Chapitre 9

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Pdv Kageyama

Après que mon lié soit retourné dans son village je me retransformai et partit chasser, une fois ma proie mangée je retournai en direction de ma tanière, repris alors forme humaine et m'habillai de façon décontractée. J'attendis alors jusqu'à ce que la nuit soit tombée et je le vis alors arriver tel une lumière perçant les ténèbres je pouvais sentir mon cœur s'emplir de bonheur mais je pouvais également sentir celui de Hinata, même si j'aurais rencontré des tas de louves plus jolie les unes que les autres je n'aurai voulu posséder que ce magnifique rayon de soleil. Il me rejoignit et nous nous assîmes l'un en face de l'autre et alors que j'étais prêt à tout lui raconter la douleur en moi m'en empêcher, je ne le vis même pas s'assoir à côté de moi jusqu'à se que je sente sa main se poser sur la mienne je ne tardai pas à la serrer, ce geste atténua la douleur qui s'était emparée de mon cœur.

Je pris une profonde inspiration et commença à lui raconter comment mon clan et moi vivions heureux jusqu'à ce que les hommes viennent et ne détruise toute ma famille ainsi que la froideur avec laquelle ils avaient abattu devant mes yeux ma jeune sœur qui venait tout juste d'effectuer sa deuxième transformation et qui ne pouvais pas encore se défendre, je lui expliquai aussi la rage meurtrière dans laquelle j'était entré tuant tous les chasseurs qui se trouvaient dans les bois à ce moment-là. Alors que je revenais à la réalité, je l'entendis pleurer il pleurait pour moi qui n'avait plus de larmes après avoir tant pleuré ce jour-là ainsi que les jours suivants, je dirigeai alors ma main vers sa joue et essuya ses larmes je l'appelai par son prénom pour qu'il tourne son visage vers le mien. Un seul mot s'échappa d'entre ses lèvres, il s'excusait pour ce que ceux de son peuple avait fait au mien je lui dis que ce n'était pas de sa faute.

Je voulais tellement lui faire comprendre que je ne ressentais aucune haine ni envers lui ni envers Natsu, ne sachant pas comment le lui faire comprendre je sentis mon loup prendre un peu le dessus et finalement je lui dis ces trois petits mots qui rendraient heureux n'importe qui, je ne lui laissa pas le temps de répondre que je posai mes lèvres sur les siennes – elles étaient sucrés et douces – je le sentis répondre. Se baiser était doux et rempli d'un amour sincère que rien ni personne ne pourrait briser. Nous reculâmes afin de reprendre notre souffle, je le regardais d'un amour inconditionnel on se promit tous les deux de ne jamais nous séparer quitte à ce que nous partions loin de se village sans pour autant oublié de revenir voir Natsu, ce soir-là Shoyo et moi scellions notre amour.

Le lendemain matin, je m'étais réveillé tôt pour ainsi pouvoir admirer mon humain je lui caressai doucement les cheveux puis son visage endormi, je le vis alors ouvrir doucement ses magnifiques yeux doré et ne pu m'empêcher de lui sourire, sourire qu'il me rendit murmurant un petit bonjour endormi. Je l'embrassai tendrement et reculai à ce geste j'eu droit à un grognement d'insatisfaction me faisant comprendre que mon soleil en voulait plus, je le réembrassai et je sentis alors ses bras passer autour de mon cou m'attirant contre lui je passai également mes bras autour de sa taille et me collai à lui. Après de nombreux baisers et câlins tendres ou sauvages, nous partîmes nous laver dans un petit lac caché par de nombreux buissons épineux, puis je raccompagnai Shoyo jusqu'à l'entrée de la forêt, on s'embrassa encore une fois puis je le regardai partir dans son village en sautant partout ce qui me fit rire.

Nos petits rendez-vous continuèrent de nombreux mois et une année venait de s'écouler nous avions tous les deux parler de nous enfuir du village, nous aurions très bien pu partir en pleine nuit après avoir fait nos adieux à Natsu mais Shoyo m'expliqua qu'il ne voulait pas faire de la peine à sa mère c'est ainsi que nous décidâmes que cette nuit – comme son père était absent – je viendrais chez lui afin de me présenter à sa mère et de lui demander l'autorisation de partir et ainsi faire nos adieux. C'est ainsi que chacun de notre côté nous étions stressé et impatient d'être ce soir

Mon loup/Mon humain à moiМесто, где живут истории. Откройте их для себя