Chapitre 8

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Dans la salle à manger :

- Les murs ont des oreilles , nous en reparlerons dans l'aile qui nous est réservés .

- C'est maintenant ou jamais et je ne dormirai pas avec vous !

- Soit alors je choisis jamais .

- ...

- Maintenant que nos assiettes sont vides que dirais-tu de visiter nos appartements .

- Je ne-

- Ce n'était pas une question maintenant venez .

Son ton était dur et je préférerais me faire tuer par Bellatrix que d'avouer qu'il m'avait fait peur .

Nous sommes passés par beaucoup de couloirs et nous n'avons croisé personne c'était bizarre.
Les lieux étaient riches mais le tout assez sombre , les tableaux représentaient des décors étranges , les murs et les plafonds étaient noirs et la seule touche de couleur était le tapis sans doute en velours rouge .
À la fin du couloir nous sommes arrivés devant une porte simple et nous sommes entrés .

- Je vais te laisser , surtout ne sort pas .

- Pourquoi ? je risque de me faire tuer par un de vos sbires ?

- Exactement .

- On est dans " nos appartements " non ?

- Plus sérieusement je protège juste mes " Sbires" de toi .

- De moi ? Charmant...

- Oui de toi as-tu remarqué ta façon de réagir depuis que tu es ici ? Tu es presque apathique .

- Si vous le dites .

- Je ne veux pas que pendant ton retour à la réalité que tu n'en tue un .

- J'avais compris .

- Si tu le dit .

- Vous n'aviez pas un truc à faire ?

- Je dois te laisser .

Il partit sur ses mots .

Cette pièce est lumineuse , trop lumineuse j'ai mal à la tête.
Depuis que je suis ici je me sent étrange , mes sentiments sont comme bloqués et je n'arrive plus à réagir normalement. C'est comme quand oncle Vernon me frappe beaucoup trop , mon corps est comme paralysé et j'ai du mal à respirer après tante Pétunia se force à me soigner car oncle Vernon ne veux pas m'emmener de peur que le médecin ne découvre tout les coups et les marques et autres mais ma tante Pétunia a suivi une formation d'infirmière donc elle me soignait comme elle pouvait mais pas trop pour pas "gaspiller" comme elle dit .

Maintenant que j'y pense le mage noir ne m'a toujours pas dit pourquoi il voulait me tuer , s'il ne l'a pas encore fait c'est sans doute parce que je suis son âme sœur mais le problème est que je ne ressent rien pour lui. Quand nous parlions j'ai essayé de crier mais je n'ai réussi qu'à parler un peu plus fort comme si mon corps ne voulais pas faire ce que je voulais ou qu'autre chose le contrôlait.

Je partis m'allonger sur le canapé posé à côté de la bibliothèque et je m'endormis sur ses dernières pensés.

Je veux une vie (EN MODIFICATION)Where stories live. Discover now