Confession

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De nature triste parce que je l'ai voulue d'une part. Mon paradoxe

Il y'a une indécision dans ma tête, un désarroi

qui me pousse à agir sous des pulsions.

Il y'a des choses bonnes que volontairement, j'ai choisi de radier.

Ma personne est là mais si faible qu'elle se laisse guider

Par sa honte naturelle, sa timidité, sa froideur.

Elle se cache du monde, faisant de moi un éternel copieur.

Rares sont les fois où je fais ce que je veux.

Il y'a toujours une idée qui échappe même à mon subconscient et qui finit par me guider.

L'âme indépendant et le corps sans maître

Succombe à ses désirs, il est acharné du matériel

et du plaisir éphémère qui demande pourtant tant de sacrifices.

Vide de l'intérieur c'est de loin que ma personne écoute le monde.

Tout ce qui s'y passe l'effraie, sidéré sa force baisse, encore et encore.

Son espoir est piétiné, bafoué par ce qui est autrui.

L'enfer est en lui, parce que son problème c'est lui.

Bizarre mais réel, pour me sortir de là, il me faut une chose.

C'est sous la douleur que j'alligne mes mots.

Je voudrais bien aussi le faire sous la joie.

La force est un caractère, malheureusement j'ai perdu le mien.

Il vague des choses, beaucoup de choses en moi cependant je n'arrive pas à en attraper.

Mon visage est celui qu'ils voient mes mots sont ce qu'ils entendent

Mais cela n'a rien avoir avec moi. Comme je l'avais dit ,

Je ne vis que de mon souffle. En réalité dans moi, n'existe plus rien.

Confession

Dans ma têteWhere stories live. Discover now