Une seconde chance en amour

C H A P I T R E 25

PDV OLIVIER

Début avril à pointer le bout de son nez et Jade commence à se poser des questions sur l'absence de sa mère. Sara elle est à fond dans le cas des deux jumeaux et veut absolument trouver une solution je l'épaule au maximum en m'occupant des filles. Je suis d'ailleurs dans le jardin à faire un petit foot avec Allie tandis que Jade est dans le trampoline.

-Comment tu fait ça? elle me demande.

-Attend je vais te montré.

Ce que j'adore avec Allie c'est qu'elle est toujours en train d'essayer de comprendre des nouveaux mouvements et elle les apprends toujours très vite.

-Tu ne voudrai pas en refaire? je lui demande.

-Non.

-Pourquoi?

-Parce que je n'arriva pas suivre.

-Allie je n'y crois pas une seule seconde tu sais parfaitement jongler entre les deux.

-Olivier s'il te plaît.

-Ça reste entre nous tu sais que tu peut nous faire confiance.

-Je te promet que c'est pour les cours et rien d'autre.

- Et bien je me crois pas.

-Papa? Dis Jade en m'appelant.

-Oui ma puce?

- Elle est où maman?

-Je rentre. Dis Allie.

-On va aller s'asseoir il faut que je te parle.

Comment dire à une petite fille de 6 ans que sa mère c'est tirée? Je suis dans la merde.

-Alors elle est où maman?

-Ta maman elle est parti dans un pays très très loin.

-Elle reviens quand?

-Elle ne reviendra pas.

-Mais j'ai besoin d'elle.

-Jade...

-Non tais toi je te déteste! Elle cri avant de partir en courant.

Je soupire et me met la tête dans mes mains, très vite un bisous ce claque sur ma joue et me prend dans les bras.

-J'ai tout foirer! Je dis à Sara.

-Mais non mon cœur, c'est normal elle ne comprend pas tout.

-Tu peut aller la voir? Je ne sais pas quoi lui dire.

-Oui j'y vais de suite.  

-Dis lui que je l'aime, putain je la déteste comment elle peut me laisser comme cela.

-Je sais mon cœur je sais elle s'en voudra je l'espère qu'elle va se rendre compte de ce côté de quoi elle passe. 

PDV SARA

Jade est dans son lit la tête sous l'oreiller en train de snagloter. 

-Va t'en papa! 

-Ça tombe bien ce n'est pas papa, c'est moi. je dis en m'asseyant à ces côtés. 

Elle quitte son oreiller et se jette dans mes bras, ou elle se remet à pleuré.

-Calme toi Jadou, calme toi.