La voiture s'enfonçait à présent dans une forêt épaisse composée de grand sapin. Oh non, j'espère qu'il va pas me laisser comme la dernière fois. Comme si il avait entendu mes pensée il dit.
Harry : T'inquiète je vais te laisser comme avant. Même si tu me casses vraiment les couilles parfois.
Moi : Bla bla bla, arrête d'user ta salive pour rien.
Il me fit un regard sombre qui me fit comprendre que je devais vraiment me taire.
La suite du trajet se passa en silence.
Cela faisait maitenant une heure que nouw roulions. J'en avais vraiment marre.
Moi : Bon Harry, sérieusement on va où ?
Il se retourna et me sourie.
Harry : Tu verras. Si je te le dis se ne sera plus une surprise.
Moi : Oui, mais chaque fois que tu me fais une surprise, tu me laisses au milieu de nulle part.
Il ria.
Harry : C'est vrai mais pas cette fois.
Moi : Okey ..
On continua donc la route. J'étais complètement absorbée par le paysage quand je sentis la voiture ralentir. Nous étions au somment d'une falaise.
Moi ( stressant ) : Tu vas pas me tuer quand même ?
Harry : Non mais si jamais tu me saoules, ça pourrait devenir une option.
Je le regardai avec un regard de chien battu. Sa réaction fut de se moquer de moi.
Harry : Mais tu vas pas bien !
On sortit de la voiture. Pendant qu'il prenait des vêtments et des couvertures, je m'approchai du bord. La vue était juste à coupé le souffle. Des montagnes vertes dont le sommet disparraissait dans le ciel, des forêts vertes, des oiseaux volant dans la clarté des cieux. J'étais au paradis. Je sursautai quand Harry me mit une couverture sur les épaules. Ce geste me fit me poser plein de questions. Je ne le comprend vraiment pas.
On s'assit par terre, concentré sur le paysage.
Moi : Pourquoi tu m'as amenné ici ?
Il me regarda surpris.
Harry : Pourquoi ? Tu n'aimes pas le paysage ?
Moi : Si, bien sûr que si ! C'est quoi je ne comprends pas. Un jour tu es le plus gentil, le lendemain tu te comportes en parfait idiot.
Il me fixa droit dans les yeux.
Harry : C'est ma nature. Je ne suis pas sage Elisa. Loin de là.
Un frisson parcourrut mon corps quand il me dit cette phrase.
Harry : Je suis peut-être même différent.
Moi ( bafouillant ): Comment ... ça.... différent ?
Il s'approcha doucement de moi, et mis sa main derrière ma nuque. Il fit glisser ses lèvres sur la peau de mon cou, me laissant la chair de poule, avant de les monter jusqu'à mon oreille.
Harry ( murmurant et parlant tout doucement ) : Je suis peut-être plus sombre, plus dangereux, et d'ôter de certaine capacité que personne d'autre ne possède. Je ne suis pas quelqu'un de bien ma belle.
Je me reculai pour le regarder des les yeux. Mo poul avait augmenté. Ma respiration se faisait haletante.
Moi : Je ne te crois pas.
Il me fixe longtemps, analysant chaque trait de mon visage.
Harry : Tu t'en rendras compte toute seule, mais se sera trop tard.
Je fis mes gros yeux.
Moi : Pourquoi trop tard ?
Il me souria d'une façon tellement sensuelle que je crus que j'allais tomber dans les pommes.
Il parla alors etrêmement doucement.
Harry : Car tu seras déjà folle de moi.
Je me figeai.
Moi : Et comment tu le sais ?
Harry ria avant de reprendre son sérieux.
Harry : Comment je le sais ?
J'hochai la tête.
Il s'approcha vraiment tès proche. Ses lèvres à quelque millimètres des miennes.
Harry : Parceque toi et moi, ça commence à peine.
" Tu sais, moi, j'ai simplement peur de te voir partir comme tous les autres. Il est vrai que les gens s'abandonnent trop facilement aujourd'hui, pour un oui ou pour un non, juste parce qu'ils ne s'entendent plus, parce qu'ils veulent voir ailleurs ce que la vie peut apporter. Je trouve ça con, mais je l'ai déjà fait. En réalité, je n'ai pas envie que tu le fasses à ton tour, je ne veux pas être à la place de tous ces gens que j'ai délaissé par amour pour moi ou parce qu'ils me faisaient souffrir sans vraiment trop le savoir. Partir par devoir, c'est pire que de partir par plaisir.. On sait ce qu'on laisse derrière nous, des souvenirs, des tas de moments magiques qu'on enterre en claquant des doigts.. ou presque. Et ce soir, comme hier, comme demain, j'ai peur que tu fasses la même connerie que moi j'ai fait pour beaucoup de personne. Parce que je ne sais pas trop ce que c'est de se faire abandonner par un être cher, puisque c'est toujours moi qui partais avant le déluge. Je ne veux pas souffrir. Je ne veux plus souffrir. Ou alors si, mais pas toute seule. J'ai besoin de toi, besoin de nous. Je veux pas que ça se termine comme un abandon. Tout, sauf ça. Alors je m'accroche parce que j'ai pris confiance en toi, et je ne veux pas croire qu'un jour ou l'autre l'un de nous deux devra décevoir l'autre. Dis, nous ne sommes pas comme tous les autres, hein ? "
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Coucou mes amours, voilà la suite. Beaucoup de rebondissement. Laissez moi vos commentaires.
Suite à 15 votes et 3 commentaires. Bisous.
#A.♥
《 Parceque toi et moi, ça commence à peine. 》
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