair Cut and BondWhere stories live. Discover now