24 février 1774

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Depuis des semaines je passe mon temps à m'entraîner pour devenir plus forte. Une femme quasiment indestructible par l'ennemi.
Dehors je m'auto évalue sur mes capacités. Mais je ne suis pas encore prête.
J'ai parler au vieux Achille et m'a confier quelques-unes de ces techniques infaillibles. Les techniques qu'il utilisait quand il était encore un assassin apte à marcher convenablement. Sans ressembler à un vulgaire canard boiteux. Je les mettrai en œuvre mais avant il va falloir les travailler. Elles pourront m'aider lorsque je serait dans la plus grosse des merdes, sans l'aide de personne. Enfin, je suis toujours dans la merde! Toujours au mauvais endroit au mauvais moment !
J'ai répétée pendant des heures les mouvements, pour être au point pour le jour J.

   Épuisée, j'ai profité de l'après-midi pluvieuse, et agité par le vent pour y écrire dans ce vieux carnet ainsi que lire quelques livres près de la cheminée. Des ouvrages qui pourront être utiles, L'art de la torture, je sais pas où le vieux a dénicher cette antiquité mais se sont de pures merveilles. Torturer ces ennemis de mile et une façon différents. C'est amusant mais cruel. La torture est un bon moyens d'obtenir tout ce que l'Homme désire. Un de mes assassin était un vrai bourreau dans son passé, après il s'est mit à culpabilisé et à rejoindre la confrérie en tant qu'homme de torture. Une triste vie qu'il continue de vivre.

D'ailleurs, je n'est pas vu l'Indien aujourd'hui. Je suppose qu'il est occupé avec des histoires concernant son peuple et ses terres sous la menaces des templiers comme Charles Lee .

-Achille, tu sais où ce trouve Connor en ce moment ?
-J'en ai aucune idée mon enfant, il répliqua, sûrement en train de s'occuper des templiers qui envahissent la région. Pourquoi cette question?
-Je voulais juste savoir ce qu'il fesait, mais je pense que je vais lui demander dès son retour. Je te remercie.

   Il me fait un geste de la main qui voulait tout dire "ne me remercie pas pour ça". Je monte les marches du domaines pour entré dans ma chambre, changer de tenue. Celle-ci n'est pas agréable à porter pendant les moments de détentes, j'enfile un robe toute simple, d'un blanc vieillit, presque mortuaire qu'une couturière de Boston m'avait vendu pour une misère. Je ne porte pas ce genre de tenue, mais c'est l'idéal quand on veut sentir un poids en moins. Mon instinct me guide vers la fenêtre, je me penche pour voir ce qu'il se trame, un grand sourire s'affiche sur mon visage. Je fais le même chemin qu'auparavant, me précipite vers la porte pour l'ouvrir.

-Alma t'es malade d'ouvrir la porte comme une folle!!
-Moi aussi je suis contente de te revoir mon chère ami. Je lui lance un sourire narquois.
-Tu as de la chance que je t'aime bien, sinon je t'aurai mise sur le perron pour le restant de tes jours, ajoute-t-il.
-Cette sanction est beaucoup trop gentille à mon goût. Allez, entre donc le vent est encore glacial.

Je me dirige vers la cuisine afin de cuisiné quelque chose de plus hivernale: une soupe. Vu le froid qu'il fait, une bonne soupe nous fera la plus grand bien. Des pommes de terres, des poireaux; mon péché mignon. En attendant la cuisson, je rejoins les deux hommes dans la salle a manger. À les entendre, ils parlent des templiers.

-Puis-je me joindre à la conversation?
-Bien sûr, il tourne sa tête avant de rependre. Je n'ai aucun signe de William Johnson pour le moment, mais tout ce que je sais, c'est que les templiers se sont rassemblé pour être plus fort et plus nombreux, tout ça depuis que j'ai jeté les cargaisons de thé à l'eau pendant la Tea Party. Il se cache quelque pars dans Boston, c'est certain.
-Je crois en toi mon grand, tu le trouveras et le tueras, quoiqu'il arrive, tu en es capable.

Deux personnes tourne la tête vers moi.

-Qu'y a-t-il ? dis-je en les regardant chacun leurs tour.
-On aimerait savoir si ta quête est toujours d'actualité. Lança le vieux.
-On peut dire que oui..
-"On peut dire que oui"?Me dis pas que tu baisse les bras. Alma tu peux avoir ta famille à tes côté, c'est une chance que tu dois te permettre de saisir.
-Je sais Connor, comme si que j'étais idiote! Retorquait-je tout en articulant. Tu sais c'est pas si facile que ce que tu crois. Je ne sais rien d'eux, ils m'ont abandonnés. Et tu crois qu'ils vont ce rappeler de moi? Ou même qu'ils pensent à moi tout simplement? Non alors merci de cette agréable conversation mais maintenant c'est l'heure de manger.

Je me lève en vitesse et retourne dans la cuisine. Saisi l'escpèce de chaudron et le dépose sur la table où était assis mes deux compagnon. Je refais le même trajet mais je rapporte des bols, des cuillères et du pain.

Pendant tout le repas un silence pesant était parmis nous. Je n'es pas levé les yeux de plat. J'étais préoccupée par cet histoire "familiale". Un fois la repas terminé je monte vite dans ma chambre, faire une bonne nuit de sommeil.

**

  Ce jour était ensoleillé, je me promène tranquillement dans une ruelle de Boston. Vêtue d'une robe aisé, propre. Je sent une présence derrière moi, je me retourne. Un homme avec un regard malveillant presque. J'accélère le pas mais il m'attrape violemment le bras et me plaque contre un mur. Je sent ses mains ses mains se serrer autour de mon cou et me soulever. Mes pieds ne touchent plus le sol, ma respiration s'atténue, je tente de me défendre et d'enlever les mains de mon agresseur. En vain. J'ai atrocement mal, je n'ai plus de force. Je fini à terre, la vue trouble. Mes yeux se ferme. Je suis trop faible pour rester éveiller. J'entends un rire narquois, satisfais de son acte...

Je me réveille en sursaut, le corps en sueur, le cœur qui bat à la chamades et ma respiration est irrégulière. Je décide de m'asseoir sur mon lit et d'attendre un petit moment. Je tente de me calmer mais je suis encore apeurée. Avec la lueur de la bougie je peux voir sur le carillon qu'il est seulement 1h du matin.

Je ne veux pas me rendormir seule, je sais que j'ai presque le vingtaine et je que suis censé me comporter comme une adulte. Mais pas aujourd'hui, je suis encore une enfant dans un corps développé.
Je décide donc de me lever et partir de ma chambre pour me rendre devant celle de Connor. Je toque et attend. J'espère qu'il m'en voudra pas surtout que quelques heures auparavant j'ai répondu presque méchamment et agit comme une adolescente immature.
Il ouvre la porte, le visage encore endormis, en me dévisageant. La raison est: ma tenue vestimentaire. Un assassin doit aussi dormir avec une certaine tenue. Cet instant est de plus en plus gênant

-Qu'es-ce qui à? Ça ne va pas?questionna-t-il.
-Je suis désolée de te déranger au milieu de la nuit, mais je viens de me réveiller en sursaut et j'ai... peur de me rendormir..seule; dis-je gêné.

   J'espère qu'il ne refusera pas.. ce n'est pas dans son habitude.

-Ne t'excuse pas, sa arrive de faire des cauchemars, tu me dérange pas, viens.
-Merci. J'espère que tu m'en veux pas pour tout à l'heure. Je me suis un peut emportée dans mes mots.
-Non, t'inquiète, c'est déjà oublier. Retorquait-il avec un sourire.

  J'entre dans sa chambre, je suis un peut déboussolée. Sa décorations est différentes de la mienne. Juste un aigle empailler et sa tenu sur un mannequin. Comparé à la mienne où il a des tableaux, un violon et des tenues et j'en passe. Je regarde longuement dehors, la lune. J'ai pris cette habitude de lui rendre visite quand je dors mal. Il est comme un remède apaisant.
Un regard se pose sur moi et me dérange. Je me retourne pour faire face a la personne.

-T'as fini de me regarder comme sa? Tu me fais peur..
-Désoler, je ne voulais pas te mettre mal à l'aise.. mais j'attend que tu t'installe pour que je puisse éteindre le chandelier et dormir moi aussi. Je suis fatigué et demain est une grosse journée pour moi.

Je baille un grand coup, et ne perd pas de temps à attacher mes longs cheveux blonds en une simple tresse. Je m'avance vers le lit, et m'y installe le mieux possible pour que je sois à l'aise. Il éteint le feu et je sentais un poids dans le lit. Je me tourne vers la fenêtre comme à mon habitude, dos à lui et ferme les yeux. Il me sert dans ses bras. Comme un grand frère protecteur. Il se rapproche de moi et nous tombons dans un sommeil bien profond.

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Hello, comme vous pouvez le voir j'ai commencée à réécrire le début de cette histoire qui me déplaisait. J'espère en tout cas qu'elle vous plairas, j'essaye d'être le plus correct possible par rapport à la  licence afin d'avoir une histoire correcte à vous présenter. Presque « authentique » si je peux me permettre.  Et qu'elle me plaise à moi aussi, évidemment.
Pardonnez mes défauts.
Lokind

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⏰ Son güncelleme: Dec 21, 2017 ⏰

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