L'attaque De Calakmul

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Zil'koul était un maya grand et muscluleux. Il vivait dans la cité de Calakmul, une grande cité dont le roi s'appelait Kala-zuk. Zil'koul avait 20 ans et était un proche de la famille royale. Il était un citoyen plus riche que les autres vu les cadeaux que lui fesaient le roi. Il avait des yeux et des cheveux noir. Tous ce qui le rendait différent des autres citoyens était sa richesse et sa grosse hutte. Il avait un tatouage qui représentait un jaguar, soit son surnom, donner pour sa férocité devant l'ennemi. Zil'koul avait une femme et deux enfants. Le père avait aussi un champ de maïs.

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Ce jour là, Zil'koul travaillait dans son champ de maïs. Das'zak, le dieux de la pluie n'était pas généreux cette semaine là. Il fesait très chaud et les plants devenait sec: les feuilles était devenu d'une couleur sombre et rugueuse. Pendant que sa femme cueillait du maïs, ses deux fils, Konica et xann, l'aidait à arroser le champ.

- Il fait chaud aujourd'hui! dit zil'koul dégoulinant.

- Oui, je ne suis pas sûr que... Haaa!

C'était sa femme qui avait crié comme sa! Il regarda ou elle se trouvait un instant plutôt, mais on le poussa par terre, comme c'est deux fils.

- Papa, maman! Qu'est qui...

Mais on leur coupa la parole.

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On les emmena au centre de la cité, ou que l'on avait rassemblé d'autres citoyens qui avait été surpris par l'attaque. Ils n'avait qu'un seul soldat qui les surveillait et zil'koul était juste à côté de lui. L'agriculteur n'avait pas l'intention de se laisser faire, bien au contraire. Il s'avança, comme si de rien n'était.

- RETOURNE AVEC LES AUTRES! lui hurla le soldat.

- non.

- Alors je vais t'obliger à y aller!

Le soldat essaya de le pousser vers les autres mais l'homme, qui voulait rester libre, lui assena un coup de pied dans le ventre, ce qui le fit plié en deux. Zil'koul lui arracha la lance et la lui rentra dans le ventre. Avec les force qui lui restait, le surveillant souffla dans un tune de bois qui fit un bruit aiguë. Il avait sonné l'alarme! Une vingtaine de soldats arrivèrent au pas de course. Le jaguar (surnom de Zil'koul) fut obliger de fuir. Il ne pourrait pas résister longtemps contre vingt soldats. Un homme, sûrement le chef, décida qu'il était temps de partir et qu'il avait fait assez de prisonnier.

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Le passage suivant peu être choquant.
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Zil'koul assista, les larmes aux yeux, aux départ forcé de sa famille.

- Non! Je ne quitte pas ma famille tant que je serai vivant! cria-t-il aux soldats.

- C'est ça, et quoi encore. lui dit le chef, tu veux que je t'égorge vif, devant ta famille?

Il avança avec son couteau d'obsidienne, geste que Zil'koul n'apprécie pas. Le mercenaire l'attrapa et mis son couteau devant sa gorge.

- Papa! Entendit-t-on.

- Faites le taire, cria le chef.

- Non!

Zil'koul n'était plus capable de supporter les cris de son fils. Il réussit à attraper le bras de son ennemis et le tourna, ce qui arracha un cri de douleur au chef de l'armé. Plusieurs soldats se joignirent à leur chef. Le rebelle dû battre en retraite.

- Je le déteste! dit le chef.

- Maintenant, tu sait pourquoi qu'on m'appelle le jaguar.

Au Temps Des Mayas-La Grandeur D'un MondeOnde histórias criam vida. Descubra agora