Moi : wesh ? D' ou je men fou de ça vie ?? Il est mort comment.

Rafik : il sais fais écrasé elle crois que c'est toi qui a envoyer des gens parce que zehma elle avais dis c'était ton fils.

Moi : mdddr elle est où ? Je vais la tué.

Rafik : je men suis occupé. Je l'ai renvoyer chez elle. C'était une femme blessé.. meurtri par la perte de son enfant.

Moi : j'en ai rien à foutre. Elle a touché ma femme. Rayan même moi !! Elle ma tirer dessus ! Comment je laisse passer ça ???

Rafik : tu n'as pas d'enfant tu peux pas comprendre.

Je voulais parler mais j'étais trop mal. Je préférais m'économiser

Rafik : repose toi.

Moi : ramené moi,

J'ai regardé le père d'amine qui m'avait soigner jusqu'à la.

Moi : viens chez moi. Hachik faire mes soins je veux dormir la bas.

Son père : ok Je viendrais matin midi soir. Mais tu dois resté allonger. Ce n'est pas une blessure légère ! J'ai fais se qui avais à faire mais tu dois bien prendre tes médicaments ton coeur est faible.

Moi : merci pour tout.

J'ai regardé mon frère rafik en lui tendant mon bras.

Moi : aide moi, ramène moi.

Rafik : Rahim... t'es encore mal .. Je crois pas que-

Moi : je veux pas laissé Shara toute seule. Elle aussi elle est blessé.

Rafik : il l'on laissé sortir.

Moi : mohim rafik hachik.

Il a soufflé une seconde est ma aidé à me lèver et à mettre une veste je pouvais pas déplié mon bras.

J'avais la tête qui tournais de ouf.

Je prenais sur moi pour pas tourné de l'oeil. Arrivé dans la voiture, j'étais en sueur.

Moi : pose moi à la maison et ramène la je vais pas supporté trop de route.

Rafik : oh c'est pas je reviens avec Shara t'es mort.

Moi : mais nan

Je me suis posé la tête dans le siège ko.

Un peu plus tard rafik ma secoué le bras.

Rafik : on est chez toi. Vien.

Il ma à nouveau aidé à monté , il ma posé sur le lit, à côté il a posé mon sac de médicament sur la commode.

Moi : merci mon frère.

Rafik : je reviens !

J'ai posé ma tête contre l'oreiller ma douleur elle se réveillait. Je luttait contre le sommeil pour la voir.

Mais c'était trop dur. Je me suis endormie.

J'ai senti la converture se tirer contre moi, j'ai ouvert les yeux.

Moi : c'est toi Shara ?

Shara : je suis la c'est moi.

J'ai tourné la tête, je l'ai vu. Enfin je voyais ces yeux... cette silhouette. J'ai vu ça bosse sur le front... miskina.

J'ai serré ma lèvre entre mes dents.

Elle sais agenouiller prêt du lit. Ça tête contre ma main ces yeux rougis par les larmes.

Chronique : L'AMOUR A DES DENTS ET SES MORSURES NE GUÉRISSENT JAMAIS Where stories live. Discover now