Partie Trois

15 2 10
                                    

Hier, après avoir fait la rencontre de Ben je suis rentrer et j'ai trouvé un petit mot glissé sous ma porte.

Ca disait:  «   Fête Des Voisins
On vous invite à se rassembler en cette fin d'été à un repas convivial entre habitant de l'immeuble pour un partage dans la joie et la bonne humeur. Nourriture non fourni, sauf par vous bien sur ;) . »

Non merci. Je n'ai même pas encore eu le temps de faire les courses pour moi alors pour les autres...

En parlant de courses il faut que j'achète de quoi manger mais aussi de quoi décorer ma chambre.

J'appelle ma cousine Alixe qui vit près d'ici et avec qui j'ai toujours été proche. Ça sonne.

« - Hey Ali !

- Oh salut m'a petite Lisou, comment ça va ?

- Super et toi ?

- Super aussi ! Alors, tu t'es enfin installé ?

- Oui, je sent que je vais me plaire ici ! D'ailleurs je t'appelais justement par rapport à ça...

- Dis-moi tout ! Me dit-elle la voix remplit de curiosité.

- Je me demandais si ça te plairait d'aller acheter quelques petits trucs pour décorer l'appart', cette aprèm avec moi.

- Oui ce serait cool !

- Dans 30 min chez moi ?

- C'est parti ! »

Je raccrochais et parti me préparer à sortir.







« - How ! Il est trop chou, regarde ! cris Alix de l'autre bout du magasin. Bah, viens orh !

- Oui, oui j'arrive Alix, j'arrive... »

Mon dieu ! Rappelez-moi de ne plus l'emmener faire les magasins avec moi. Elle aime tout, TOUT je vous dis. Et elle se sent obligé de me le crier à chaque fois qu'elle voit "la peluche la plus mignonne qu'elle est jamais vue de sa vie" ou "le plaid qu'elle cherchais depuis des mois" et même "le porte manteau de ses rêves". Ce sont ses propres mots.

Ma cousines et moi, on a toujours été proches. Je me rappelle qu'à une certaine époque mon frère en était un peu jaloux. Vous savez même pas à quel point j'aime lui rappeler. Mes pour en revenir à nos moutons, Alixe et moi on est comme des sœurs. Elle est mon rions de soleil dans mes mauvais moments et vis-versa. C'est vrai qu'on se parle plus autant depuis qu'elle a quitté la maison de ses parents, mais je sent que vivre dans la même ville pourra nous rapprocher.

J'arrive à son niveau et vois l'objet de ses incessants couinements.

« - Sérieusement Alix ? lui dis-je d'un air blasé.

- Ben quoi ..? »

À ce moment là elle ressemble à un enfant sur le point de se faire engueuler. Elle peut vraiment me faire rire celle la des fois.

« - 45€ ? Vraiment ? Pour une peluche, d'au moins 1m20, qui plus est.

- Non mais regarde moi comme il est chou et il n'est pas si grand, je te l'assure.

SINGDonde viven las historias. Descúbrelo ahora