Une hôtesse de l'air me d'irrigation vers un siège au calme pour ne pas être dérangé par les autres vu se que je venais de vivre. Au bout de quelques minutes je fond en larmes. Je n'arrivais plus à comprendre se qui m'arrivais, j'étais perdue et terrorisé. L'hôtesse de l'air me vit pleurer de loin alors elle venu me voir pour me calmer. Elle essaya de me parler un peu pour me calmer.
"Et qu'est-ce qu'il y a? Je sais que c'est compliqué se que tu viens de vivre mais il faut rester forte." me dit-elle d'un ton assez doux.
"J'ai mal à mon bras je me suis couper en me débattant et je me suis cogné à plusieurs reprises. En plus ma famille me manque je veux les devoirs." lui répondis-je en pleurant.
"Tu t'es coupé tu peux me faire voir ta blessure s'il te plaît?" me dit-elle. Elle avait l'air assez calme se qui était rassurant.
Je lui montra ma coupure qui était d'ailleurs assez profonde et elle me prit par l'autre bras pour m'emmener vers la trousse de secours ou elle sorts tout le nécessaire pour me Faure un bandage. Après elle m'a ramené à ma place et elle a prévenue les gendarmes qui devaient m'attendre à l'atterrissage de l'avion. Au bout d'une demi heure, trois quart d'heure je me suis endormi de fatigue. Deux heures après je me suis réveillé en sursaut. Je n'ai pas fait de bruit et en regardant autour de moi je remarqua que tout le monde dormait sauf les hôtesses de l'air qui justement passaient dans les rangs voir qui dormait ou pas. Avant qu'elle arrive vers moi j'ai tourné la tête pour regarder dans le hublot et je vis qu'il faisait totalement nuit. Je ne détourna pas la tête du hublot et je repensais à se qui m'étais arrivé plus tôt. Quand l'hôtesse de l'air arriva à ma rangée elle vit que je ne dormais pas. J'avais récupéré mon portable dans ma poche et j'écoutais de la musique. Elle me posa une question que je n'entendis pas à cause du casque. Elle me toucha le bras pour que je la regarde se qui marcha. Je sursauta et la regarda tout de suite. Elle me fit signe d'enlever le casque se que je fit. Elle me reposa la question qui était:
"Pourquoi tu ne dors pas?"
Je fis un haussement d'épaules en guise de réponse. Elle continua à me parler mais je n'y prêtait aucune attention. Je me sentais de plus en plus mal. Je voulais être au près de ma famille, morte ou vivante mais de préférence vivante. Je ne voulais pas être loin deux avec des gens que je ne connaissais même pas. L'hôtesse fini par me laisser seule et je remis mon casque sur les oreilles. Tout le long du vol je ne me suis pas rendormi. Je vis à quoi ressemble la France de haut, c'est magnifique. Nous nous sommes posé dans un aéroport d'une petite ville nommé Saint Quentin Fallavier. Quand je suis sortie de l'avion avec mon sac et une valise je regarda autour de moi toujours sous le choc de se que j'avais vécue la veille. J'avais un peu peur de tout ce monde qui circulait autour de moi. A un moment une jeune dame s'arrêta face à moi, elle se mit à ma hauteur et me demanda si j'étais perdue et ou étaient mes parents. Quand j'entendis le mot parents je me mis à pleurer. Elle essaya de me rassurer mais j'avais tellement peur et je voulais tellement pouvoir être au près d'eux. Je ne savais même pas si ils étaient encore en vie. Je l'espérais vraiment de tout mon coeur. La jeune femme se releva d'un seul coup et j'entendis une deuxième voix féminine derrière moi. Je me retourna et vis des gendarmes en uniforme et une autre femme à leurs côté.
"Il y a un problème?" demanda la gendarme.
"Non, non aucun. Enfin si j'ai retrouvé cette jeune fille seule et elle me semble perdu." répondit la femme qui se trouvait désormais dans mon dos.
"Et ce ne serait pas toi la petite Julia par hasard?" me demanda la même gendarme.
Je fis oui de la tête en arrêtant de pleurer, la gendarme remercia la jeune femme de m'être venu en aide. La femme qui se trouvait avec les gendarmes était une assistante sociale qui me rassura et me prit par la main pour que je la suive alors je fis signe à l'autre femme et je suivi l'assistante sociale entouré des gendarmes. Une fois à l'extérieure de la gare l'assistante sociale me demanda de lui montrer mon bras ou le suis blessée. Je lui ai fais non de la tête et je me suis caché derrière une gendarme. Elle m'a dit que je n'avais pas à me cacher alors je me suis remontrer. Elle me fit monter dans sa voiture et m'emmena à l'hôpital.
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UNE VIE DIFFICILE
General FictionUne petite fille mène une vie à peu près normal, la seule différence c'est qu'elle est riche et connue de toute l'île de la Réunion jusqu'au jour ou tout le cour de sa vie va être bouleversé.
