Opération NigthMare

1-Le cauchemare de la cote est

Jonh Robert , éclaireur mércenaire
À proximité de San Francisco , Californie
22h14
16 Mars 2056

Il fait nuit , une nuit douce avec une pleine lune resplendissante qui est la seule source de lumière si on oublie l'incendie titanesque qui dévore San Francisco au loin , malgré cela il fait plutôt sombre .
Je suis allongé sur le ventre dans le creux d'une dune , mon fusils de précision M40A5 en face de moi , à 150 mètres environ se trouve un avant poste du partie présidentielle ( les états qui se sont rangés du côté du président et de la démocratie ) et dérrière moi se trouve quelque 150 soldats du parti rebelles .
À en juger par la taille de l'avant poste ( environ 1 km² ) 150 ne suffiront jamais pour le capturer mais les rebelles pensent qu'avec l'effet de surprise et moi nous avons une petite chance de mener a bien la mission . Personnellement je pense que nous n'avons aucune chance mais je suis ici pour ma paylle et rien d'autre .
Je demande à un soldat de venir à côté de moi , se qu'il fait et je lui confit un détonateur et je lui dis :
– À mon signale tu appuis .
Il oche la tête . Cela fait maintenant 30 minutes que nous sommes là sous prétexte que j'observe la zone mais en vérité j'ai fini mon observation depuis 15 minutes et je cherche une solution de repli pour m'enfuir au cas où la mission dégénère . Je repére donc plusieurs véhicules à l'autre bout du camp. Je passe l'oeil dans la lunette de mon fusils et je vise la tête du garde au sommet du mirador centrale et je commence le décompte :
– 3 ... 2 ... 1...GO !
Le soldat appuis et une explosion retentit de l'autre côté du camp dans le champ de mines , je tire au moment de la détonation la balle perse la tempe du garde qui s'écroule mort , je crie aux soldats :
– À L'ATTAQUE , ALLER  ALLER !
Les soldats se lèvent et cour dans le no man's land en hurlant . Les gardes des deux miradors , aux extrémités du camp ouvre le feu sur les rebelles , je tue le garde de droite puis je vois le garde de l'autre mirador qui après avoir vider son chargeur recule et s'apréte à alerté le reste du camp , je tire une première balle dans son dos l'empêchant de hurler et je l'achêve d'une deuxième balle dans la tête .
Les rebelles arrivent enfin au grillage et le font tomber trés vite .
À travers la lunette de mon fusils je peux voir les rebelles abattre des soldats désarmé , il y a maintenant plus de 20 rebelles dans le camp .
Puis après avoir tué une dizaine d'hommes un garde , posté sur le mirador à l'opposé du camp repère les intrus et , avant que je ne puisse tirer il hurle :
– ALERTE ! ENNEMIS REPÉRÉ ...
Il n'a pas le temps de finir que mon tire le touche à la gorge .
Il y a maintenant plus de 50 rebelles dans le camp .
Au loin je vois se dessiner les silhouettes d'une dizaine d'hommes ennemis revenir du champ de mines d'où s'étende des flammes qui commence à se répandre sur les dunes et dans les herbes sèches .
J'estime leur qu'il sont à une distance de 350 mètres et en prenant en compte la vitesse à laquelle ils courent je n'aurai le temps que d'en toucher trois .
Je prends également en compte la retombée de la balle , vise un tous petits peu au dessus de son torse ( sur une cible mouvante toujours viser la partie du corps la plus grosse : le torse ) , je prend une grande inspiration et ... je tire , m'a cible tombe au sol , je réarme mon arme vise un autre homme , inspiration , tire , cible touché , au suivant , inspiration ... tire et un la dernière balle de mon chargeur touche le troisième homme en pleine poitrine .
Il y a maintenant plus de 120 rebelles dans le camp .
Je recharge mon fusils de précision puis obsèrve les combats .
Je tue deux hommes supplémentaires puis sûr que les toits des bâtiments préfabriqués sont désert , je me lève range mon arme dans mon dos , je mets mon casque , mes lunettes de protection , mon foulard pour cacher le reste de mon visage et épaule mon fusils d'assaut ACE23 et sort des dunes à découvert .
En quelques minutes j'atteind le camp , j'enjambe le grillage au sol et à peine rentré dans le camp que l'odeur de sang et de poudre m'attaque à la gorge.
Il reste à peu près 110 rebelles dans le camp .