Ellena

Trois

Ma mère,  c'est tout ce que j'avais.
C'était la seule personne qui me comprenait, qui était là pour me soutenir dans les moments difficiles et rire avec moi dans les moments joyeux.
Elle ne sortit pas, mais elle avait ses raisons. Mon père a disparu il y a deux ans. Au départ, elle sortait car s'était ce qu'il aurait voulu. Mais les gens là regardait avec pitié et ne lui dise que "Désolé" ou "Toute es condoléances". Alors, comme elle déteste la pitié des gens, elle a laissé les gens de côté pour se consacrer à la lecture, passion de mon père et au tricot, sa passion.

On avait nos routines. Je me chargeait des achats et elle faisait le repas et nous créez nos vêtements.
Pendant le dîner, je lui parlait des potins et elle me résumait ses livres.
Ses livres...
Une fois qu'elle les avaient finis, elle me les donnait. Je les lisaient au parc puis les donnait à la boulangère.

Elle avait de longs cheveux roux. Moi, j'ai hériter de ses cheveux mais je les portes courts. Tout les soirs, je les lui brosses et les lui coiffés, comme au bon vieux temps où je la préparait pour ses repas avec mon père.

Je sèche mes larmes. Mes parents voudraient que je sois forte et que fasse Côme si ne rien n'était.
Mais je ne vais pas obéir.
Pour une fois.
Ce que je vais faire, c'est trouver ceux qui sont à la cause de ses disparitions.
Et je les tuerais...