un enfer infernal

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Je me sentais toujours faible. J'avais l'impression de trainer une tonne. À me voir on aurait dit une morte vivante la petite femme qui prenait soin de moi était revenu.

Moi: aider moi à me lever
Elle : bouge pas
Moi : comment vous appelez vous ?
Elle : flore, Oni  t'en fait pas mémoire va venir peu à peu. C'est normal tu es tombé de deux escaliers !
Moi: quoi je ne me souviens pas avoir eu un quelconque accident !

"Alors là je perd la tête pour de vrai. " Me suis-je dit. Je j'hallucine pas je me souviens clairement de tout ce que j'ai fait avant de m'être réveiller dans ce cauchemar. L'homme qui me disais tout le temps que je n'étais pas à ma place et le bracelet...
Je vérifie ma main gauche et elle y était toujours. Peux être que si je l'enlève et m'endorme tout celà sera derrière moi? Si je n'avais pas portais ce bracelet peut-être que je serais en ce moment chez moi à me reposer et non à subir ça. Le nazi me terrorise ! En plus de ça leur accoutrement... Mon Dieu! Je ne veux pas poser la question parce que je ne veux surtout pas savoir.

Moi: on est.... quel jour ?
Elle: vendredi du mois... Hum...septembre... Oui septembre
Moi : vous... Tu n'as pas compris ma question... Euh... L'année... L'année je veux savoir dans quelle année sommes nous
Elle : ( elle réfléchit) je sais pas. J'ai pas étudié! Finit-elle par dire.  Toi pourquoi tu demandes?
Moi : s'il te plaît cherche à connaitre l'année!
Elle : folle! Madame va me tuer ! On a pas droit à ça !
Moi : les femmes ou nous juste toi et moi!

Elle me fait signe de la main en le pointant vers moi et elle même pour que je comprenne.
Je regarde le bracelet de nouveau : j'en suis presque sûr c'est le bracelet.

                  ★★★★★

Deux jours que je suis sans le bracelet.
Et deviner : toujours rien. Je suis boniche à tout faire dans ma propre maison. Le pire est que "madame” prend du plaisir à me torturer, heureusement pour moi “monsieur” ne s'y met pas. Je ne connais pas encore leur vrai nom mais j'entends “madame ” appeler “monsieur” par Von Derson.
Les jours passent et plus je cherche à comprendre plus je me fait tabasser par le grand corrigeur de la maison c'est le bras droit de Monsieur VonDerson mais cela ne me décourage pas pour autant. Demain c'est la journée de Monsieur, il invite des collègues. J'ai le droit de parler que quand on me demande. Et croyais moi ma langue ne se trouve pas dans ma poche.
J'avais terminé la journée fatigué comme d'habitude sur l'horloge il était 20h 35mn. On avait déjà tout préparer pour le café de Monsieur et Flore est montrée lui rapporter tandis que je pars me coucher. Je m'étais déjà mis en pyjama quand on frappait à ma porte.

Moi : Qui est ce ?
L'inconnu : C'est Flore! Le patron te demande dans sa salle.
Moi : je me suis mise en pyjama et...
Flore : Arrête tout et va répondre après tu peux dormir ne fait pas attendre Monsieur il est en colère!

Je ne portais qu'une longue robe blanche parmi tout ce qu'ils me donnent comme vêtement je n'ai même pas le droit de sortir de la maison.
Je ferme ma porte pour aller le trouver sur ce qui devait être mon bureau de luxe transformer en salon. Une fois au niveau de la porte je frappe.

Lui : oui!

J'ouvre et entre

Lui : approche !

Il est sur le canapé en cuir l'unique de la pièce à droite de la porte

Lui : comment vas ta tête ?

Il me paraît bizarre mais je ne dis rien

Lui : Tu n'as plus de bouche pour parler Oneira !

Pourquoi ils me connaissent si bien alors que je ne sais rien d'eux.

Moi : Bien merci
Lui : très bien. Demain j'ai une rencontre et je veux que tu te tiennes bien ! Puis je compter sur toi pour cette fois ?

Briser Le SortilègeWhere stories live. Discover now