J'attrape alors aussitôt ses hanches et la fait basculer de sorte à ce que nos visages se frôlent. Elle sourit après m'avoir déposé un petit baiser pour ensuite se redresser. Et elle s'est mise à commencer la propagande. Elle bouge lentement ses reins puis maintient l'allure sur mon pénis. Quelle déesse, ses mouvements sont synchronisés, j'ai la barre je ne sais plus me contrôler. Sincèrement je ne peux plus tenir, il faut que j'y aille putain.

Je l'attrape avant de l'embrasser et j'y entre, certes en douceur mais j'y suis. Je la trouve toujours autant jolie même une fois en elle. J'accélère et canalise mes allers retours en fonction de son corps. Elle suit parfaitement la cadence, je l'entends soupirer à chaque coups donnés, mes souffles résonnent en chœur avec les siens. J'essaye d'être attentif à ses réceptions, ses moindres gestes et paroles.

Mais je suis trop concentré à la mettre bien. À ce qu'on prenne tout deux notre pieds. Mes va-et-vient se font de plus en plus rapides et crus. Ses ongles s'enfoncent peu à peu dans mon dos, elle s'agrippe à tout ce qu'elle peut, l'oreiller, le drap, mon épaule. Je la regarde en passant ma main dans ses cheveux pour lui demander si elle souhaite que je ralentisse.


-   Tu veux j'temporise?

-   Co... con...



Je ne l'ai même pas laissé terminer sa phrase, elle ne voulait pas que je m'arrête et que je continue ainsi, c'est alors ce que j'ai fait. Elle endosse bien la petite Rita, j'aime ça fort. Son téléphone comme le mien a sonné plus d'une fois mais cela ne nous a jamais interrompu. Nous étions dans notre bulle où il n'existait qu'elle et moi. Rien ni personne d'autre.

Elle jouissait d'une manière tellement sexy, je voulais la prendre dans tous les sens et que cette séance ne prenne jamais fin. Sauf que ma queue n'était pas du même avis, elle désirait une pause, un petit moment de répit.

Il fallait que je me retire avant de cracher en elle, on ne s'était pas protégé. J'avais pas la tête à ça, ma bite était déjà ailleurs. On a déconné. Je ne me suis pas retiré à temps. Rien à foutre, c'était ma baise la plus vraie.

Elle s'est mise à soupirer tout en cherchant à retrouver le rythme de sa respiration. Je l'ai regardé se lever, l'allure, le déhanché de ses fesses me donnait envie d'un second round.

Elle a attrapé son paquet de cigarettes et
m'a zieuté avant de se prendre une clope. 



-   Je peux fumer dans ta chambre?

-   Vas y.

-   Merci.



Toujours à poil, elle s'allume sa garrot non loin de la fenêtre. Quant à moi, je relis brièvement les messages que j'ai reçu avant de déposer à nouveau mes yeux sur elle. J'attrape à mon tour un reste de joint qui était sur ma table de chevet. On fumait chacun de notre côté sans dire un mot sur ce qui venait de se passer. J'ai été la rejoindre, dos à moi, je l'ai retourné pour y passer mes mains sur son visage. Je ne sais pas par quel esprit j'étais habité. Je ne me reconnaissais pas du tout.




-   T'es magnifique.

-   Je... t'es défoncé c'est ça? dit-elle surprise

-   Nan. Je le pense vraiment.

-   Merci l'Alc...

l'alchimiste Où les histoires vivent. Découvrez maintenant